[Validé V3] Moryan

Présentation du Seigneur des Enfers et de ses Spectres.

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Moryan
Élève
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[Validé V3] Moryan

Messagepar Moryan » jeu. févr. 14, 2008 11:38 pm

Journal personnel

16 novembre, début de ce journal

Moi, Moryan, 16ans, suis né dans un petit village du nom de Héraklion. Mon père, Dimitris, était un homme de petite taille. Il était un chasseur plutôt bon mais pas exceptionnel et passait son temps libre à fabriquer des arcs à flèches. C'est lui qui m'a appris tout ce que je sais sur l'art de chasser. Pour ma part j'ai très vite compris que j'allais devenir, adulte, le meilleur du village. Ma mère, Efthýmios, a perdu sa vie en me mettant au monde, ce monde où j'ai l'impression de ne pas être à ma place. J'ai eu la chance, ou la malchance, de ne pas finir comme mon frère aîné, mort à la naissance.

Petit, j'étais assez gros et trapus avec, ce qui me valait les moqueries des autres jeunes. Ce que je pouvais les haïr ces fils de riches... Je me rends compte aujourd'hui qu'ils méritent ce que je leur ai apparemment fait. Peut-être vais-je enfin pouvoir dormir sans voir leurs petites bouilles dégoulinant de ce liquide rouge sombre qu'était leur sang, sans entendre leurs cris désespérés appelant leurs parents, sans sentir cette odeur fétide de chair

Après ce meurtre, dont je ne me souviens pas avoir commis, mes parents me vendirent comme domestique pour payer la dette que ces pourris leur réclamaient. J'ai encore honte des pleurs que je poussai lorsque mon père m'a extirpé de dessous de mon lit par les cheveux. Je quittai donc la petite chaumière qu'avait été jusqu'alors mon toit, mon univers.


Boum... boum... Tu aurrrais du tousss les tuer, cezz êtres immmondes, cezz afffreux... Non, tais-toi, tais-toi, ne dis plus rien, c'est toi qui a tué ces enfants, pas moi, ils ne le méritaient pas Ils ne le mérrritaient pas ?AAAARGH Ils t'ont insssultés, hummmliés... Commment peux-tu dirrre ççà petit frère ?


17 novembre

Tandis que j'écris, je viens de me reveiller, le coeur battant à tout rompre, les vêtements trempés. J'ai un vague souvenir d'une histoire de frère. Je ne sais pas ce que j'ai en moi mais ca me fait peur. Ces crises, je ne sais pas ce que c'est, la seule chose que je sais c'est que les enfants que j'ai soi-disant tués l'ont été par cette voix dans ma tête.

Les années qui suivirent, durant mon "service" en tant que domestique, je vécu normalement, tout du moins aussi normalement que possible pour quelqu'un dans ma situation. Plus de petite voix, plus de crise, plus rien... Ah si, il y avait quand même ces corvées à faire, longues, laborieuses, répétitives.

Mes maîtres étaient de vrais salauds, me faisant faire les mêmes choses encore et encore et encore. Je ne comprenais pas. Je ne voulais alors qu'une chose : payer la dette, quitter le village et faire ma vie. Mais ma dette ne semblait jamais arriver à termes. D'ailleurs je soupçonne ces enfants de porcs de me garder plus que necessaire, je leur était trop utile pour qu'ils me jettent...

Mon unique moment de bonheur étaient ces lettres de mon père, seuls cadeaux que Monsieur m'accordait pour m'apprendre à lire et compter. Ces lettres me disaient de tenir, rester en vie, tenir, toujours. Aussi mon père joignait à ses lettres des programmes qui devaient me servir à devenir un homme d'un belle carrure, musclé, bien proportionné.

Puis un beau jour, je perdis connaissance alors que je nettoyais la table particulièrement sale. Je n'ai appris que plus tard le malheur que je repandis durant mon état second. En fait je n'avais pas perdu connaissance car je continuais, selon Madame à bouger normalement. J'avais juste une lueur dans le regard.

Quand je repris contrôle de mes mouvements, j'étais sur la place du village, une torche dans une main et une épée dans l'autre. Le pied droit posé sur le torse de Monsieur, étendu par terre à moitié mort, balbutiant des choses.

