[VALIDE] BG d'Araganorf
Publié : lun. juil. 28, 2008 1:27 am
Je suis désolé pour toute les fautes MAIS il est taaaaaaaaaaaard (je l'avais bien dit que je le ferai )
Ce guerrier athénien se prénomme Araganorf et est née il y a maintenant un peu plus de 20ans, dans le Péloponnèse à l'intérieur des murs de l'immense et merveilleuse citée qu'est Mycènes.
Il eut une enfance des plus banal, quoi que. Son père était un guerrier Mycéniens comme bon nombre de leurs congénères. Sa mère quant à elle, s'occupait de la tenue du foyer. Il n'avait ni frère ni soeur, chose dont il s'accommodait aisément. Sa grand mère vivait également avec eux depuis le décès de son grand père. Un être peu sympathique dont la disparition avait réjoui Araganorf, au grand désarroi de ces parents.
Aragnaorf avait ressentie cette aine dès sa plus tendre enfance. En effet quant son père partait au combat, comme souvent du fait de la présence d'un tirant avide de pouvoir sur le trône, et que sa mère devait s'absenter du foyer familial, la tache de sa garde revenait à ses grands parents. Depuis ce temps dès qu'on lui reparle de cette homme cruel, il ne peut que repenser au coup que celui-ci lui assené. Quant il était dans un bon jour il ne s'agissait que de coup de poing...
- Je t'ai dit de te défendre en me donnant un coup de poing pas de me faire une caresse. Un peu comme sa...
Quel genre d'homme « entraînerait » son petit fils au combat, qui plus est avec une telle cruauté?
Néanmoins depuis quelque temps celui-ci commençait à juger moins sévèrement son aïeul.
* Peut être avait-il raison ?
Cependant cette éducation transmise par son grand père l'avait tout naturellement rendu bien plus dure que la majorité des jeunes de son age. Il avait par conséquence beaucoup de mal pour créer des liens avec d'autre personne et même pour sa famille cela devenait assez compliqué.
Cela commença alors qu'il venait tout juste d'avoir 7ans.
Assez traumatisant...
Le temps passa et son père se décida à lui enseigner ce qu'il savait faire de mieux... se battre.
Les séances d'entraînement commencèrent alors qu'il venait d'avoir 12 ans pour le préparer au mieux à son éphébie. Naturellement les premières attaques d'Araganorf ne put que le surprendre par leur efficacités et leur puissances. Il ne s'était jamais aperçu du traitement que son père avait réservé à son fils durant toute ces années.
Plus les entraînements s'enchaînaient et plus Araganorf en redemandait. Son père n'arrivait pas à satisfaire la soif de violence que demander son fils et lui expliqua.
- Ara, comment te dire sa... tu viens d'avoir 14ans et tu passes le plus claire de ton temps à t'entraîner dans notre cours. Tu y consacres même plus de temps que n'importe lequel de mes compagnons d'armes et je pense qu'avec moi comme entraîneur tu ne pourras pas développer pleinement toute tes capacités.
- C'est vrai père mais je ne vois pas d'autre sens à ma vie que de le combat. Je ne sais pas comment vous l'expliquer mais c'est ainsi. Je voudrai pouvoir le faire toute ma vie et aussi souvent qu'il m'en es donné la possibilité.
Son père restait dès plus perplexe. Il ne s'attendait certainement pas à une telle réponse. Leur entraînement s'acheva donc de cette manière. Il partit sans rien dire se servir un verre de vin dans le salon du foyer et Araganorf alla peaufiner ses techniques de combat sur le mannequin que lu avait offert son père pour ses 13 ans.
Trois jours plus tard ils eurent tout les deux une discutions des plus important quant à l'avenir d'Araganorf. Son père entra dans sa chambre pour me s'entretenir avec lui dès l'aube.
- Ara, ça me peine mais j'ai décider de t'envoyer à Sparte.
Pour une fois Araganorf qui paraissait toujours sur de lui et imperturbable, sembla un peu surpris pas ce qu'il venait d'entendre. Était-ce le fait qu'il n'était pas tout à fait réveiller ou bien parce qu'il n'était tout simplement pas aussi hermétique au sentiment des gens?
