[Validé] BG Slyf

[Slyf]

Cette histoire commence dans une ville ni pauvre ni riche. Un matin de décembre, l’hiver était rude et les gens ne résistaient pas bien à ce climat. Mais la famille qui nous intéresse avait tout ce qu’il fallait pour vivre. Le mari qui s appelait Michael était marchand et il gagnait bien sa vie. Sa femme se nommait Naminé et travaillait dans une école, elle passait son temps à apprendre aux jeunes à lire, écrire, compter et plein d’autre chose. Leurs amours était si fort, que bientôt un enfant vis le jour.

Ils se demandèrent comment ils allaient l’appeler et ils décidèrent qu’il se nommerait Slyf. C’était le nom du père de Naminé, mort à la guerre.

Slyf grandit, ses parents l’aimaient beaucoup mais n’avaient pas le temps de s’occuper de lui. Etre marchand et institutrice demandait énormément de temps.il ne s entend pas bien avec les autres, il est très solitaire. Il devait donc passer ces journées dans la forêt en s’imaginant dans les histoires qu’il lisait le soir. Il savait bien lire et même écrire, car c’était sa mère qui lui avait tout appris. Son histoire préférée était avec des guerriers qui se battaient pour certain dieux. Il avait aussi appris l’existence de plusieurs dieux, certain était bon et d’autre pas. L’un d’entre eux avait particulièrement attiré son attention, il s’agissait du Grand dieu des océans, l’empereur Poséidon.

Un jour, alors qu’il était dans la forêt, il entendit énormément de bruit venant de la mer. Il se précipita en haut d’un arbre pour voir ce qui se passait et ce qu’il vit le laissa sans voix. Des hommes qui portaient des armures s’avançaient vers le village. Slyf se hâta vers sa maison et arriva juste après les soldats.

Un des soldats s’avança, il devait être le chef car son armure était plus imposante que les autres. Il prit un papier et commença à le lire…

Cher villageois…
Nous recherchons des volontaires pour faire partie de la puissante armée du dieu Poséidon.
Ceux qui seront prêt à nous suivre, devront se présenter à notre camp qui se trouvera devant les portes de votre ville.
Vous avez jusqu’à demain matin pour vous décider, vous aurez un entrainement et vous serez payé en fonction de votre travail.
Les marinas vous salue et gloire à l’empereur Poséidon.

Slyf n’en croyait pas ses oreilles, il regardait les marinas partir petit à petit pour aller s’installer. Son cœur était prêt à sortir de sa cage thoracique, il partit en courant rejoindre ses parents.

Papa, maman… je veux suivre ces guerriers, mon rêve se réaliserait enfin.

Ses parents n’étaient pas d’accord, ils avaient beaucoup trop peur pour la vie de leur fils. Mais petit à petit au long de la soirée, ils changèrent d’avis car Slyf insistait tellement et ses yeux étaient remplis d’une lueur qu’il n avait jamais eu.

Bien mon fils, si tel es ton rêve nous ne pouvons pas t’en empêcher. Mais sache que la porte sera toujours ouverte et que nous penserons toujours à toi.

Slyf fondit en larme et ses parents firent de même.

Merci maman et merci à toi aussi papa, nous nous reverrons vite…

Slyf courut chez les marinas et demanda à être engagé.

[Slyf]

Cette histoire commence dans une ville ni pauvre ni riche. Un matin de décembre, l’hiver était rude et les gens ne résistaient pas bien à ce climat. Mais, la famille qui nous intéresse, avait tout ce qu’il fallait pour vivre. Le mari qui s appelait Michael était marchand et il gagnait bien sa vie. Sa femme se nommait Naminé et travaillait dans une école, elle passait son temps à apprendre aux jeunes à lire, écrire, compter et plein d’autres choses. Leur amour était si fort, que bientôt un enfant vit le jour.

Ils se demandèrent comment ils allaient l’appeler et ils décidèrent qu’il se nommerait Slyf. C’était le nom du père de Naminé, mort à la guerre.

