[VALIDE V3] Ménétak

Présentation du Seigneur des Enfers et de ses Spectres.

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Ménétak
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[VALIDE V3] Ménétak

Messagepar Ménétak » lun. oct. 10, 2005 8:11 pm

Je suis Ménétak.

Je ne connais pas mon père, ma mère Jenova, une prêtresse d'Hadès était morte en me mettant au monde, et ce fus mon frère de 6 ans mon aîné, Ashram, qui m'eleva.

Nous vivions comme des orphelins, errant entre vols et rapines. Nous nous liâmes à une bande d'enfants errants, qui vivaient dans les mêmes conditions que nous, et nous nous organisâmes en une petite troupe habile et efficace. Mon frère en devant rapidement le chef grâce a sa force hors du commun, qui lui viendrait de notre père.

J'en étais cependant dépourvu je n'étais un garçon craintif, et pacifique, détestant la violence, ce qui irritait au plus haut point mes camarades, qui m'auraient passer bien souvent à tabac si je n'avais pas bénéficier de la protection de mon grand frère.
Un jour, alors que j'étais âgé d'une dizaine d'années, nous nous retrouvâmes à Mycènes et nous décidâmes d'"explorer" la ville. Tandis que mes camarades mener par mon frère, empruntaient force de nourritures aux marchands du coin, je déambulais dans les rues, ravis de me trouver dans une si grande et si belle ville.

Sans y prêter attention je me retrouvai derrière le magnifique palais du roi. Tandis que j'admirais les motifs représentant le duel entre Hector et Achille, une explosion terrible surgit juste devant moi, dans une déflagration assoudisante. Je me protégeais tant bien que mal de mes bras chétif, en fermant très fort les yeux.

Lorsque je les rouvris, plus rien n'était pareil.
Alors qu'auparavant se dressait une superbe façade du palais majestueux des descendants d'Agamemnon, il n'y avait désormais qu'un trou béant entouré d'un amas de poussière et un homme au milieu. Et cet dégageait une lumière doré, c'est comme si elle faisait paris de lui... Mais cet être fantastique, semblait également gravement blessé. Il sortis avec des difficultés des décombres, pour se diriger vers moi!!! Il me dit alors que si les autres sont tous morts (les autres sont tous morts? Par Apollon c'était vrai, tout autour de moi, il n'y avait que des cadavres, sans doutes tués par le souffle de l'explosion), c'est que je devais être possesseur d'un Kosmos, ou je ne sais quoi...et que je pouvait donc achevé sa tache.
Il me remit alors ce qu'il tenait a son bras tel un nouveau né, un urne funéraire magnifique, tout en or incrusté de pierres plus précieuses les unes que les autres. Il me dit que je devais ramener çà à sa majesté Hadès, dans un dernier souffle. Plus effrayé que jamais, je m'enfuit le plus vite possible, tout en entendant des cris d'hommes et de chiens, lancés a ma poursuite.

Je retrouvait enfin, mes compagnons, qui eux en avait profités pour chapardé une quantité fort importante de nourriture. Je remis l'urne de suite à Ashram, qui compris immédiatement qu'il valait mieux ne pas laisse l'objet trainer. D'autant plus que les poursuivants ne tardèrent pas a se manifester. Nous vîmes au loin quantité d'hommes en armes vociférer vers nous. Nous filèrent donc très vite, et nous enfuirent loin de mycène. A la nuit tombé, nous n'avions plus de traces de nos poursuivants depuis 3h, et nous décidâmes de dormir un peu.

Au milieu de la nuit, nous fumes soudain réveiller par un hurlement. Les mycéniens nous avaient retrouvé et fou de rage, commençaient a tuer les premiers d'entres nous! Au milieu, de ses soldats, je ne l'oublierait jamais se tenait un homme incroyable. Son armure était rouge comme le sang, et d'une beauté prodigieuse, mais une aura malveillante s'en échappait....Quand a son propriétaire, les traits de visage étaient harmonieux et élégants, nous aurions put être tenter de le supplier de nous aider, tellement il inspirait la confiance si son bras n'était pas plongé dans le coeur de l'un des nôtres, son visage arborant un air jubilatoire et sadique.

