Publié : jeu. nov. 08, 2007 2:27 pm
Là les gens en faiblesse sont considérés comme des mourants et des moins que rien puisqu'un niveau 1 qui n'a jamais combattu peut le balayer d'un revers, ce que je trouve un peu abusé. Un chevalier d'or qui bat un chevalier d'argent peut être amoché et pourtant pouvoir vaincre l'un des gardes à armure de cuir du sanctuaire facilement après...
Regardons dans le sens inverse. Si un joueur en faiblesse est considéré comme plus faible qu'un joueur lambda, il devrait pouvoir lui-même engager n'importe qui sans perte d'honneur et sans ligne rouge puisqu'il est censé être aussi pourri. On verrait donc ces mêmes niveau 7-8 dégager ces petits niveaux 1-2-3. Je ne trouve pas ça plus ridicule qu'un adversaire tout pourri qui soumet un chevalier en fin de combat et même beaucoup plus réaliste. Il n'existe donc quasi aucune possibilité de vaincre un deuxième combattant de suite.
Tout ça pour dire qu'on ne devrait pas traiter une personne en faiblesse comme quasi mourrante. Ca crée des incohérences et c'est si loin d'être le cas. Une solution que je peux proposer : pour soumettre un adversaire en faiblesse, il faut que la puissance comparée entre les deux soit maximum égale à un nombre à évaluer, par exemple 150 ou 200%.
Regardons dans le sens inverse. Si un joueur en faiblesse est considéré comme plus faible qu'un joueur lambda, il devrait pouvoir lui-même engager n'importe qui sans perte d'honneur et sans ligne rouge puisqu'il est censé être aussi pourri. On verrait donc ces mêmes niveau 7-8 dégager ces petits niveaux 1-2-3. Je ne trouve pas ça plus ridicule qu'un adversaire tout pourri qui soumet un chevalier en fin de combat et même beaucoup plus réaliste. Il n'existe donc quasi aucune possibilité de vaincre un deuxième combattant de suite.
Tout ça pour dire qu'on ne devrait pas traiter une personne en faiblesse comme quasi mourrante. Ca crée des incohérences et c'est si loin d'être le cas. Une solution que je peux proposer : pour soumettre un adversaire en faiblesse, il faut que la puissance comparée entre les deux soit maximum égale à un nombre à évaluer, par exemple 150 ou 200%.