[VALIDE V3] Shihouin Yoruichi
Publié : sam. nov. 04, 2006 11:03 pm
L'histoire de Shihouin Yoruichi
Partie 1 :
Date et année de naissance inconnues. Famille et situation inconnues. Elle n’a jamais connu la douceur d’une mère et l’éducation correcte qu’est sensé donner un père. Elle ne sait pas si elle a des frères ou sœurs ou même un foyer. A sa naissance, ses parents l’ont lâchement abandonné pour la déposer au milieu d’un chemin désert en plein été. La canicule aurait dû la déssecher au fil des heures, un nourrisson abandonné, sa peau soumise aux brûlants rayons du soleil et sans lait ne pouvait survivre bien longtemps.
Aussi, elle se mit à crier sentir l’imminent danger qui s’approchait d’elle à chaque pas, celui de la mort.
Ses cris résonnaient sur les pierres sèches de l’endroit. Elle savait pas ou elle était. Elle ne connaissait rien à cet endroit, elle devait avoir pas plus de quelques heures, comment un enfant pouvait s’en sortir seul ?
Même les chiens errants ne s’attardaient pas sur une carcasse aussi maigre et frêle, pour dire l’intérêt qu’avait une nouvelle existence dans cette vie.
Elle s’apprêtait à fermer les paupières pour laisser son âme quitter le corps qui n’avait pû grandir quand une ombre enveloppa Yoruichi. Elle a jamais sût l’explication de se phénomène. Aucune personne n’était présente à ce moment là alors imaginez une intervention divine faisait bien rire ceux à qui elle expliquait son cas. Comment un dieu pourrait trouver de l’intérêt à ce genre de fille ?
Voleuse, tricheuse, menteuse, toutes ces qualités qui font d’elle une gentille enfant des rues de Sparte. Elle n’a jamais eût de famille, jamais eût d’amis, elle a toujours erré seule, des habits déchirés qui laissaient à tout le monde le jugement de sa peau, une peau bronzée, non, marquée par les brûlures du soleil à cause de ce jour. Des yeux jaunes qui brillent aux rayons de la lune. Les gens ont peur de Yoruichi, elle ne ressemblait pas aux autres jeunes filles de son âge, elle n’avait rien pour plaire d’ailleurs. Qui voulait d’une mendiante ?
Elle le comprit bien, aussi elle s’éloigna de la ville pour aller vivre dans les bois d’antant. Elle construisa de ses propres mains une épée de bois et s’entraîna au maniement de celle-ci. Frappant sans cesse contre les arbres épais qu’elle croisait, ses mains saignaient mais elle ne montrait pas sa douleur. Il fallait qu’elle devienne plus forte, plus forte pour pouvoir se défendre, plus forte pour pouvoir continuer à vivre sans demander de l’aide à personne, plus forte pour pouvoir retrouver ses parents et les tuer tout deux de ses mains !
Elle organisait des courses le long des lisières pour augmenter sa rapidité, une fois gagnées elle n’avait aucun scrupule pour dépouiller ses adversaires de toutes traces de valeures et parfois même en les dépouillant de leurs habits pour pouvoir les revendre et s’acheter de la nourriture les laissant repartir avec rien sur le dos…
Yoruichi prenait un malin plaisir à se moquer des autres, à tenter de trouver leurs faiblesses pour pouvoir mieux enfoncer la dague en plein cœur ! La nature avait fait d’elle un monstre, autant se comporter comme tel!
!
____________________
Dix-sept années s’écoulèrent ainsi. Les limites qu’elle s’était fixéés lui valluent d’être toujours en vie mais à chaque année passées la solitude se faisait toujours présente. Un grand poids dans sa poitrine qu’elle avait dès fois du mal à supporter. Des spectacles dégoûtants l’entouraient chaque jour, des parents riants avec leurs enfants, des amis festoyant un moment important et surtout des couples s’embrassants aux quatres coins de la ville. Elle manquait de peu de vomir à chaque fois mais la curiosité étant le principal défaut de l’homme était un vice tout à fait naturel.
Elle s’approcha d’une auberge, s’installa au comptoir comme elle le faisait souvent. Le responsable du bar la dévisagea un long moment, Yoruichi se demandait si elle devait lui crever un œil par punition ou bien déguster sagement sa bière des fonds… L’homme se décida enfin s’arrêtant pile poil devant la jeune femme. Il posa violemment son poing contre la table manquant de peu de l’écablousser.
.
« Hey toi ! J’aime pas trop ta gueule ! Tu ressembles trop à un spectre ! Dégages de là, c’est un bar respectable ici, t' as rien à faire ici !! »
Elle leva un sourcil surprise, elle savait même pas de quoi il venait la traiter. C’était quoi ça … spectre ? Yoruichi reposa son verre sur le comptoir et passa sa langue sur ses dents, un petit bruit qu’elle aimait entendre quand elle s’apprêtait à se battre. Elle se releva et d’un geste de la main fît de l’air devant son visage.