- Hein ?
Son père s'assit au pied de son lit
- Comme tu le sais je me trouvais encore il y a peu au pied de Troie.
Cela fait déjà 2mois que nous avions entamé son siège et je ne sais d'ailleurs pas quant cela pourra prendre fin... bref. Tu es au courant qu'il m'a été accordé de revenir ici pour quelque temps en récompense des 25 Troyens que nous avons réussi à éliminer moi et feu mes deux compagnons?
- Oui père et je suis très fier d'être votre fils.
Il lui coupa sèchement la parole avec autorité.
- Tu ne devrais pas! Ce n'est pas la vérité. J'ai honte mais je me dois de te raconter ce qui c'est réellement passé.
Nous avions été désignés mes camarades et moi pour escalader de nuit une colline surplombant notre camp. Nos supérieurs pensaient que quelques soldats ennemis nous espionnés. Nous exécutions donc les ordres à la lettre. Malheureusement pour nous, nous fûmes un peu moins discret que prévus et comble de malchance ce n'était pas quelques espions mais 25 soldats des plus farouches guerriers que nous eûmes à affronter. Ils tuèrent mes deux camarades et me désarmèrent sans que l'on puisse ne serait-ce en blessé un. Je me rappellerai toute ma vie de ce moment, écoute moi bien Ara... Un de ces sauvages allait m'achever d'un coup de lance alors que je me trouvais au sol et c'est ce qui aurait du se passer si un homme n'était pas passer par là. Je n'es jamais put voir son visage. Il arriva de nul part et d'un coup de poing décapita littéralement mon assaillant. Ces compagnons ne mirent quelques seconde à comprendre ce qui venait de se passer et sautèrent sur mon sauveur providentiel pour l'envoyer dans l'autre monde. Celui-ci se déplaça à une vitesse incroyable et en moins de trois secondes se débarrassa de tout ses ennemis.
* Sa y est mon vieux délire...
- Vu ta tête j'ai l'impression que tu ne me crois pas. Je peux te comprendre.
- Si si papa, je te crois.
Il ne savait pas quoi penser. Son père ne lui avait jamais menti. Mais peut être que celui-ci avait cru voir ceci sa mais qu'en fait... ou pas.
- Bon très bien, allez je finis mon histoire. L'homme en question se retourna alors vers moi, j'étais terrorisé. Et oui fiston même ton père peut avoir peur, ne me juge pas trop sévèrement. Il me dit « A cause de toi je viens de prendre du retard, je ne sais pas ce qui me retient... » ces paroles resterons gravées dans ma mémoire. Je le supplia de m'épargner, ce qu'il fit comme tu le vois. Après cela nous eûmes une petite discutions dont je vais t'épargner les détails. Il m'expliqua cependant que c'était à Sparte où il avait appris à ce battre ainsi, dans un sanctuaire vouant un culte à Athèna d'après ses dires...
Et c'est ici que mon histoire de chevalier commença réellement.
Le lendemain malgrès mon jeune age je pris la route et quitta le foyer familial sans un regrées, sans un regards, ce qui déçu une fois de plus c'est parent mais surtout sa mère en sanglot qui voyait partir son seul enfant loin d'elle.
* Le seul qui me manquera réellement c'est bien Bellé. (son chien).
Des marchand acceptèrent de m'emmener dans leur roulotte à Sparte où il devaient y faire du commerce. Nous mîmes néanmoins plusieurs jours. Je me retrouvais donc dans cette nouvelle citée a l'intérieur de laquelle je ne connaissais personne. Je passa l'après midi à visiter ce territoire inconnu.
* Pas trop mal...
La nuit commença néanmoins à tombé rapidement, je me dépêcha donc à trouver ce fameux sanctuaire d'Athéna. En partant de chez mes parents je ne savais pratiquement pas qui était cette Athéna, heureusement les marchands qui m'avait emmené ici purent un peu me renseigner.
* De toute manière une déesse de la sagesse et du combat à vénérer, pourquoi pas... et même si je n'y crois pas trop je suis près à tout les sacrifices pour devenir aussi puissant que ce guerrier qui sauva mon père...
- Ah on dirait que je suis enfin arrivé...
