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[Validé] Vanaweth

Publié : sam. nov. 12, 2005 1:14 am
par Vanaweth
Vanaweth est né il y a une vingtaine d’années en Thrace, dans un petit village nommé Lachos, de parents qu’il n’avait jamais eu la chance de connaître.

En effet ceux-ci moururent lorsqu’une bande de brigands armes attaquèrent Lachos. Mais seuls Hélène et Epikles, comme ils s’appelèrent, partirent pour les affronter a l’entre du village près de la forêt entourant Lachos, les autres villageois étant trop effraie. En sortant de leur maison ils confiaient leur fils au père d’Hélène en lui disant : « Apprends lui ce qu’il lui faudra pour devenir notre digne héritier, père. »
Grâce a une force dont nul habitant de Lachos, et aucun des hors-la-loi, ne connaissait la source, ils arrivèrent à terrasser une douzaine de guerrier a eux deux, lorsqu’un homme vêtu d’une cape noir comme la nuit sortit des ombres qui commençait à absorber les combattants.

"Il suffit !", disait-il d’une voix venant des plus profondes entrailles de la terre, là où seuls les morts résident. " Il est temps d’en finir, notre mission ne peut plus attendre. Voila comment on se montre digne de sa majesté Hadès ! " Et il abattit en une seule attaque ceux, dont une dizaine n’était pas venu a bout.

Depuis cette nuit beaucoup de temps s’était écoulé, et Vanaweth eu une enfance très dure. L’héritage de ses parents pesait sur lui sans qu’il ne le sache, et les autres enfants l’évitèrent. Ils le trouvaient étrange, d’une part à cause de ses parents et d’autre part parce qu’il ne s’intéressait pas à leur jeu et qu’il préférait s’occuper à lire.
Lorsque Vanaweth atteignit l’âge de quinze ans, son grand-père lui apprit ce qui était arrive a ses parents.
« Le lendemain, quand deux villageois avait enfin trouve le courage d’aller voir ce qui était arrivé à tes parents, ils les trouvèrent allonges gisant dans une marre de sang. Sur l’arbre le plus proche, quelqu’un avait gribouillé ‘Mort aux opposants d’Hadès’. C’est à cause d’eux que tu dois grandir avec moi pour seule famille, un vieillard sans courage ni utilité. Chaque fois que je te regarde, je me dis que j’aurai du aller avec tes parents, et alors tout ça ne serait pas arrivé. «
« Grand-père ! Comment peux-tu dire une chose pareille ?! «, Répondit Vanaweth les larmes aux yeux. « Ainsi j’aurais grandi sans avoir connue ce que veut dire le mot famille, sans avoir eu quelqu’un à aimer. » Mais des lors grandissait en Vanaweth une haine envers tous les serviteurs d’Hadès, envers les lâches qui tuèrent ses parents. Même si cette haine n’était pas voue à tous les spectres, elle le dévorait intérieurement, et il s’en rendit compte. Mais il n’aurait jamais cru, à cet instant, qu’un autre sentiment pourrait un jour surpasser cette haine.

Un peu plus tard dans la journée, alors que Vanaweth se promenait dans les pâturages aux alentours de Lachos, il se fit arrêter par quelques jeunes du village. Il ne fut jamais très apprécie par les autres enfants et passait son enfance avec pour seule compagnie son grand-père, mais depuis son anniversaire, la situation avait empiré. Les habitants de Lachos le désignaient du doigt et murmuraient dans son dos chaque fois qu’ils le rencontrèrent, et ceux de son âge essayèrent sans cesse de le maltraiter. Essayèrent, car le plus souvent, et a leur plus grande surprise, Vanaweth put leur échapper. Ceci n’étant pas dû à ses qualités physiques, causa beaucoup de rumeurs à son sujet. Car Vanaweth était un jeune homme grand, aux cheveux blonds foncés, mais de stature peu imposante. Il n’était ni le plus rapide ni le plus fort, ni encore le plus habile de ses mains. Mais il arrivait à faire des choses avec ce corps si banal qu’on n’aurait jamais cru possible. Quand il le voulait, et qu’il s’y concentrait, il pouvait inciter son corps à lui obéir alors même que celui-ci était sur le point de rupture. Il arrivait à contrôler son corps de sorte qu’on utilise un objet. Et il arrivait même, à certaines reprises, d’oublier le fait qu’il ressente de la douleur. Cela ne veut pas dire qu’il ne la ressentait plus, mais que pendant une certaine période il arrivait à en faire abstraction. C’est comme ça qu’une fois il avait réussi à tenir tète au trois plus gros bras du village, mais lorsque son grand-père et le peu d’amis que celui-ci et Vanaweth avait encore dans Lachos arrivèrent, il s’effondra et du rester au repos durant un mois entier afin de se rétablir. Comment il arrivait à faire cela, personne dans Lachos ne le savait, a part peut-être son grand-père, qui avait vu sa fille faire des choses tout aussi extraordinaires.