Je suis désolé, je ne savais pas que c'était ton anniversaire, pitié laisse moi en vie, pourquoi tu fais ça ?; m'a-t-il dit. Je ne comprenais pas, je savais que j'avais dix-huit ans ce jour-là mais je ne savais pas pourquoi il me disait ça. Dans une poussée d'adrenaline et en repensant à tous ce que tu ce type m'a fait faire de deguelasse. Une voix sortit de ma bouche mais ce n'était pas moi : Tu n'aurais pas du traiter mon frère comme ça ordure! J'ai l'impression d'avoir une deuxième âme. Je ne comprends pas pourquoi cette chose me nomme son frère, car le mien est mort avant d'avoir vécu.

J'ai tranché la gorge à cette espèce de boureau à la manque. C'est moi qui l'ai fait, j'avais une impression de pouvoir, de puissance. Après cet acte de vengeance, je fis le tour du village en feu. Je retournai à la maison qui fut mienne pendant mon enfance.

Lorsqu'elle fut en vue je remarquai qu'elle était plus misérable que dans mon souvenir mais toujours bien droite quoiqu'en proie aux flammes rouges et jaunes qui la léchaient de toute part. Je compris aussitôt mes actes, lachai tout et courut à travers le brasier mordant. Je ne cherchais qu'une chose : mon père. Lorsque je le vis, il était assis sur la chaise du salon, sur laquelle je m'asseayais pour manger. Il avait une tache rouge sur le ventre et un trou de la taille et de la forme de l'épée que j'avais laché avant d'entrer à la place de l'oeil droit. Il avait un curieux sourire sur les lèvres.

Je sortis de là et courut à travers le village, voyant à gauche, à droite, la souffrance que cette voix avait commise. En fait je ne me souviens pas avoir vu un quelconque survivant sur la centaine d'habitants du village.

Pendant la semaine qui suivit, je pense que j'ai erré dans la forêt, mais je n'en suis pas sûr. Pendant une après-midi chaude et ensoleillée, je repris mes esprits.

Depuis ce jour, je chasse pour vivre, me baigne pour me laver et continue l'entraînement de feu mon père. J'ai eu hier 23 ans, 5 ans que j'erre de part le monde. Hier j'ai trouvé un petit livre dans lequel étaient écrites quelques lignes dans une étrange écriture que je ne pouvais déchiffrer. J'ai alors décidé d'écrire mon histoire et me voilà maintenant avec ce livre en main.


Vie présente

Je dépose le livre et décide d'aller me cherhcer à manger. Je ramasse mon arc, met mon carquois en bandoulière et pars. Après m'être enfoncé légèrement dans la forêt je repère les traces d'un troupeau de daims. Je les suis et après un petit temps je tombe sur le troupeau en train de se désaltérer dans un ru sortant de pan de la montagne qui nous surplombe. Je bande mon arc et vise le daim que je considère comme le plus jeune adulte, le plus éloigné du groupe principal. Je lache la corde, écoute le sifflement et voir la troupeau se désorganiser totalement. C'est la panique. Je ne bouge pas et attend. Apres les derniers affollements je sors du buisson derrière lequel je me suis tapis.

Je remarque sans aucun doute que j'aurait été le meilleur chasseur de ceux que je voyais lorsque je partais avec mon père. En effet je l'ai atteint en pleine tempe. Mort sur le coup probablement. Je le met sur mes épaules et prend le chemin du retour. Aucun problème. Je dépece la bête avec un étrange sentiment de plaisir.

Après un bon repas, je me couche sur l'amas de feuillage qui sert de lit et que j'ai fabriqué lors d'un passage près de la mer, étrange étendue d'eau, aussi puissant de clame. Sommeil agité, enfants morts, flammes dansantes se jouant de moi.


Boum... boum... Quel plaisir j'ai lu dans tes yeux quand tu as vu avec quelle facilité tu tue ces bêtes sans défense. Tu deviens fort...

Sursautant, je me réveille, trempé de sueur, coeur battant la chamade. Encore une crise. Elles sont de plus en plus régulières au fur et à mesure que leur nombre croît. me dis-je.