... je ne me doutait pas que ce n'était que le commencement, il s'agissait réellement d'un nouveau départ.
Ce guerrier athénien se prénomme Araganorf et est née il y a maintenant un peu plus de 20ans, dans le Péloponnèse à l'intérieur des murs de l'immense et merveilleuse citée qu'est Mycènes.
Il eut une enfance des plus banal, quoi que. Son père était un guerrier Mycéniens comme bon nombre de leurs congénères. Sa mère quant à elle, s'occupait de la tenue du foyer. Il n'avait ni frère ni soeur, chose dont il s'accommodait aisément. Sa grand mère vivait également avec eux depuis le décès de son grand père. Un être peu sympathique dont la disparition avait réjoui Araganorf, au grand désarroi de ces parents.
Aragnaorf avait ressentie cette aine dès sa plus tendre enfance. En effet quant son père partait au combat, comme souvent du fait de la présence d'un tirant avide de pouvoir sur le trône, et que sa mère devait s'absenter du foyer familial, la tache de sa garde revenait à ses grands parents. Depuis ce temps dès qu'on lui reparle de cette homme cruel, il ne peut que repenser au coup que celui-ci lui assené. Quant il était dans un bon jour il ne s'agissait que de coup de poing...
- Je t'ai dit de te défendre en me donnant un coup de poing pas de me faire une caresse. Un peu comme sa...
Quel genre d'homme « entraînerait » son petit fils au combat, qui plus est avec une telle cruauté?
Néanmoins depuis quelque temps celui-ci commençait à juger moins sévèrement son aïeul.
* Peut être avait-il raison ?
Cependant cette éducation transmise par son grand père l'avait tout naturellement rendu bien plus dure que la majorité des jeunes de son age. Il avait par conséquence beaucoup de mal pour créer des liens avec d'autre personne et même pour sa famille cela devenait assez compliqué.
Cela commença alors qu'il venait tout juste d'avoir 7ans.
Assez traumatisant...
Le temps passa et son père se décida à lui enseigner ce qu'il savait faire de mieux... se battre.
Les séances d'entraînement commencèrent alors qu'il venait d'avoir 12 ans pour le préparer au mieux à son éphébie. Naturellement les premières attaques d'Araganorf ne put que le surprendre par leur efficacités et leur puissances. Il ne s'était jamais aperçu du traitement que son père avait réservé à son fils durant toute ces années.
Plus les entraînements s'enchaînaient et plus Araganorf en redemandait. Son père n'arrivait pas à satisfaire la soif de violence que demander son fils et lui expliqua.
- Ara, comment te dire sa... tu viens d'avoir 14ans et tu passes le plus claire de ton temps à t'entraîner dans notre cours. Tu y consacres même plus de temps que n'importe lequel de mes compagnons d'armes et je pense qu'avec moi comme entraîneur tu ne pourras pas développer pleinement toute tes capacités.
- C'est vrai père mais je ne vois pas d'autre sens à ma vie que de le combat. Je ne sais pas comment vous l'expliquer mais c'est ainsi. Je voudrai pouvoir le faire toute ma vie et aussi souvent qu'il m'en es donné la possibilité.
Son père restait dès plus perplexe. Il ne s'attendait certainement pas à une telle réponse. Leur entraînement s'acheva donc de cette manière. Il partit sans rien dire se servir un verre de vin dans le salon du foyer et Araganorf alla peaufiner ses techniques de combat sur le mannequin que lu avait offert son père pour ses 13 ans.
Trois jours plus tard ils eurent tout les deux une discutions des plus important quant à l'avenir d'Araganorf. Son père entra dans sa chambre pour me s'entretenir avec lui dès l'aube.
- Ara, ça me peine mais j'ai décider de t'envoyer à Sparte.
Pour une fois Araganorf qui paraissait toujours sur de lui et imperturbable, sembla un peu surpris pas ce qu'il venait d'entendre. Était-ce le fait qu'il n'était pas tout à fait réveiller ou bien parce qu'il n'était tout simplement pas aussi hermétique au sentiment des gens?
- Hein ?
Son père s'assit au pied de son lit
- Comme tu le sais je me trouvais encore il y a peu au pied de Troie.