Nous primes instantanément nos jambes à notre coup, mon frère Ashram et moi, pendant que retentissaient les cris d'agonies de nos derniers camarades.
Nous nous pensions avoir échapper au massacre, quand nous arrivâmes dans une clairière, ou se tenait l'homme a l'armure rouge...

Je tenais fermement contre moi, l'objet de tant de haine, mais était bien près à le rendre contre nos vies. Dès qu'il le vu, l'homme avança vers moi, d'un pas sur et décidé. A un mètre de moi, il leva la main machinalement, lorsque mon frère surgit au milieu de nous faisant barrière de son corps d'un air rageur. Sa mort fut instantané sa tête, volant dans la seconde, tandis qu'un cris d'horreur s'échappait instantanément de ma gorge. L'Homme allait me tuer à son tour, lorsque soudain un force prodigieuse émettant une splendide lumière violette surgit entre nous, au dessus du cadavre de mon frère, et envoya volé l'homme en rouge à des mètres de là.

L'apparition, me regarda de son visage incroyablement beau, mais dur, et me dit : "Je suis Thanatos, serviteur de sa majesté Hadès. "Tu es le fils de Jenova n'est ce pas? Elle fut une bonne prêtresse, et sa dévotion ne sera oublier, de plus, tu as ici un objet qui nous sera fort utile pour nos plan, dit il dans un sourire". Je restais abasourdi devant celui qui disait être le dieu de la Mort, quand il me dit alors "Vient", en me tendant la main.
"-Mais, mais, et mon frère?"
"Il est trop tard pour lui, même pour moi" dit-il sobrement, alors "vient!".
Je lui pris la main.

C'est ainsi que je rejoignis le domaine d'Hadès, le Nekyomanteion. Là Thanatos, me dis qu’il allait parler de moi, à sa majesté Hadès en personne, et que pour les services que je lui ai rendue en ramenant cette urne, et par respect pour ma mère et mon frère, je pourrais resté ici, afin, de m’entraîner au combat, pour les futurs combats de Sa Majesté Hadès. Il me dit surtout que je possédais en moi un cosmos intéressant, et qu’il ne tenait qu’à moi, de le développer pour acquérir des pouvoirs prodigieux, des pouvoirs qui me permettraient de me venger de l’homme en rouge…
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Messagepar Mandos » lun. oct. 10, 2005 8:53 pm

Histoire franchement intéressante. Il y a quelques coquilles, mais ca manque surtout d'aération et les dialogues sont mal mis en forme. Je vais changer ça.

Pour l'histoire elle même ca me va, mis à part Thanatos, utilise un spectre quelconque nvoyé par Hadès, mais pas Hypnos ni Thanatos, ni Hadès.

Et puis essaye de dire pourquoi tu choisi de rester et de servir HAdès, de développer un peu cett aprtie. Sinon le reste est très bien
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Messagepar Niebelungen » lun. oct. 10, 2005 9:27 pm

Même remarque que Mandos, ne dis pas qu'un Dieu t'es apparut.

Rien ne dit pourquoi tu restes chez Hadès et que tu choisis de le servir.

