La progéniture d'un héros [VALIDE]
Publié : jeu. oct. 11, 2012 10:10 pm
Je m’appelle Kashiosu et je suis passionné depuis que je suis tout petit par des êtres que j’ai vu combattre : des Chevaliers comme certains les appellent.
Cela s’est passé il y a de cela 7 ans dans mon village. J’avais 10 ans et je m’amusais dehors avec mes amis quand une personne est arrivée chez nous. Il portait une grise et une armure de cuir. Ses cheveux blonds volaient dans le vent et son regard était rempli de compassion. Il nous regardait jouer ou plutôt il me regardait jouer.
Il est vrai que j’étais à mon aise à tous ces jeux physiques, j’avais en effet une excellente résistance et de bons réflexes. Peut être que c’était pour cela qu’il me regardait. C’était peut être un recruteur d’athlètes pour les jeux des villes.
Lorsque nous eûmes arrêté le jeu, il vient à ma rencontre et me dit :
-Es-tu Kashiosu ?
-Oui c’est mon nom.
-Tu es donc est donc celui que je cherchais. Je sens en toi la maîtrise du cosmos qui caractérise les Chevaliers et qui te rend si différent des êtres humains. Ton destin est donc de devenir un Chevalier comme moi, tu en as le don.
-Je ne comprends pas ce que vous me dîtes, je dois d’ailleurs rentrer chez moi.
-Tu es le fils de Constantin, le fidèle Chevalier. Il a aussi vaillamment combattu au Parthénon et c’est là bas malheureusement et je le regrette, y a trouvé la mort. C’était mon ami et mon frère d’armes. Je lui ai juré de prendre soin de son fils car il souhaitait que tu deviennes un chevalier comme lui.
-Mon père, mort ? Non c’est faux.
Je ne le croyais pas. Mon père ne pouvait être un mort, c’était faux, il nous avait quitté à ma naissance car il souhaitait découvrir le moyen de nous protéger contre les attaques incessantes que le village était victime. Mais comment pouvait-il le faire s’il était mort.
Le chevalier me regardait avec beaucoup de compassion et je compris qu’il avait raison.
Je sentis les larmes montaient en moi et je m’effondrai dans ses bras. Il me dit alors :
-Ne pleures pas Kashiosu, ton père est mort en héros, il ne voudrait pas te voir pleurer.
Je m’efforçais alors de sécher mes larmes.
-Vous avez raison, lui dis-je.
Soudain, un autre homme que je n’avais pas entendu venir ricana. Le chevalier se retourna et lui dis :
-Que fais-tu là, sinistre spectre.
-J’ai tué son père et souvent je poursuis par toute la famille. Je n’ai pas envie d’avoir un rejeton d’ange qui veuille se venger.
-Je crois que tu n’as pas remarqué que j’étais présent.
-Si, ne t’en fais pas, je l’avais bien vu mais ce n’est pas toi qui me dérange le plus.
-Tu as tort, je suis Samson, Chevalier au service de la divine Athéna et tu vas regretter d’avoir tuer mon ami.
-Bien sûr, bien sûr. Trêve de bavardages, finissons en.
Les deux adversaires s’élancèrent et se percutèrent alors à une vitesse folle. Les coups de poings et de pieds pleuvaient. J’arrivais pourtant à suivre leurs mouvements. Le chevalier avait donc raison, j’avais le don de mon père. J’étais fait pour devenir un Chevalier.
Sansom prit l’avantage durant ma réflexion, il asséna alors un violent coup de tête au spectre et lui lança une terrible attaque.
Un jet de lumière blanche jaillit alors de ses mains et le spectre ne put l’éviter. Il fut balayé d'un coup et ne se releva plus.
Samson me dit alors :
-Ton père a été vengé, Kashiosu. Maintenant, que tu as pu réfléchir, que décides tu ?
-Je veux rejoindre le rang des Chevaliers et devenir un noble guerrier comme mon père.
-Je n’en doute pas. Ton père me disait toujours que tu avais le sang des Chevaliers dans tes veines. Nous partons demain à Athènes. Je t’entraînerai personnellement. Ta mère pourra bien sûr nous accompagner si elle le désire.