Ce jour la donc, six garçons avait prévu de régler son compte a Vanaweth et s’était disperser pour l’encercler. Lorsqu’il vit ce qui allait se passer, il s’arrêta et il attendit qu’ils l’atteignent, pour leur demander ce qu’ils lui voulaient.

« Ce qu’on veut ? », disait leur petit chef. « Empêcher que ce qui s’est passe il y a vingt ans ne se reproduise ! »
«Et qu’est-ce que cela à avoir avec moi ? », demande Vanaweth.

« Ces brigands étaient venus pour tes parents ! », s’écria un de garçons.

« Et ils reviendront pour toi », cria un autre.

« Comment ? Mais d’ou voulez vous savoir ça ? » Vanaweth avait un drôle de sentiment en entendant ce qu’on venait de lui dire.

« C’était écrit sur un tronc d’arbre, avec leur sang », répondit le premier à avoir prit la parole.

A cela, Vanaweth ne savait quoi répondre. Il était en état de choc. * Comment grand-père a pu me cacher cela ? Comment pouvait-il encourir untel risque ? * Il commençait seulement à revenir a lui même lorsque les premiers coups de poings et de pieds l’avait mis a terre. A ce moment, il se concentra comme il ne s’était jamais concentre et se libera de ses assaillants. Cette fois, il n’allait pas fuir ! * Tout du moins, pas devant eux !* Il fondit sur ses adversaires et arrivait à en mettre deux a terre, mais alors il se fut surprendre par derrière et fut pris en tenaille par trois des quatre restant.
« Tu vas payer, Vanaweth et tu quitteras Lachos pour toujours », disait leur chef en lui assenant des coups de poings.

Quand il reprit connaissance, la nuit venait de tomber. Du sang coulait sur son visage et son bras lui faisait mal à en crier. « Mais cette fois, je ne peux retourner à Lachos, je dois partir. » Et il se mit en route, en marchant pendant une semaine, jusqu’à ce qu’il atteigne la petite ville de Kernie. Devant le portail de celle-ci, il s’effondra de faim et d’épuisement, n’ayant quasiment rien mange depuis son départ de Lachos et ayant marche sans cesse. C’est alors qu’une voix d’ange se faisait entendre. « Par les Dieux ! Comment te sens-tu ? Vite, il est inconscient ! Emmener le chez nous. Que personne ne l’ait aide.... »
Pendant les jours qui suivirent, étant dans un état entre la vie et la mort il ne put apercevoir le visage qui allait avec cette voix angélique que parfois, quand il s’approchait de la surface du conscient, il pouvait entendre. Au bout d’un certain temps Vanaweth se réveilla doucement et ouvrit ses yeux. La première chose qu’il vit était une jeune femme étant endormi au chevet de son lit. Ne jeune femme d’une telle beauté! Jamais il n’avait vu quelque chose de semblable. Mais quand il voulait se redresser un peu pour mieux la contempler, elle se réveilla et le regarda un instant toute étonné, avant qu’elle ne se leva et qu’elle cria »Il s’est réveillé! Il va bien! « Et des larmes lui vinrent aux yeux.
« Où suis-je ? Qu’est-ce qui s’est passe ? Et qui êtes-vous ? Pour être si belle vous devez être de parentage divin. » Telles étaient les paroles de Vanaweth, impressionné par cette ravissante jeune femme aux yeux d’un vert émeraude et aux cheveux d’un noir ébène, qui lui tombèrent en plusieurs tresses sur les épaules.
« Tu te trompes, je ne suis qu’une femme mortel, comme toi tu es mortel Enfin, c’est ce que je crois, car pour avoir survécu a de telles souffrances. J’avais déjà laissé tomber tout espoir que tu reprennes conscience un jour. »
A ces paroles, un homme d’âge mur entrait dans la pièce. « A, quelle bonne surprise, notre invite s’est réveillé. Comment te sens-tu, mon ami ? », Demande-t-il avec la voix de quelqu’un, dont la joie de vivre ne souffre de rien.
« Bien, très bien, même. Mais je ne sais comment vous remercier de vous êtres occupes de moi et de m’avoir soigne. »
« Ne t’en fais pas, il y a plus de façons de me remercier que tu ne peux imaginer. La première est de rester mon invite », répondit l’homme. « Je m’appelle Tirese, et voila ma fille, Alexandra. »
« Mon nom est Vanaweth », répondait-il. « Je suis de Lachos, comme s’appelle le village ou j’ai grandis. Mais je ne peux y retourner. » Puis il devint silencieux et songeur. * Peut-être pourrai-je commencer une nouvelle vie ici, grâce à Tirese. Mais les souvenirs resteront, et ces spectres ne m’oublieront pas pour autant. Est-ce que je peux vraiment mettre la vie de Tires et de sa fille en danger ? * Tirese devinait bien a quoi pensait Vanaweth, et il lui disait : « Si tu veux, tu peux rester ici tant que tu veux, je te donnerai du travaille et tu pourras habiter dans la chambre au dessus de l’étable. Qu’en penses-tu ? » [/color]« Très bonne idée, père », disait Alexandra. « Qu’en dis-tu, Vanaweth ? »
A cela il ne pouvait répondre que par un signe d’acquiescement avec la tète, la beauté d’Alexandra l’empêchant de parler. Mais soudain, il lui fallait les avertir : « Il se peut que je vous mette en grave danger en restant ici. Entez-vous bien sur de vouloir courir ce risque ? » [/color]« Je ne me soucis guère de ton passe, mon amie, et si cela peut te rassurer, je suis assez influant pour te protéger de tous ce que tu aie pu laisser derrière toi. Alors tu resteras ici. »