Sinon je comprend pas cette phrase :
"c'est que je devais être possesseur d'un Kosmos, ou je ne sais quoi...et que je pouvait donc achevé sa tache"

Je crois que tu y vas un peu fort 8) comment connais tu la connaissance du cosmos ? Que tu en possède un sans doute, mais qu'il puisse deja se manifester c'est un peu trop.
Et tu veux achever quoi ? La tâche de qui ? comment la connais tu ?
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Deuxième version apres quelques modifications

Messagepar Ménétak » sam. oct. 15, 2005 7:29 pm

Je suis Ménétak.
Je ne connais pas mon père, ma mère Jenova, une prêtresse d'Hadès était morte en me mettant au monde, et ce fus mon frère de 6 ans mon aîné, Ashram, qui m'éleva. Mon frère me transmit le culte du dieu Hadès que lui avait enseigné notre mère. Nous vivions comme des orphelins, errant entre vols et rapines. Nous nous liâmes à une bande d'enfants errants, qui vivaient dans les mêmes conditions que nous, et nous nous organisâmes en une petite troupe habile et efficace. Mon frère en devint rapidement le chef grâce à sa force hors du commun, qui lui viendrait de notre père. J'en étais cependant dépourvu je n'étais un garçon craintif, et pacifique, détestant la violence, ce qui irritait au plus haut point mes camarades, qui m'auraient passer bien souvent à tabac si je n'avais pas bénéficier de la protection de mon grand frère.
Un jour, alors que j'étais âgé d'une dizaine d'années, nous nous retrouvâmes à Mycènes et nous décidâmes d'"explorer" la ville. Tandis que mes camarades mener par mon frère, empruntaient force de nourritures aux marchands du coin, je déambulais dans les rues, ravis de me trouver dans une si grande et si belle ville. Sans y prêter attention je me retrouvai derrière le magnifique palais du roi. Tandis que j'admirais les motifs représentant le duel entre Hector et Achille, une explosion terrible surgit juste devant moi, dans une déflagration assoudisante. Je me protégeais tant bien que mal de mes bras chétif, en fermant très fort les yeux. Lorsque je les rouvris, plus rien n'était pareil.
Alors qu'auparavant se dressait une superbe façade du palais majestueux des descendants d'Agamemnon, il n'y avait désormais qu'un trou béant entouré d'un amas de poussière et un homme au milieu. Et cet être dégageait une lumière dorée, c'est comme si elle faisait partis de lui... Mais cet être fantastique, semblait également gravement blessé. Il sortis avec des difficultés des décombres, pour se diriger vers moi!!! Il me dit alors que si les autres sont tous morts (les autres sont tous morts? Par Apollon c'était vrai, tout autour de moi, il n'y avait que des cadavres, sans doutes tués par le souffle de l'explosion), c'est que je devais être possesseur d'un Kosmos au fond de moi, et c’est surtout que je dois être protégé par un Dieu, moi !...et que je pouvait donc achevé sa tache. Il me remit alors ce qu'il tenait a son bras tel un nouveau né, un urne funéraire magnifique, tout en or incrusté de pierres plus précieuses les unes que les autres. Il me dit que je devais ramener ça à sa majesté Hadès, dans un dernier souffle. Plus effrayé que jamais, je m'enfuis le plus vite possible, tout en entendant des cris d'hommes et de chiens, lancés à ma poursuite.
Je retrouvait enfin, mes compagnons, qui eux en avait profités pour chapardé une quantité fort importante de nourriture. Je remis l'urne de suite à Ashram, qui compris immédiatement qu'il valait mieux ne pas laisse l'objet trainer. D'autant plus que les poursuivants ne tardèrent pas a se manifester. Nous vîmes au loin quantité d'hommes en armes vociférer vers nous. Nous filèrent donc très vite, et nous enfuirent loin de mycène. A la nuit tombé, nous n'avions plus de traces de nos poursuivants depuis 3h, et nous décidâmes de dormir un peu.
Au milieu de la nuit, nous fûmes soudain réveillés par un hurlement. Les mycéniens nous avaient retrouvé et fous de rage, commençaient à tuer les premiers d'entres nous! Au milieu, de ses soldats, je ne l'oublierait jamais se tenait un homme incroyable. Son armure était rouge comme le sang, et d'une beauté prodigieuse, mais une aura malveillante s'en échappait....Quand a son propriétaire, les traits de visage étaient harmonieux et élégants, nous aurions pu être tenter de le supplier de nous aider, tellement il inspirait la confiance si son bras n'était pas plongé dans le coeur de l'un des nôtres, son visage arborant un air jubilatoire et sadique.
Nous primes instantanément nos jambes à notre coup, mon frère Ashram et moi, pendant que retentissaient les cris d'agonies de nos derniers camarades.
Nous nous pensions avoir échapper au massacre, quand nous arrivâmes dans une clairière, ou se tenait l'homme a l'armure rouge...
Je tenais fermement contre moi, l'objet de tant de haine, mais était bien près à le rendre contre nos vies. Dès qu'il le vu, l'homme avança vers moi, d'un pas sur et décidé. A un mètre de moi, il leva la main machinalement, lorsque mon frère surgit au milieu de nous faisant barrière de son corps d'un air rageur. Sa mort fut instantanée. Sa tête vola dans la seconde, tandis qu'un cri d'horreur s'échappait simultanément de ma gorge. L'Homme allait me tuer à son tour, mais plus rien n’avait d’importance maintenant que mon frère n’est plus. Je ne mourais pas cependant sans courage. Malgré mon visage baigné de larmes, je décidais de faire face jusqu’au bout. Je me battrais jusqu’au bout. Et puisse mon frère être fier de moi, lorsque je le rejoindrai dans le domaine du seigneur Hadès. Face à mes points pour le première fois me vie dressé dans le but de tuer, mon adversaire ricana. « Que crois tu misérables ? Tu vas bientôt mourir comme le chien que je viens de raccourcir !!! » Il rit de manière démente, en levant son bras. Je ne pus m’empêcher de fermer les yeux lorsque je vis son bras tomber, mais curieusement la mort ne vint pas.
Je rouvris alors les yeux et vit un homme tenant la main du chevalier rouge, dont le visage exprimait surprise et haine. Mon sauveur, fit alors apparaître, cette sorte d’aura, qui englobait son corps, comme je l’avais déjà vus, sur l’homme en fuite, ou le tueur en rouge, à le différence que cette aura là était violette. Dans l’instant suivant, l’homme en rouge fut projeté avec fracas, à plusieurs dizaines de mètres de là.
L'apparition tourna alors son visage vers moi. Il était dur, zébré de plusieurs cicatrice, et aurait pus en effrayé plus d’un mais pourtant, il me semblait bienveillant. Comme si je savais déjà qui il était. Etrange contraste chez cet homme. Plus surprenante encore était l’armure qui le recouvrait, elle m’évoquait un oiseau monstrueux. Mais malgré cet aspect effrayant, je n’en avais pas peur, au contraire. Ashram, m’avait toujours dit de ne pas ce fier au apparences, elle sont si trompeuses. Il me disait bien, que le mal peut avoir le plus doux des visages, et le bien, être symbolisé par des formes qui peuvent nous paraître effrayante.