Slyf grandit, ses parents l’aimaient beaucoup mais n’avaient pas le temps de s’occuper de lui. Etre marchand et institutrice demandait énormément de temps. Il ne s’entendait pas bien avec les autres, il était très solitaire. Il devait donc passer ces journées dans la forêt en s’imaginant dans les histoires qu’il lisait le soir. Il savait bien lire et même écrire car c’était sa mère qui lui avait tout appris. Son histoire préférée était avec des guerriers qui se battaient pour certains dieux. Il avait aussi appris l’existence de plusieurs dieux, certains étaient bons et d’autres pas. L’un d’entre eux avait particulièrement attiré son attention, il s’agissait du Grand dieu des océans, l’empereur Poséidon.

Un jour, alors qu’il était dans la forêt, il décida de monter dans un arbre pour voir s’il arrivait tout en haut. Au bout d’une heure, il y arriva et, au sommet, il vit la mer, les montagnes et même son village à l’autre bout de la forêt. Quand soudain une branche cassa, il glissa. Il vit le sol arriver à toute vitesse et il commença à hurler. Au moment de l’impact, il eu l impression de bruler et il s’écrasa. N’importe quel humain serait mort mais lui était en vie… Il était blessé c’est certain, mais toujours vivant.

Quelques jours plus tard, quand il fut remit de sa mésaventure, il entendit énormément de bruit venant de la mer. Il se précipita en haut d’un arbre pour voir ce qui se passait. Ce qu’il vit le laissa sans voix. Des hommes qui portaient des armures s’avançaient vers le village. Slyf se hâta vers sa maison et arriva juste après les soldats.

Un des soldats s’avança. Il devait être le chef car son armure était plus imposante que les autres. Il prit un papier et commença à le lire…

Cher villageois…
Nous avons ressentit une force appelée le cosmos. L’un d’entre vous à dû libérer cette force et nous voudrions faire passer une série de tests à ceux qui le voudront, pour voir qui a réussi cet acte. Il fera peut-être partie de la puissante armée du dieu Poséidon.
Ceux qui seront prêts pour ce test, devront se présenter à notre camp qui se trouvera devant les portes de votre ville.
Vous avez jusqu’à demain matin pour vous décider, celui qui réussira aura un entraînement pour maitriser cette force et ainsi la mettre au service du roi des mers.
Les marinas vous saluent.
Gloire à l’Empereur Poséidon.

Slyf n’en croyait pas ses oreilles, il regardait les marinas partir petit à petit pour aller s’installer. Son cœur était prêt à sortir de sa cage thoracique. Il partit en courant rejoindre ses parents.

Papa, maman… je veux suivre ces guerriers, mon rêve se réaliserait enfin.

Ses parents n’étaient pas d’accord, ils avaient beaucoup trop peur pour la vie de leur fils. Mais petit à petit, au long de la soirée, ils changèrent d’avis. Slyf insistait tellement, ses yeux étaient remplis d’une lueur qu’ils n’avaient jamais eu.

Bien mon fils, si tel es ton rêve nous ne pouvons pas t’en empêcher mais sache que la porte sera toujours ouverte et que nous penserons toujours à toi.

Slyf fondit en larme et ses parents firent de même.

Merci maman et merci à toi aussi papa, nous nous reverrons vite…

Slyf courut chez les marinas et demanda à passer le test… Il n’y eut pas beaucoup de villageois qui essayèrent. Quand ce fut son tour, le chef des marinas eu un petit sourire. Il savait déjà qu’il avait en face de lui la personne qu’il cherchait.

Casse ce rocher avec ton poing…

Pardon ?... ce gros rocher avec mon poing ? Mais c’est impossible…

Ne commence pas, soit tu le fais, soit tu pars !

Slyf prit une inspiration et frappa le rocher. Un énorme crac retentit dans la clairière.

Essaye avec l’autre main et concentre-toi…

Slyf inspira à nouveau et au moment de frapper…

Attends… Ferme les yeux et ne pense plus à la roche, pense à ton but… Imagine ton poing derrière celle-ci.

La nouvelle tentative se passa sans problème. Le rocher éclata en mille morceaux.

Bien petit, tu vas pouvoir venir avec nous.