J'ai lu ton Bg et comme le disait Aro, il n'y avait plus que des fauites à corriger.
J'en ai corrigé egalement pour toi:
Plus rien ne s'oppose donc à ta validation.
Je suis né a Mycènes, troisième fils d une riche famille. En effet mon père Midas était un commerçant prospère qui commerçait à travers toute la Grèce antique sa tant convoité huile d’olive.
J ai donc eu la chance de recevoir une noble éducation, apprenant les sciences, l’histoire et la philosophie grâce à l’aide de tuteurs et de ma mère Phèdre, qui m apprit à aimer les Dieux et par dessus tout le dieux des dieux, le dénommé Zeus. Effectivement, ma famille soutient de façon pécuniaire le temple de Zeus pour s’attirer les bonnes fortunes de ce dernier, j ai donc logiquement appris à l’aimer et à le chérir. Bercer depuis ma plus tendre enfance en son sein, je vénérais Zeus pour la vie qu il apportait à notre famille, ainsi que pour ces oeuvres notamment lorsqu à la tête des autres dieux, ils vainquirent les titans...
Troisième fils de mes parents, j’étais donc destiné dès ma plus jeune enfance à embrasser une carrière militaire. Mon aîné, Tanis, quand à lui, lui incombera la lourde tâche de reprendre le commerce familial avec tous les enjeux et les risques auxquels il devra faire face. En ce qui concerne mon frère Aïolos second de la famille, se verra envoyé dans le temple de Zeus. Quand a ma sœur, Altera, si belle si douce si fragile, elle sera donnée en mariage au fils d’un riche commerçant... Tel était la destinée de notre noble et prospère famille, en effet il incombait aux enfants de répondre aux choix de leurs parents. Etant riche, notre père pour accroître l’influence de la famille voulait nous introduire dans chaque sphère importante de la société...
C’est donc à l’âge de 14 ans que j’ai quitté ma famille pour rejoindre ma carrière militaire à laquelle ma famille me prédestinait...
Ce fût l’un des premiers tournant de ma vie, moi qui jusque là avait été chéri, cajolé, protégé. En effet, me retrouver seul sans l’amour d une mère protectrice était quelque chose de nouveau pour moi...
Mais les dieux étaient avec moi, j’ai très vite développer des talents de stratégie et effectuer des combats remarquables et remarqués. Si bien qu’après quelques années d’aguerrissement dans les bas rangs de l’armée, j’ai été repéré par Mythos, commandant en chef de l’armée de Mycènes...
Cet homme sombre et emblématique à la fois me prit sous son aile en tant qu’assistant du commandant. Une tâche qui consistait à rester auprès de lui, et de le servir ainsi que de l’écouter...
Ceci fut sûrement le deuxième tournant de ma vie, éloigné de plus en plus de mon ancienne vie, emmené ici et là au grés des champs de bataille. C’est cet homme qui finit mon éducation en m’apprenant les valeurs d’un guerrier tel que la loyauté, la gloire, le courage, la fidélité, le solidarité, et la raison...
En effet, il aimait me rappeler que de nombreux royaumes se sont écroulés simplement parce que leur roi avait perdu la raison, incapable de mesurer leur acte et toujours a la recherche de plus, finissant par s’attirer les convoitises et perfidies avant d’y succomber sous diverses formes telle que le poison, l’assassinat, la folie, la guerre...
Mais un jour, alors que nous étions en route vers Athènes, nous assistâmes à un spectacle qui m’illumina : au milieu de la plaine deux guerriers se faisaient face, ils s’agissaient de chevaliers . A l époque j’avais entendu parler de ces chevaliers parcourrant la Grèce Antique au service de leurs Dieux dont les missions étaient plus ou moins nobles et obscures selon l’angle sous lequel on se plaçait...
Ces hommes, que dis-je c’est demi-dieux, nous offrirent un spectacle d’une telle ampleur, d’une telle noblesse, défendant et attaquant avec une telle conviction qu’un seul de ces hommes aurait facilement pu décimer milles de nos soldats, que je ne pus que succomber à l’aura qu ils dégageaient...
Leur combat était d’une rare intensité, une force qui m’était inconnue émanait d'eux, je pouvais la sentir et la ressentir, me serrant le cœur et m’asséchant la bouche, je sentais en moi cette force jaillir...
Quand Mythos s’exclama " Tu la ressens toi aussi cette énergie, je le devine à ton regard, c'est le cosmos. Et oui, à ton avis, comment ces hommes, à mains nues ont brisé leur armure de cuir ?
Je sais que tu avais remarqué ce détail et que tu en cherchais la raison. Sache que cette énergie s’appelle le cosmos…". Alors que les mots de Mythos raisonnés encore en moi, c’est ce jour-là que j ai compris où était ma voie, et pour une fois c’était a moi de la choisir et non plus de la suivre, ce qu on m’avait toujours imposé...
Je n’avais pas fini de m’extasier devant le combat de ces héros que Mythos, avec lequel un amour père- fils, sous un fond de contemplation de ma part, s’était créé au fils du temps, posa sa main sur mon épaule et dit une phrase qui restera à jamais gravée dans ma mémoire: " Va mon fils, épouse la réelle destinée qui est la tienne...". Ce fut en ce jour que l'ange qui était en moi brisa ses chaînes et se réveilla connu sous le nom de Danteas...
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