« Tu es le fils de Jenova n'est ce pas? » Répondant par un hochement de tête affirmatif, il me mit alors une main sur l’épaule. « Elle fut une bonne prêtresse, et sa dévotion ne sera oublier, de plus, tu as ici un objet qui nous sera fort utile pour nos plan, dit il dans un sourire". « Mais maintenant il faut partir », dit il en regardant vers l’endroit ou fut projeté l’homme en rouge. Celui ce relevait et semblait furieux, il fit explosait ce que j’appris être plus tard un cosmos extrêmement puissant, et qui sembla inquiété mon si impressionnant sauveur. « Mais, et mon frère ? ». Son visage s’attrista, et il me dit « qu’on ne peut plus rien pour lui, que le seule chose qu’il me reste c’est à acquérir la force de me venger ».
Je me sentis alors me faire téléporté par l’homme, alors que l’homme en rouge fonçait sur nous à une vitesse hallucinante. C'est ainsi que je rejoignis le domaine d'Hadès, le Nekyomanteion. Là mon sauveur, après s’être présenté comme étant Sylphide du Basilic me dis qu’il allait parler de moi, à sa majesté Hadès en personne, et que pour les services que je lui ai rendue en ramenant cette urne, et par respect pour ma mère et mon frère, je pourrais rester ici, afin, de m’entraîner au combat, pour les futurs combats de Sa Majesté Hadès. Il me dit surtout que je possédais en moi un cosmos intéressant, et qu’il ne tenait qu’à moi, de le développer pour acquérir des pouvoirs prodigieux, des pouvoirs qui me permettraient de me venger de l’homme en rouge…
Je vis alors mon sauveur mon sauveur s’éloigner, et je lui demanda : « Monsieur Sylphide, nous reverrons nous ? » « Pas dans l’immédiat Ménétak, peut être plus tard, sit u survis à ton entraînement, ce qui ne sera pas évident… ». J’acceptais cette mise en garde sans avoir peur, pour la première fois de l’adversité. Je me découvrait alors une force de caractère que je ne me connaissait pas, amis que j’attribuait à coup sur à l’âme d’Ashram vivante en moi…
Je ne revit effectivement plus Sylphide par la suite, et je vécus les pires années de toutes mon existences, à subir des entraînements inhumains, prodigués par des maîtres très durs. Cependant je tiens bon, continuant à me raccrocher à le vie, pour venger celle de mon frère perdue…
Huit ans ont passés, le temps des Guerres Saintes approche à grand pas, près de lui, mon destin m’attend pour la plus grande gloire d’Hadès !
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Messagepar Niebelungen » sam. oct. 15, 2005 8:14 pm