Durant deux années, Vanaweth resta chez Tires et ce furent les deux plus belles années de sa vie. Il les considérait comme sa famille et pour Tirese, il était son fils. Au fil du temps, il commençait à développer des sentiments de plus en plus profonds pour Alexandra. Mais ne voulant ni la brusquer ni se montrer insolant envers Tirese il décida d’attendre le dix-septième anniversaire d’Alexandra ce qu’il ressentait pour elle.
Mais quand ce jour approchait, un homme arrivait chez Tirese. D’après ce que Vanaweth avait appris par Tirese, c’était un Chevalier au service de la déesse Athéna, mais il n’apprit son nom. Il le croisa juste une ou deux fois, mais jamais il n’aurait pu oublier son visage.
La veille de l’anniversaire d’Alexandra, celle-ci venait voir Vanaweth pour lui parler.
« Tu sais, Vanaweth, tu as toujours été comme un grand frère pour moi, alors je veux que tu sois le premier à être au courant. Je vais me marier avec le chevalier .... »
Et soudain, Vanaweth n’entendit plus rien. Il pensa juste à une chose : *Pourquoi ? *
« ...et je voudrais que tu soies mon témoin. Le mariage aura lieu dans une semaine. » Et sur ce, elle le laissa seul avec son désespoir.
Mais le mariage quant à lui n’aurait jamais lieu. Car le lendemain, alors que Vanaweth se promenait dans les alentours de Kernie, la maison de Tirese fut attaque par des guerrier as la recherche du chevalier d’Athéna. Quand Vanaweth revint de sa promenade, il vit la maison brûler, et le chevalier devant la porte, à regarder les flammes.