« Qu’est ce tu dis le vieux ? Tu sais que tu pues trop de la gueule et c’est moi qui suis censée faire fuir les clients ? »
Il commença à s’énerver, d’un geste rapide il attrapa son épée qui était bien planquée je ne sais où. Le bout de sa lame à une vitesse rapide sous le cou de la jeune dame. Elle souriait, enfin un peu d’action, qu’il était bête de vouloir faire partir quelqu’un de cette manière, autant l laisser partir d’elle- même. Elle se surprit à avoir une pensée plus intelligente que la moyenne, peut être que justement la moyenne était bien bête, ce qui expliquerait bien des choses
Partie 1 :
Date et année de naissance inconnues. Famille et situation inconnues. Elle n’a jamais connu la douceur d’une mère et l’éducation correcte qu’est sensé donner un père. Elle ne sait pas si elle a des frères ou sœurs ou même un foyer. A sa naissance, ses parents l’ont lâchement abandonné pour la déposer au milieu d’un chemin désert en plein été. La canicule aurait dû la déssecher au fil des heures, un nourrisson abandonné, sa peau soumise aux brûlants rayons du soleil et sans lait ne pouvait survivre bien longtemps.
Aussi, elle se mit à crier sentir l’imminent danger qui s’approchait d’elle à chaque pas, celui de la mort.
Ses cris résonnaient sur les pierres sèches de l’endroit. Elle savait pas ou elle était. Elle ne connaissait rien à cet endroit, elle devait avoir pas plus de quelques heures, comment un enfant pouvait s’en sortir seul ?
Même les chiens errants ne s’attardaient pas sur une carcasse aussi maigre et frêle, pour dire l’intérêt qu’avait une nouvelle existence dans cette vie.
Elle s’apprêtait à fermer les paupières pour laisser son âme quitter le corps qui n’avait pû grandir quand une ombre enveloppa Yoruichi. Elle a jamais sût l’explication de se phénomène. Aucune personne n’était présente à ce moment là alors imaginez une intervention divine faisait bien rire ceux à qui elle expliquait son cas. Comment un dieu pourrait trouver de l’intérêt à ce genre de fille ?
Voleuse, tricheuse, menteuse, toutes ces qualités qui font d’elle une gentille enfant des rues de Sparte. Elle n’a jamais eût de famille, jamais eût d’amis, elle a toujours erré seule, des habits déchirés qui laissaient à tout le monde le jugement de sa peau, une peau bronzée, non, marquée par les brûlures du soleil à cause de ce jour. Des yeux jaunes qui brillent aux rayons de la lune. Les gens ont peur de Yoruichi, elle ne ressemblait pas aux autres jeunes filles de son âge, elle n’avait rien pour plaire d’ailleurs. Qui voulait d’une mendiante ?
Elle le comprit bien, aussi elle s’éloigna de la ville pour aller vivre dans les bois d’antant. Elle construisa de ses propres mains une épée de bois et s’entraîna au maniement de celle-ci. Frappant sans cesse contre les arbres épais qu’elle croisait, ses mains saignaient mais elle ne montrait pas sa douleur. Il fallait qu’elle devienne plus forte, plus forte pour pouvoir se défendre, plus forte pour pouvoir continuer à vivre sans demander de l’aide à personne, plus forte pour pouvoir retrouver ses parents et les tuer tout deux de ses mains !
Elle organisait des courses le long des lisières pour augmenter sa rapidité, une fois gagnées elle n’avait aucun scrupule pour dépouiller ses adversaires de toutes traces de valeures et parfois même en les dépouillant de leurs habits pour pouvoir les revendre et s’acheter de la nourriture les laissant repartir avec rien sur le dos…
Yoruichi prenait un malin plaisir à se moquer des autres, à tenter de trouver leurs faiblesses pour pouvoir mieux enfoncer la dague en plein cœur ! La nature avait fait d’elle un monstre, autant se comporter comme tel!
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Dix-sept années s’écoulèrent ainsi. Les limites qu’elle s’était fixéés lui valluent d’être toujours en vie mais à chaque année passées la solitude se faisait toujours présente. Un grand poids dans sa poitrine qu’elle avait dès fois du mal à supporter. Des spectacles dégoûtants l’entouraient chaque jour, des parents riants avec leurs enfants, des amis festoyant un moment important et surtout des couples s’embrassants aux quatres coins de la ville. Elle manquait de peu de vomir à chaque fois mais la curiosité étant le principal défaut de l’homme était un vice tout à fait naturel.
Elle s’approcha d’une auberge, s’installa au comptoir comme elle le faisait souvent. Le responsable du bar la dévisagea un long moment, Yoruichi se demandait si elle devait lui crever un œil par punition ou bien déguster sagement sa bière des fonds… L’homme se décida enfin s’arrêtant pile poil devant la jeune femme. Il posa violemment son poing contre la table manquant de peu de l’écablousser.
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« Hey toi ! J’aime pas trop ta gueule ! Tu ressembles trop à un spectre ! Dégages de là, c’est un bar respectable ici, t' as rien à faire ici !! »
Elle leva un sourcil surprise, elle savait même pas de quoi il venait la traiter. C’était quoi ça … spectre ? Yoruichi reposa son verre sur le comptoir et passa sa langue sur ses dents, un petit bruit qu’elle aimait entendre quand elle s’apprêtait à se battre. Elle se releva et d’un geste de la main fît de l’air devant son visage.
« Qu’est ce tu dis le vieux ? Tu sais que tu pues trop de la gueule et c’est moi qui suis censée faire fuir les clients ? »
Il commença à s’énerver, d’un geste rapide il attrapa son épée qui était bien planquée je ne sais où. Le bout de sa lame à une vitesse rapide sous le cou de la jeune dame. Elle souriait, enfin un peu d’action, qu’il était bête de vouloir faire partir quelqu’un de cette manière, autant l laisser partir d’elle- même. Elle se surprit à avoir une pensée plus intelligente que la moyenne, peut être que justement la moyenne était bien bête, ce qui expliquerait bien des choses