C'est toujours très bien écrit, agréable, mais il n'y a pas beaucoup de différence par rapport à ton premier texte.
En effet on ne sait toujours pas pourquoi tu décides de rester au nekyo ni si tu aimes Hadès en quoi que ce soit.

On sait juste que tu as été élevé comme cela.

Ensuite tu dois faire coincider le jeu et le rp, le spectre du basilic n'existe pas sur le jeu, donc il ne peut non plus exister sur ton rp :wink:
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Messagepar Mandos » sam. oct. 15, 2005 11:27 pm

C'est vrai que ton texte est très agréable à lire.

Mais je rejoins l'avis de Nieb, il faudrait que tu fasses plus ressortir ton envie de servir HAdès et pas un autre, et dire pourquoi tu acceptes de rester.

Quand tu auras changé simplement cette partie, pour moi c'est bon tu pourras être validé. La fin (devrais je dire le début) arrive. Courage.

PS : n'oublie pas l'histoire du BAsilic
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Messagepar Ménétak » sam. oct. 22, 2005 6:23 pm

Je suis désolé, mais je comprends aps pourquoi ne pas parler de Sylphide... Et si je devais mettre quelqu'un d'autres à la place, je vois pas qui...je n'ai pas envie de me "soumettre" à un quelconque joueur, sans manquer de respects à qui ce soit. De plus, on peut bien supposer que dans la suite du jeu, on verra apparaitre de nouveaux surplis disponible, non? dont celui du basilic...Et puios on pourait toujours dire que mon sauveur en fut l'ancien porteur(si ce n'est que çà, je peux chnager son prenom)
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Messagepar Mandos » sam. oct. 22, 2005 7:47 pm

Ce qui nous gêne c'est le fait qu'il porte un surplis. Pour l'instant aucun guerrier n'a de surplis. C'est tout!
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Messagepar Niebelungen » sam. oct. 22, 2005 8:51 pm

Il faut que tu comprenne que l'on est au temps mythologique et que personne à ce jour n'a vu de surplis... car ils viennent juste d'être créé.
Tu peux inventer un quelconque spectre assez puissant (par exple un équivalent de niv4 sur le jeu)... mais qui n'a pas de surplis.
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Messagepar Ménétak » dim. oct. 23, 2005 10:06 pm

Je suis Ménétak.
Je ne connais pas mon père, ma mère Jenova, une prêtresse d'Hadès était morte en me mettant au monde, et ce fus mon frère de 6 ans mon aîné, Ashram, qui m'éleva. Mon frère me transmit le culte du dieu Hadès que lui avait enseigné notre mère. Nous vivions comme des orphelins, errant entre vols et rapines. Nous nous liâmes à une bande d'enfants errants, qui vivaient dans les mêmes conditions que nous, et nous nous organisâmes en une petite troupe habile et efficace.