"Que s’est-il passe ? " cria Vanaweth.
Mais le chevalier ne répondit rien. Il fixa Vanaweth du regard, lui disant : »Ils sont à l’intérieur, mais c’est trop tard. »
« Quoi ? Comment peut tu en être si sur ? » Le chevalier ne disait rien. Soudainement, Vanaweth se jeta dans les flammes et essaya d’entrer dans la maison en feu. Il fut vite repousse par la chaleur intense qui se dégageait. Alors il tenta, comme par le passer, de ce concentrer afin d’évincer la notion de douleur des sensations qu’il éprouvait. Sur ce, le chevalier le regarda étonné, en murmurant le mot « cosmos ». Malheureusement, Vanaweth ne pu plus rien faire. Tires et Alexandra avait été tue par des spectres à la recherche chevalier, et qui avait appris qu’il se cachait chez Tirese.
Maintenant, plus rien ne le tenait à Kernie, et il se mit à errer en Grèce. Durant cette odyssée il apprit l’histoire d’Orphée, qui avait réussi à retrouver sa bien-aimée dans les enfers. Mais personne ne pouvait lui en apprendre d’avantage. Alors il se mit en route vers e temple du savoir, qui portait un nom symbolique : la bibliothèque d’Alexandrie. Ce fut un voyage long et difficile, mais ayant fait un sacrifice avant son départ au Dieux des Dieux, Zeus, il arrivait en bonne santé à Alexandrie. Il passa trois années entières à travailler dans la bibliothèque et ses nuits à parcourir les manuscrits en cherchant des indices sur l’histoire d’Orphée et le moyen d’entre dans les enfers. C’est la qu’il apprit ce qu’était le cosmos, et qu’il fallait s’éveiller au huitième sens pour entrer dans le royaume d’Hadès. Et il apprit que ce qu’il faisait en se ‘concentrant’ n’était rien d’autre que d’utiliser son cosmos. Suivant des instructions écrites dans des manuscrits dont l’âge était inconnu il s’entraînait à maîtriser ce cosmos. Durant cet entraînement Vanaweth devint de moins en moins bavard et son aspect physique changea aussi. Ces cheveux devenaient parsemés de gris et son regard d’un froid glacial. Apres ces trois années il était parvenu à une certaine maîtrise de son cosmos, qui se limitait encore aux bases, mais lui permettaient de battre des guerriers commun. C’est alors qu’il reparti pour la Grèce afin de se battre avec des adversaires de sa taille, pour trouver l’entre de l’enfer et élever son cosmos ce qui lui permettrait d’y accéder.
Sur la route il se battait contre tous les guerriers qu’il rencontra, et bon nombre d’entre-deux étaient des chevaliers et des spectres. Ils lui firent souvent mordre la poussière, mais par chance ou volonté divine il survécu.
Un jour, non loin d’Olympie, un homme habille de façon étrange lui adressa la parole. « Est-ce toi, l’homme dénommé Vanaweth ? »
« Oui. Et qui es tu ? »
« Je suis un ange de Zeus, et toi tu as été choisie pour être des notre. Quelqu’un qui se bat avec un tel acharnement contre les serviteurs d’autres dieux ne peut faire que rendre nos rangs plus forts. Rejoins-moi demain, a l’entre de la ville. » Et il disparut dans la nuit. Vanaweth réfléchit durant toute la nuit à la proposition de l’ange. Car son but était certes d’accéder aux enfers, mais d’autre part, il s’était jure de retrouver les assassins de ses parents et ceux qui mirent le feu a la maison de Tirese. « Apres tout, je me bats aussi avec l’espoir qu’un jour mon adversaire puisse m’envoyer directement en enfer, sans devoir accéder au huitième sens. Et en étant ange je pourrai servir le dieu des dieux. »
Le lendemain il alla à la rencontre de l’ange.

j'espere que ca ira

Publié : sam. nov. 12, 2005 1:24 am
par Uriel
je regarderais ton BG demain car l'heure n'est pas propice

je te remercie d'avoir choisi les anges et te demande un peu de patience :wink:

Publié : sam. nov. 12, 2005 1:52 pm
par Uriel
Je vien de lire ton BG, il me plait bien. Tu ne parle ni de Zeus lui même ni darmure tout cela est trés bien.

Une fois les fautes corrigées, celles de grammaire étant les plus gênantes, tu sera validé chez les anges et tu pourras nous rejoindre sur le forum privé :wink:

Encore bravo

Publié : sam. nov. 12, 2005 3:11 pm
par Vanaweth
ok, dès lundi je m'y colle pour coriger tout ca, promis!
ravi qu'il te plaise!

Publié : lun. nov. 14, 2005 10:01 pm
par Vanaweth
bon, j'èspère que là, tout est corrigé

Publié : mer. nov. 16, 2005 9:53 pm
par Uriel
bon alors j'ai mis en couleur les paroles et changé deux trois truc pour que ce soit un peu mieu

donc tu est maintenant accepté chez les anges de zeus. Inscrit toi sur le forum et tu sera valide :wink:

Publié : mer. nov. 16, 2005 10:23 pm
par Vanaweth
juppiee :D