Cela fait déjà 2mois que nous avions entamé son siège et je ne sais d'ailleurs pas quant cela pourra prendre fin... bref. Tu es au courant qu'il m'a été accordé de revenir ici pour quelque temps en récompense des 25 Troyens que nous avons réussi à éliminer moi et feu mes deux compagnons?
- Oui père et je suis très fier d'être votre fils.
Il lui coupa sèchement la parole avec autorité.
- Tu ne devrais pas! Ce n'est pas la vérité. J'ai honte mais je me dois de te raconter ce qui c'est réellement passé.
Nous avions été désignés mes camarades et moi pour escalader de nuit une colline surplombant notre camp. Nos supérieurs pensaient que quelques soldats ennemis nous espionnés. Nous exécutions donc les ordres à la lettre. Malheureusement pour nous, nous fûmes un peu moins discret que prévus et comble de malchance ce n'était pas quelques espions mais 25 soldats des plus farouches guerriers que nous eûmes à affronter. Ils tuèrent mes deux camarades et me désarmèrent sans que l'on puisse ne serait-ce en blessé un. Je me rappellerai toute ma vie de ce moment, écoute moi bien Ara... Un de ces sauvages allait m'achever d'un coup de lance alors que je me trouvais au sol et c'est ce qui aurait du se passer si un homme n'était pas passer par là. Je n'es jamais put voir son visage. Il arriva de nul part et d'un coup de poing décapita littéralement mon assaillant. Ces compagnons ne mirent quelques seconde à comprendre ce qui venait de se passer et sautèrent sur mon sauveur providentiel pour l'envoyer dans l'autre monde. Celui-ci se déplaça à une vitesse incroyable et en moins de trois secondes se débarrassa de tout ses ennemis.
* Sa y est mon vieux délire...
- Vu ta tête j'ai l'impression que tu ne me crois pas. Je peux te comprendre.
- Si si papa, je te crois.
Il ne savait pas quoi penser. Son père ne lui avait jamais menti. Mais peut être que celui-ci avait cru voir ceci sa mais qu'en fait... ou pas.
- Bon très bien, allez je finis mon histoire. L'homme en question se retourna alors vers moi, j'étais terrorisé. Et oui fiston même ton père peut avoir peur, ne me juge pas trop sévèrement. Il me dit « A cause de toi je viens de prendre du retard, je ne sais pas ce qui me retient... » ces paroles resterons gravées dans ma mémoire. Je le supplia de m'épargner, ce qu'il fit comme tu le vois. Après cela nous eûmes une petite discutions dont je vais t'épargner les détails. Il m'expliqua cependant que c'était à Sparte où il avait appris à ce battre ainsi, dans un sanctuaire vouant un culte à Athèna d'après ses dires...
Et c'est ici que mon histoire de chevalier commença réellement.
Le lendemain malgrès mon jeune age je pris la route et quitta le foyer familial sans un regrées, sans un regards, ce qui déçu une fois de plus c'est parent mais surtout sa mère en sanglot qui voyait partir son seul enfant loin d'elle.
* Le seul qui me manquera réellement c'est bien Bellé. (son chien).
Des marchand acceptèrent de m'emmener dans leur roulotte à Sparte où il devaient y faire du commerce. Nous mîmes néanmoins plusieurs jours. Je me retrouvais donc dans cette nouvelle citée a l'intérieur de laquelle je ne connaissais personne. Je passa l'après midi à visiter ce territoire inconnu.
* Pas trop mal...
La nuit commença néanmoins à tombé rapidement, je me dépêcha donc à trouver ce fameux sanctuaire d'Athéna. En partant de chez mes parents je ne savais pratiquement pas qui était cette Athéna, heureusement les marchands qui m'avait emmené ici purent un peu me renseigner.
* De toute manière une déesse de la sagesse et du combat à vénérer, pourquoi pas... et même si je n'y crois pas trop je suis près à tout les sacrifices pour devenir aussi puissant que ce guerrier qui sauva mon père...
- Ah on dirait que je suis enfin arrivé...
... je ne me doutait pas que ce n'était que le commencement, il s'agissait réellement d'un nouveau départ.