Mon frère en devint rapidement le chef grâce à sa force hors du commun, qui lui viendrait de notre père. J'en étais cependant dépourvu je n'étais un garçon craintif, et pacifique, détestant la violence, ce qui irritait au plus haut point mes camarades, qui m'auraient passer bien souvent à tabac si je n'avais pas bénéficier de la protection de mon grand frère.

Un jour, alors que j'étais âgé d'une dizaine d'années, nous nous retrouvâmes à Mycènes et nous décidâmes d'"explorer" la ville. Tandis que mes camarades mener par mon frère, empruntaient force de nourritures aux marchands du coin, je déambulais dans les rues, ravis de me trouver dans une si grande et si belle ville. Sans y prêter attention je me retrouvai derrière le magnifique palais du roi. Tandis que j'admirais les motifs représentant le duel entre Hector et Achille, une explosion terrible surgit juste devant moi, dans une déflagration assoudisante. Je me protégeais tant bien que mal de mes bras chétif, en fermant très fort les yeux.
Lorsque je les rouvris, plus rien n'était pareil.

Alors qu'auparavant se dressait une superbe façade du palais majestueux des descendants d'Agamemnon, il n'y avait désormais qu'un trou béant entouré d'un amas de poussière et un homme au milieu. Et cet être dégageait une lumière dorée, c'est comme si elle faisait partis de lui... Mais cet être fantastique, semblait également gravement blessé. Il sortis avec des difficultés des décombres, pour se diriger vers moi!!! Il me dit alors que si les autres sont tous morts (les autres sont tous morts? Par Apollon c'était vrai, tout autour de moi, il n'y avait que des cadavres, sans doutes tués par le souffle de l'explosion), c'est que je devais être possesseur d'un Kosmos au fond de moi, et c’est surtout que je dois être protégé par un Dieu, moi !...et que je pouvait donc achevé sa tache. Il me remit alors ce qu'il tenait a son bras tel un nouveau né, un urne funéraire magnifique, tout en or incrusté de pierres plus précieuses les unes que les autres. Il me dit que je devais ramener ça à sa majesté Hadès, dans un dernier souffle. Plus effrayé que jamais, je m'enfuis le plus vite possible, tout en entendant des cris d'hommes et de chiens, lancés à ma poursuite.

Je retrouvait enfin, mes compagnons, qui eux en avait profités pour chapardé une quantité fort importante de nourriture. Je remis l'urne de suite à Ashram, qui compris immédiatement qu'il valait mieux ne pas laisse l'objet trainer. D'autant plus que les poursuivants ne tardèrent pas a se manifester. Nous vîmes au loin quantité d'hommes en armes vociférer vers nous. Nous filèrent donc très vite, et nous enfuirent loin de mycène. A la nuit tombé, nous n'avions plus de traces de nos poursuivants depuis 3h, et nous décidâmes de dormir un peu.

Au milieu de la nuit, nous fûmes soudain réveillés par un hurlement. Les mycéniens nous avaient retrouvé et fous de rage, commençaient à tuer les premiers d'entres nous! Au milieu, de ses soldats, je ne l'oublierait jamais se tenait un homme incroyable. Son armure était rouge comme le sang, et d'une beauté prodigieuse, mais une aura malveillante s'en échappait....Quand a son propriétaire, les traits de visage étaient harmonieux et élégants, nous aurions pu être tenter de le supplier de nous aider, tellement il inspirait la confiance si son bras n'était pas plongé dans le coeur de l'un des nôtres, son visage arborant un air jubilatoire et sadique.

