[VALIDE] BG Imrahil
Publié : dim. juil. 29, 2007 11:36 pm
Après une enfance paisible, entouré de parents fermiers vivants de leurs efforts agricoles, le jeune Imrahil alors âgé de 10ans se retrouva du jour au lendemain arraché de son bonheur.
En effet, un messager de Sparte vint informer son clan d'un rassemblement militaire important venant de l'Est et pouvant prendre possession de leurs belles campagnes; sur ce son père dut dire adieu à ses pairs pour porter la force de ses bras en guerre.
Mais le jeune Imrahil ne l’entendait pas de la sorte… Reconnus par son clan pour son courage malgré son jeune âge devant des créatures de toutes sortes et ne désirant pas bafouer son honneur auprès de ses proches, il partit à la poursuite des siens.
De ce voyage, il ne doit sa survie qu’à la générosité des autres clans devant son insigne et sa volonté sans faille.
Mais son arrivée sur les champs de bataille était trop tardive car les armées spartiates avançaient vite et il ne pu combattre que contre un messager affaiblis qu’il terrassa sans soucis. Et sur ce, les mains couvertes de sang, les jambes épuisées par la marche, il s’accroupit au sol et pleura pour la première et unique fois de sa vie.
Néanmoins, son unique combat ne passa pas inaperçu aux yeux du spartiate envoyé intercepter le messager, qui lui demanda en le relevant :
-Pleure-tu pour cet homme gamin ? Un spartiate ne doit éprouver aucuns sentiments envers ses ennemis.
-Non ; répondit alors l’enfant sanglotant ; je pleure de mon inutilité en cette guerre.
-Ce sont là des paroles de grand guerrier ! Fusses-tu plus âgé que ton courage aurait été de grande utilité en cette guerre. De qui tiens-tu donc un tel enseignement ?
Imrahil fut recueillit et appris de cet homme que feu son père (car le père d’Imrahil fut bel et bien tué au cours de cette guerre) fut chef militaire et compagnon d’arme du roi, un grand guerrier respecté de tous mais ayant désiré prendre congé de son poste pour rejoindre sa femme et vivre une existence paisible en campagne.
Il suivit alors le dur entrainement spartiate au milieu d’hommes et son désir de suivre la lignée de son père le faisait gagner tous ses duels. Mais les combats se trouvèrent ne pas être sa réelle passion et préféra vite lâcher les armes pour se consacrer à la musique.
A 15ans il participa alors à la plus grande bataille du siècle. Son niveau dépassait celui des autres guerriers présents et lorsque le soleil se coucha, il se rendit compte qu’il était seul, la rage de la guerre l’ayant emporté au milieu de nulle par. Déçu par la faiblesse de ses adversaires, il erra afin de se perfectionner et fit près d’un lac une mystérieuse rencontre.
La musique qu’il jouait attira un guerrier, vêtu d’étranges habits, qui accepta par la suite le duel proposé par Imrahil. Ce mystérieux combattant le vainquit sans efforts et à une vitesse fulgurante. Il lui indiqua alors son nom : Péreïm ; guerrier de Poséidon. Il lui apprit l’existence de chevaliers bien plus forts que les guerriers de ces terres ; des chevaliers servant les dieux de l’Olympe et ayant une partie de leur pouvoir : le cosmos.
Sur ce Péreïm partit, et Imralhil comprit que la poursuite de son apprentissage se trouvait dans l’acquisition du cosmos. Et tant qu’à servir un Dieu, il était prêt à suivre le Dieu des Dieu, le sommet du pouvoir et de la puissance en ce monde : le grand Zeus.
En effet, un messager de Sparte vint informer son clan d'un rassemblement militaire important venant de l'Est et pouvant prendre possession de leurs belles campagnes; sur ce son père dut dire adieu à ses pairs pour porter la force de ses bras en guerre.
Mais le jeune Imrahil ne l’entendait pas de la sorte… Reconnus par son clan pour son courage malgré son jeune âge devant des créatures de toutes sortes et ne désirant pas bafouer son honneur auprès de ses proches, il partit à la poursuite des siens.
De ce voyage, il ne doit sa survie qu’à la générosité des autres clans devant son insigne et sa volonté sans faille.
Mais son arrivée sur les champs de bataille était trop tardive car les armées spartiates avançaient vite et il ne pu combattre que contre un messager affaiblis qu’il terrassa sans soucis. Et sur ce, les mains couvertes de sang, les jambes épuisées par la marche, il s’accroupit au sol et pleura pour la première et unique fois de sa vie.
Néanmoins, son unique combat ne passa pas inaperçu aux yeux du spartiate envoyé intercepter le messager, qui lui demanda en le relevant :
-Pleure-tu pour cet homme gamin ? Un spartiate ne doit éprouver aucuns sentiments envers ses ennemis.
-Non ; répondit alors l’enfant sanglotant ; je pleure de mon inutilité en cette guerre.
-Ce sont là des paroles de grand guerrier ! Fusses-tu plus âgé que ton courage aurait été de grande utilité en cette guerre. De qui tiens-tu donc un tel enseignement ?
Imrahil fut recueillit et appris de cet homme que feu son père (car le père d’Imrahil fut bel et bien tué au cours de cette guerre) fut chef militaire et compagnon d’arme du roi, un grand guerrier respecté de tous mais ayant désiré prendre congé de son poste pour rejoindre sa femme et vivre une existence paisible en campagne.
Il suivit alors le dur entrainement spartiate au milieu d’hommes et son désir de suivre la lignée de son père le faisait gagner tous ses duels. Mais les combats se trouvèrent ne pas être sa réelle passion et préféra vite lâcher les armes pour se consacrer à la musique.
A 15ans il participa alors à la plus grande bataille du siècle. Son niveau dépassait celui des autres guerriers présents et lorsque le soleil se coucha, il se rendit compte qu’il était seul, la rage de la guerre l’ayant emporté au milieu de nulle par. Déçu par la faiblesse de ses adversaires, il erra afin de se perfectionner et fit près d’un lac une mystérieuse rencontre.
La musique qu’il jouait attira un guerrier, vêtu d’étranges habits, qui accepta par la suite le duel proposé par Imrahil. Ce mystérieux combattant le vainquit sans efforts et à une vitesse fulgurante. Il lui indiqua alors son nom : Péreïm ; guerrier de Poséidon. Il lui apprit l’existence de chevaliers bien plus forts que les guerriers de ces terres ; des chevaliers servant les dieux de l’Olympe et ayant une partie de leur pouvoir : le cosmos.
Sur ce Péreïm partit, et Imralhil comprit que la poursuite de son apprentissage se trouvait dans l’acquisition du cosmos. Et tant qu’à servir un Dieu, il était prêt à suivre le Dieu des Dieu, le sommet du pouvoir et de la puissance en ce monde : le grand Zeus.