Ma mère accepta bien sûr et nous partîmes pour Athènes.
7 ans sont passés depuis ce jour.
Au cours de ses sept ans, je n’ai que fait que m’entraîner afin de devenir comme mon père, un vaillant ange. Ma persévérance fut souvent saluée par Samson. Nos relations maître- élève avait aussi changé, il était devenu comme le père que je n’avais que très peu connu mais que j’admirai. Mon admiration était, à vrai dire sans bornes et il n’y avait pas une nuit où je priai Athéna qu’elle accorde à mon père une des meilleurs places aux champs élysées.
Tous les jours, je m’entraînais au tir à l’arc et au lancé de javelot. Si au bout de une semaine je réussissais toujours a bien visé le milieu de la cible, je la reculais de un mètre et ainsi de suite.
Lorsque, je devais faire preuve d’agilité, j’escaladais une falaise(j’avais une corde autour de ma taille, au cas ou je déraperais). Sinon, je pouvais grimper dans un arbre gigantesque.
Lors des entraînements, Samson me lançait des attaques et je les esquivais jusqu'à ce que je sois épuisé, ainsi plus je me donnais à fond, plus je progressais ; et j’augmentais ma technique de cette manière.
Je faisais des combats physiques contre mon maître, je devais réussir à le mettre à terre. Je n’y arrivais pas au début, alors nous nous arrêtions, pour que je puisse reprendre mon souffle, puis nous recommencions. Si au bout de quelques heures, je n’y arrivais toujours pas, je faisais une épreuve beaucoup plus facile, car j’étais déjà épuisé ; ensuite, nous allions nous reposer.
La maîtrise du cosmos fut assez déconcertante au début mais j’appris vite. Je devins ainsi un des meilleurs défenseurs de notre sanctuaire. C’est au cours d’ailleurs de ses patrouilles que je rencontrai les personnes qui allaient devenir mes meilleurs amis.
Je suis donc devenu un des plus fervents défenseurs d'Athéna par ma dévotion, ma persévérance et la discipline que Samson m’a fait suivre. Toutefois, il me reste encore beaucoup de temps avant de porter comme lui une armure, ce qui avait fait de mon père ce héros si connu parmi les Athéniens..
Cela s’est passé il y a de cela 7 ans dans mon village. J’avais 10 ans et je m’amusais dehors avec mes amis quand une personne est arrivée chez nous. Il portait une grise et une armure de cuir. Ses cheveux blonds volaient dans le vent et son regard était rempli de compassion. Il nous regardait jouer ou plutôt il me regardait jouer.
Il est vrai que j’étais à mon aise à tous ces jeux physiques, j’avais en effet une excellente résistance et de bons réflexes. Peut être que c’était pour cela qu’il me regardait. C’était peut être un recruteur d’athlètes pour les jeux des villes.
Lorsque nous eûmes arrêté le jeu, il vient à ma rencontre et me dit :
-Es-tu Kashiosu ?
-Oui c’est mon nom.
-Tu es donc est donc celui que je cherchais. Je sens en toi la maîtrise du cosmos qui caractérise les Chevaliers et qui te rend si différent des êtres humains. Ton destin est donc de devenir un Chevalier comme moi, tu en as le don.
-Je ne comprends pas ce que vous me dîtes, je dois d’ailleurs rentrer chez moi.
-Tu es le fils de Constantin, le fidèle Chevalier. Il a aussi vaillamment combattu au Parthénon et c’est là bas malheureusement et je le regrette, y a trouvé la mort. C’était mon ami et mon frère d’armes. Je lui ai juré de prendre soin de son fils car il souhaitait que tu deviennes un chevalier comme lui.
-Mon père, mort ? Non c’est faux.
Je ne le croyais pas. Mon père ne pouvait être un mort, c’était faux, il nous avait quitté à ma naissance car il souhaitait découvrir le moyen de nous protéger contre les attaques incessantes que le village était victime. Mais comment pouvait-il le faire s’il était mort.
Le chevalier me regardait avec beaucoup de compassion et je compris qu’il avait raison.