Le soleil se lève, j'ai faim, je ne m'en étais pas rendu compte mais j'ai la dalle. Je prends un morceau de viande sèchée et le mâchonne. Soudain mon coeur, calmé, se remet à battre. Plus de la même manière, je sens une présence. Pas animale mais malsaine, froide. Je me retourne et se tient devnt moi une chose que je ne sais qualifier que de drap noir volant. Rabat de capuchon. Finalement, ce n'est pas un drap mais une personne, vieille d'après les rides.


Je me nomme Arkis, je suis prêtre. Je te suis depuis un bon moment. Je ne me montre que parce que je te sais en danger. Tu es dangereux pour toi-même. J'ai suivi l'évolution de ta double personnalité, car oui je suis au courant, je vais te révéler des choses qui t'aideront à comprendre, d'autre à améliorer ton état et d'autres encore qui te permettront de contrôler ton 'frère'.

Je me lève, marche jusqu'au ruisseau à quelque pas de là, me rince la figure, me relève et regarde là ou C'était. C'est toujours là

Vous êtes réel. Vous m'annoncez qu'un frère sommeille en moi. Je ne vous connais pas, comment puis-je vous croire ?
Oui je suis aussi réel que toi, tu ne me connais pas en effet mais moi je te connais bien, tu es ce que j'ai fait de toi. Je t'explique : Tu sais que ton frère est mort à la naissance. Je suis prêtre et je l'étais déjà a cette époque. Ton père, un ami, était riche avant que tu ne viennes au monde. Un beau jour, il s'est disputé avec le cercle bourgeois du village qui l'a banni et envoyé vivre à la lisière du village, dans cette maison que tu connais si bien. Il décida alors de se venger. Se confiant à moi, son ami prêtre, je lui dit qu'il était possible de créer une arme puissante.
Je ne t'explique pas comment mais j'ai fait en sorte que ton frère mort se retrouve en toi, ou plutôt son âme.


Que dites-vous ? Vous m'avez créé ? Je ne suis pas une création, ni un monstre!
, criai-je alors. Je me jette sur lui et comprend trop tard mon erreur. Il est plus rapide que moi et me frappe au ventre.

N'essaye plus ça., dit-il d'un ton sec.J'ai vu comment tu as saccagé ton vilage et regretté ce que j'avais fait plus jeune. Mais c'était trop tard. Maintenant que le mal est fait je vais te dire ce que tu dois faire, ou plutôt je vais le dire à ton autre toi.

Je me réveille de nouveau en sueur. Je vois un corps près de moi. et comprend q'une fois de plus j'ai pris la vie. Je n'ai plus peur comme autrefois mais me sens satisafait d'avoir tué cet être immoral, qui me dégoute plus que feu Monsieur. Tout en pensat cela je commence tout doucement à prendre conscience que quelqu'un est efectivement en moi. Je n'ai pas peur et me parle pour essayer d'atteindre cet autre moi

-Tu es mon frère ?
-Ouiii.
-Tu veux quoi ?
-Me venggger.
-Comment ?
-Fairre acte alllégeanccce
-Pardon ?
-Acte d'alllégeanccce
-Je ne comprends pas.
-Hadèsss.
-Hadès ???
-Ouiiii.




Ces dernières semaines, nous n'avons eus de cesse de chercher des informations sur l'endroit où aller pour faire serment d'allégeance au Dieu Hadès. J'ai réussi à maîtriser mon frère, maintenant devenu ma conscience, on parle ou plutôt pense beaucoup mais nous ne sommes pas souvent d'accord.


Journal personnel

15 février

Un beau jour, toujours en quête Dioclès et moi, avons croisé la route d'un ... homme, faute d'autre qualificatif. Il était grand, très grand, marchait comme quelqu'un n'ayant pas de but, errant sans savoir quoi faire. J'ai eu très dur à lui arracher quelques bribes d'informations. Il a parlé d'une grotte dans l'ouest du pays. Derrière une cascade se trouve, d'après lui, un couloir noir d'où sortent des bruits de souffrance.

Ne croyant pas ma chance, je cherchai encore d'autres informations et les quelques-une que j'ai réussi à me procurer n'ont fait que confirmer les dires du ma première victime.