Nous primes instantanément nos jambes à notre coup, mon frère Ashram et moi, pendant que retentissaient les cris d'agonies de nos derniers camarades.
Nous nous pensions avoir échapper au massacre, quand nous arrivâmes dans une clairière, ou se tenait l'homme a l'armure rouge...

Je tenais fermement contre moi, l'objet de tant de haine, mais était bien près à le rendre contre nos vies. Dès qu'il le vu, l'homme avança vers moi, d'un pas sur et décidé. A un mètre de moi, il leva la main machinalement, lorsque mon frère surgit au milieu de nous faisant barrière de son corps d'un air rageur. Sa mort fut instantanée. Sa tête vola dans la seconde, tandis qu'un cri d'horreur s'échappait simultanément de ma gorge. L'Homme allait me tuer à son tour, mais plus rien n’avait d’importance maintenant que mon frère n’est plus. Je ne mourais pas cependant sans courage. Malgré mon visage baigné de larmes, je décidais de faire face jusqu’au bout. Je me battrais jusqu’au bout. Et puisse mon frère être fier de moi, lorsque je le rejoindrai dans le domaine du seigneur Hadès. Face à mes points pour le première fois me vie dressé dans le but de tuer, mon adversaire ricana. « Que crois tu misérables ? Tu vas bientôt mourir comme le chien que je viens de raccourcir !!! » Il rit de manière démente, en levant son bras. Je ne pus m’empêcher de fermer les yeux lorsque je vis son bras tomber, mais curieusement la mort ne vint pas.

Je rouvris alors les yeux et vit un homme en tunique sombre tenant la main du chevalier rouge, dont le visage exprimait surprise et haine. Mon sauveur, fit alors apparaître, cette sorte d’aura, qui englobait son corps, comme je l’avais déjà vus, sur l’homme en fuite, ou le tueur en rouge, à le différence que cette aura là était violette. Soudainement ce phénomène lumineux sembla exploser en prenant l’apparence d’un oiseau monstrueux. Dans l’instant suivant, l’homme en rouge fut projeté avec fracas, à plusieurs dizaines de mètres de là.

L'apparition tourna alors son visage vers moi. Il était dur, zébré de plusieurs cicatrice, et aurait pus en effrayé plus d’un mais pourtant, il me semblait bienveillant. Comme si je savais déjà qui il était. Etrange contraste chez cet homme. Ashram, m’avait toujours dit de ne pas ce fier au apparences, elle sont si trompeuses. Il me disait bien, que le mal peut avoir le plus doux des visages, et le bien, être symbolisé par des formes qui peuvent nous paraître effrayante.

« Tu es le fils de Jenova n'est ce pas? » Répondant par un hochement de tête affirmatif, il me mit alors une main sur l’épaule. « Elle fut une bonne prêtresse, et sa dévotion ne sera oublier, de plus, tu as ici un objet qui nous sera fort utile pour nos plan, dit il dans un sourire". « Mais maintenant il faut partir », dit il en regardant vers l’endroit ou fut projeté l’homme en rouge. Celui ce relevait et semblait furieux, il fit explosait ce que j’appris être plus tard un cosmos extrêmement puissant, et qui sembla inquiété mon si impressionnant sauveur. « Mais, et mon frère ? ». Son visage s’attrista, et il me dit « qu’on ne peut plus rien pour lui, que le seule chose qu’il me reste c’est à acquérir la force de me venger ». Je me sentis alors me faire téléporté par l’homme, alors que l’homme en rouge fonçait sur nous à une vitesse hallucinante.