Je sentis les larmes montaient en moi et je m’effondrai dans ses bras. Il me dit alors :
-Ne pleures pas Kashiosu, ton père est mort en héros, il ne voudrait pas te voir pleurer.
Je m’efforçais alors de sécher mes larmes.
-Vous avez raison, lui dis-je.
Soudain, un autre homme que je n’avais pas entendu venir ricana. Le chevalier se retourna et lui dis :
-Que fais-tu là, sinistre spectre.
-J’ai tué son père et souvent je poursuis par toute la famille. Je n’ai pas envie d’avoir un rejeton d’ange qui veuille se venger.
-Je crois que tu n’as pas remarqué que j’étais présent.
-Si, ne t’en fais pas, je l’avais bien vu mais ce n’est pas toi qui me dérange le plus.
-Tu as tort, je suis Samson, Chevalier au service de la divine Athéna et tu vas regretter d’avoir tuer mon ami.
-Bien sûr, bien sûr. Trêve de bavardages, finissons en.
Les deux adversaires s’élancèrent et se percutèrent alors à une vitesse folle. Les coups de poings et de pieds pleuvaient. J’arrivais pourtant à suivre leurs mouvements. Le chevalier avait donc raison, j’avais le don de mon père. J’étais fait pour devenir un Chevalier.
Sansom prit l’avantage durant ma réflexion, il asséna alors un violent coup de tête au spectre et lui lança une terrible attaque.
Un jet de lumière blanche jaillit alors de ses mains et le spectre ne put l’éviter. Il fut balayé d'un coup et ne se releva plus.
Samson me dit alors :
-Ton père a été vengé, Kashiosu. Maintenant, que tu as pu réfléchir, que décides tu ?
-Je veux rejoindre le rang des Chevaliers et devenir un noble guerrier comme mon père.
-Je n’en doute pas. Ton père me disait toujours que tu avais le sang des Chevaliers dans tes veines. Nous partons demain à Athènes. Je t’entraînerai personnellement. Ta mère pourra bien sûr nous accompagner si elle le désire.
Ma mère accepta bien sûr et nous partîmes pour Athènes.
7 ans sont passés depuis ce jour.
Au cours de ses sept ans, je n’ai que fait que m’entraîner afin de devenir comme mon père, un vaillant ange. Ma persévérance fut souvent saluée par Samson. Nos relations maître- élève avait aussi changé, il était devenu comme le père que je n’avais que très peu connu mais que j’admirai. Mon admiration était, à vrai dire sans bornes et il n’y avait pas une nuit où je priai Athéna qu’elle accorde à mon père une des meilleurs places aux champs élysées.
Tous les jours, je m’entraînais au tir à l’arc et au lancé de javelot. Si au bout de une semaine je réussissais toujours a bien visé le milieu de la cible, je la reculais de un mètre et ainsi de suite.
Lorsque, je devais faire preuve d’agilité, j’escaladais une falaise(j’avais une corde autour de ma taille, au cas ou je déraperais). Sinon, je pouvais grimper dans un arbre gigantesque.
Lors des entraînements, Samson me lançait des attaques et je les esquivais jusqu'à ce que je sois épuisé, ainsi plus je me donnais à fond, plus je progressais ; et j’augmentais ma technique de cette manière.
Je faisais des combats physiques contre mon maître, je devais réussir à le mettre à terre. Je n’y arrivais pas au début, alors nous nous arrêtions, pour que je puisse reprendre mon souffle, puis nous recommencions. Si au bout de quelques heures, je n’y arrivais toujours pas, je faisais une épreuve beaucoup plus facile, car j’étais déjà épuisé ; ensuite, nous allions nous reposer.
La maîtrise du cosmos fut assez déconcertante au début mais j’appris vite. Je devins ainsi un des meilleurs défenseurs de notre sanctuaire. C’est au cours d’ailleurs de ses patrouilles que je rencontrai les personnes qui allaient devenir mes meilleurs amis.
Je suis donc devenu un des plus fervents défenseurs d'Athéna par ma dévotion, ma persévérance et la discipline que Samson m’a fait suivre. Toutefois, il me reste encore beaucoup de temps avant de porter comme lui une armure, ce qui avait fait de mon père ce héros si connu parmi les Athéniens..