Nous nous sommes mis en route hier. Toujours vers l'ouest. En sortant de la forêt nous sommes tombés ... rien. Rien à perte de vue. Une plaine sèche où seuls quelques plantes et animaux adaptés à l'endroit peuvent vivre. Marcher. Le soir, nous chassions le serpent, il s'avère que c'est tout à fait immonde mais il n'y rien d'autre à part de temps à autre des petits fennecs. Les cailloux font mal aux pieds.

Nous ne dormîmes que très peu la première nuit, le vent soufflant en rafales. Je m'entraînes à dominer les impulsions de plus en plus fortes de Dioclès. Lui aussi devient puissant. Il ne le dit pas (nous arrivons maintenant à discuter librement, aussi bien pendant ma periode d'éveil que pendant ma période de sommeil qui n'est plus maintenant qu'un simulacre de repos.) mais je le soupçonne d'avoir des projets qui diffèrent des miens.

J'ai du mal avec ce changement de sommeil. Je crois avoir des périodes de crises, j'ai parfois l'impression de me reveiller de mes pensées. Je me retrouve alors à un endroit différent d'où je pensais être. Mais je ne sais pas ce sont des crises ou si je ne fais que divaguer. En tout cas je peux dire que ce matin, après ce que j'appelle maintenant des émergences, je me retrouvai face à un serpent anormalement grand. Il se tenait "debout" et me fixait. Je pris peur et sentit tout de suite l'esprit de Diolcès 'la plupart du temps en veille) prêt à bondir sur l'animal. Je le calmai et sortis mon épée, ma seule arme et amie. La bète ne fit pas le moindre mouvement. J'avancai, et avec un rapidité surhumaine, il se faufila derrière moi.

A cet instant j'ai une fulgurante douleur dans les yeux. Je ne comprenais pas ce qu'il se passa mais lorsque je les rouvris, j'avais une vision presque totale de ce qui m'entourait. J'étais perdu, sans repères pour m'aider. Mon corps bougea de lui même et frappa.

Je me suis réveillé en sueur, le coeur me cognant la poitrine. Après avoir repris mes esprits je compris que Dioclès m'avait sauvé la vie. Je pris peur également car je ne savais jusqu'où cette chos allait m'emmener sur le chemin de l'improbable. J'eus l'impression de devenir un monstre. Impression que j'ai toujours actuellement d'ailleurs.



Vie présente

-Ne t'inquiète pas, je te prrotégerai coute que coute, je ssuis affreuszement éffrayé à l'idée de mourrir encorre une fois.

Entendre sa voix sortir de ma bouche me fit sursauter. Je compris alors qu'il entendait tout ce que je pensais. Nous sommes indisociables. Je vais devoir m'y faire me dis-je

-Je ne veux pas mourir non plus, je tiens à toi car je n'ai jamais eu de frère mais je veux que nous partagions tout ensemble.

-D'accord je vais t'expliquer tout cce que je sais sssur l'endroit où nous nous rrendons. A ma mmort, je suis allé dans un endroit... éfffrayant. Je me ssuis d'abord retrouvé ssur une rive à partir de laquelle j'ai embarqué ssur le fleuve des Enfers, le Styx, sur la barque de Charon, un exilé du monde des Morts. Ma prremière viszion étrange fut de voir des hommes vivants à ccet endroit de non-retour. Je ne comprends toujours pas cce qu'ils faiszzaient là mais j'ai réfléchi. Je veux retourner là-bas et la sseule manière qui peut nous y fairre aller, d'après cce que j'ai deviné et cce que je ssais, est de prrêter sserment au Dieu des Morrts pour y aller comme ces hommes que j'y ai vvu.

-... Eh ben. Je comprends, bizarrement, ce que tu ressens, je crois même que nous fusionnons de plus en plus. Je vais t'aider à y aller, après ce que tu as fait pour moi, et pour toi bien sûr.