C'est ainsi que je rejoignis le domaine d'Hadès, le Nekyomanteion. Là mon sauveur, me confia son nom, Sylphide. Il me dis qu’il allait faire parler de moi, à sa majesté Hadès en personne, et que pour les services que je lui ai rendue en ramenant cette urne, et par respect pour ma mère et mon frère, je pourrais rester ici, afin, de m’entraîner au combat, pour les futurs combats de Sa Majesté Hadès. Ma réponse à son offre le surpris. « Je ne veux pas servir Hadès, ni aucun autres dieux !!! Mon frère est mort et servait Hadès, tout comme ma mère !!! Ils lui avait confié et offert leurs vies, et leur seule récompense fut la mort !!!Alors, moi je devrais mourir aussi pour lui pourquoi ? Pourquoi ? ». J’hurlais ses dernières paroles, plein de rage. Je vis alors Sylphide séré les points, sans doute outré par mon blasphème, puis son point se détendit et il me répondis tristement. « Pour exaucer le vœu du Seigneur Hadès, déclanché l’Apocalypse… » Il me dit ces paroles de l’air le plus naturel du monde, comme s’il ne s’agissait que d’une banalité évidente. « Mais vous êtes malade ? Vous voulez détruire le monde, et vous en plus que je vous y aide ??? ». Sylphide sourit à mes paroles lancées avec une expression hallucinée. Sylphide me sourit doucement. »Pas du tout, nous ne voulons pas détruire le monde, nous ne sommes pas comme ses fous de berserkers d’Arès ». « Mais vous venez pourtant de me dire que vous vouliez déclanché l’Apocalypse », dis-je interloqué. « C’est exact…Mais sais tu vraiment ce qu’est l’Apocalypse ? Ce mot signifie « la levée du voile ». Ce que veut Hadès, c’est d’un monde lavé de tout mal…un monde pur…Le monde actuel est souillé de la bêtise des hommes…Tout n’est que rapine, meurtre, fourberie, trahison, violence, bêtise et guerre. Seule règne la loi du plus fort, les valeurs tels que l’amour ou la compassion, sont bafoués…Seule quelques hommes et femmes, comme ton frère et ta mère, défendent encore l’amour, mais ils ne sont plus qu’une poigné, qu’il faut sauvé ! C’est pour cela qu’Hadès veut renverser les autres dieux régnant sur le monde…Athéna est pleine de bons sentiment mais est trop naïve, Zeus n’est qu’un tyran avide de pouvoir. Poséidon est plus proche de nos idées, mais lui, est carrément trop intransigeant, il veut carrément tout détruire. Seul le noble Hadès peut sauver ce monde en « levant le voile » de ténèbre qui le recouvre…Un monde ou des tragédies comme la tienne n’existerait plus…Quand à ton frère et ta mère sache qu’ils ont rejoins sans doute l’Elyseon, là où se rendent les élues dans la mort. »
Le discours de Sylphide fut le choc de ma vie, ainsi le Seigneur des Ténèbres voulait combattre pour crée un monde lavé de tout mal, un monde de Lumière…Ce fut comme si d’un seule coup tout devenait clair pour moi. Comme si le voile se levait…Ma décision était prise, je suivrais la mêle voie que ma mère et Ashram, je donnerais ma vie pour le seigneur Hadès, pour la paix dans le monde…

Je vis alors mon sauveur mon sauveur s’éloigner, et je lui demanda : « Monsieur Sylphide, nous reverrons nous ? » « Pas dans l’immédiat Ménétak, peut être plus tard, si tu survis à ton entraînement, ce qui ne sera pas évident… ». J’acceptais cette mise en garde sans avoir peur, pour la première fois de l’adversité. Je me découvrait alors une force de caractère que je ne me connaissais pas, amis que j’attribuait à coup sur à l’âme d’Ashram vivante en moi…

Je ne revis effectivement plus Sylphide par la suite, et je vécus les pires années de toutes mon existences, à subir des entraînements inhumains, prodigués par des maîtres très durs. Cependant je tiens bon, continuant à me raccrocher à le vie, pour venger celle de mon frère perdue…
Huit ans ont passés, le temps des Guerres Saintes approche à grand pas, près de lui, mon destin m’attend pour la plus grande gloire d’Hadès !

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