Journal personnel

4 avril

Nous somme sortis de la plaine il y a quatre jours. Plus de soucis après le serpent géant à part le temps qu'il a fait. J'ai les lèvres craquées comme pas possible. Depuis hier, nous longeons un fleuve qui s'élargit de plus en plus, je crois que c'est le même qui se jettera dans le lac à la cascade décrit par le Sans-But. Nous chassons assez facilement avec la vision que me permet l'esprit de Dioclès. Je peux enfin me laver le soir après une journée sous le soleil du printemps nouveau.

7 avril

J'ai du faire face à une escouade d'hommes en rouges. Ils nous ont accostés et traînés sur leurberge. Ils parlaient une langue que je ne connais pas. Ils nous ont brutalisés. J'ai été contraint de lâcher la bète qui sommeille en moi.

Je me suis donc retrouvé dans le même état que d'habitude à l'émergence. Je naviguais au gré des vaguelettes. Mon frère est doué pour tuer. Aucune trace sur les rondins de bois qui constituent le radeau. Ils sont tombés à pic on peut dire. En effet je n'ai mis qu'une demi-journee pour arriver en haut de la cascade que je commence à entrevoir, ou plutôt je commence à voir qu'il n'y rien après.




Vie présente

Le bruit est de plus en plus fort. Mes tympans ne percoivents plus que ce tonnerre incessant. Nous sautons du radeau et nageons jusqu'à la rive. Nous marchons jusqu'à la cascade elle-même.

Jamais je n'ai vu telle chose, le vide est extraordianire et je n'ai plus qu'une seule envie : sauter. Une force cependant m'y empêche, je reconais la marque de Dioclès.


-C'est le début du Styxx, je ssens le côté froid et noirrr de l'entrée des Enfers. Ne sssaute pas imbécile!! Ne succombe pas à cce désir idiot.

-Nous y somme parvenus.


Nous commencons à descendre par un sentier escarpé se trouvant un peu plus loin. Une fois en bas, une sensation de puissance indomptable parvient aux tréfonds de moi-même. Même Dioclès tressaille, je le sens. Je prend une pierre et la lance à travers le rideau miroitant. Bruit sourd d'un objet sur le sol.

Nous passons à travers. Trempé, je ne comprends pas ce qui se passe. Ma vision a disparu. Je panique car croit être aveugle.


-Calmme-toi, ccca va rrevenir, l'eau est... unique.

Je me calme et en effet ca revient petit à petit. Lordque j'y voit suffisamment pour me mouvoir, j'avance. Après quelques mètres, quelque chose me surprend, je tombe à la renverse.

Le mot qui me vient à l'esprit est Oracle. J'ignore qui c'est, ce que c'est, si c'est contre moi ou neutre. J'attend néanmoins qu'il parle car une force que je ne comprends pas m'ordonne d'attendre




ps : j'ai choisi le personnage du chevalier du gémeau comme avatar, j'ai donc fait une histoire en rapport.
Dernière modification par Moryan le sam. févr. 16, 2008 12:32 am, modifié 7 fois.
Astaesh-old
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Messagepar Astaesh-old » ven. févr. 15, 2008 9:56 am

on va attendre la suite alors. mais pour le moment c'est excellent :wink:
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Moryan
Élève
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Messagepar Moryan » ven. févr. 15, 2008 8:04 pm

Voilà terminé. A vous maintenant et merci pour la remarque ca rassur de voir que rien ou pas grand chose ne cloche dans la première partie.

:D
Astaesh-old
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Messagepar Astaesh-old » ven. févr. 15, 2008 8:28 pm

tres bonne histoire , et surtout tres bien tournée. vraiment excellent. :D :D :D

juste un truc:c'est finit là? parce que tu arrives à la grotte et apres :?:
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Nikiolas
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Messagepar Nikiolas » ven. févr. 15, 2008 8:47 pm

Pour moi également c'est bon. Tu peux venir t'inscrire sur le forum privé de Hadès où tu seras validé :wink:

Forum ICI
Moryan
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Messagepar Moryan » ven. févr. 15, 2008 11:15 pm

Je suis dans la grotte et j'attend que l'oracle, c'est-a-dire vous, parle. En gros le perso fait comme moi il attend la reponse. Enfin maintenant je l'ai.

Merci je m'attendais a devoir retoucher un truc mais apparemment non donc voilà. je viens de m'inscrire sur le fofo.

A tres bientot

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