[VALIDE]BG de Volo corrigée

Présentation de la Protectrice de la Terre et de ses Chevaliers.

Modérateurs : Maîtres de jeu, Oracles d'Athéna

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Volo
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[VALIDE]BG de Volo corrigée

Messagepar Volo » mar. mai 19, 2009 8:38 pm

(Extrait des Chroniques de Volo)



Je n'ai jamais été prédestiné à suivre la voie d'Athéna et l'on peut dire que ce chemin me fut révélé sur le tard. Je suis né en la province romaine de Saintonge, au cœur des Gaules. Mon père était le tyrannique préfet Lévistus, célèbre dans l'Empire pour sa cruauté et son jugement impitoyable concernant les populations dominées. Etant le huitième fils d'une grande famille, je sus très tôt que je ne devais rien espérer de mon lignage, c'est pourquoi je choisis, dès ma majorité, de quitter le joug de mon père et la concurrence de mes sept frères pour accomplir ma destinée. Je partis donc explorer le pays d'Aunis et la forêt impénétrable d'Argenson pour m'endurcir et prouver ma valeur à ma famille. Au milieu des marécages inhospitaliers et de la forêt gauloise, je rencontrai le peuple Celte que mon père avait tenté de décimer maintes et maintes fois au cours de raids toujours plus meurtrier. A ma grande surprise, je fus chaleureusement accueilli au sein d'une tribu de ces hommes des bois et je me liai d'amitié avec eux, partageant leurs coutumes et leur mode de vie ancestral. Plusieurs années passèrent et je devins assez vite un membre à part entière de leur communauté mais un événement interrompit brusquement cette existence paisible.
Sentant venir la fin de sa vie, mon père avait décidé de transmettre sa charge de préfet à celui de ses fils qui soumettrait pour de bon le peuple Celte, c'est pourquoi mes frères débarquèrent au village gaulois par une froide nuit d'hiver, bien déterminés à anéantir ma tribu d'accueil. Je ne fus pas de cet avis et je décidai d'intercéder en leur faveur mais ma fratrie, dévorée par l'ambition, refusa de m'écouter et décima tous les villageois sans pitié. Je fus fait prisonnier et on m'amena à mon père qui fut à la fois très surpris mais aussi extrêmement furieux de me voir du côté des barbares. On me condamna aux oubliettes mais je parvins à m'échapper en suivant un vieux hibou que la providence (du moins je le pensais) avait amené à mon secours.
Hélas, mon évasion fut très vite découverte et mon père chargea mes sept frères de me pourchasser à travers toute la région. Je fus forcé de quitter l'Empire et je remontai vers le Nord pour franchir le mur d'Hadrien et me réfugier en Irlande où je devins précepteur. Pendant de nombreuses années, j'enseignai la philosophie aux jeunes guerriers irlandais en formation jusqu'à ce que l'un de mes frères ne me retrouve par hasard, dans une taverne de Dublin. Une nouvelle fois je dus partir et je suivis l'un de mes anciens élèves jusqu'à Athènes où il devait continuer sa formation de guerrier.
En chemin, nous assistâmes à un étrange affrontement opposant des fanatiques d'Hadès aux prêtres d'Athéna. Malgré leur âge avancé, les religieux se battaient avec une vigueur et une puissance qui m'impressionnèrent. Etant moi-même sur le déclin, je demandai aux vainqueurs : les prêtres d'Athéna, le secret de leurs prouesses martiales. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque ces derniers me parlèrent du cosmos et d'intervention de leur déesse pour justifier leur force. Je décidai sur le champ de les suivre jusqu'à leur sanctuaire où l'on m'initia à l'art de la guerre, tel que le pratiquent les héros de la Grèce depuis des temps immémoriaux. Je m'entraînai avec passion et très vite, mes progrès furent remarquables. Je regagnai ma force et ma vigueur d'antan auxquelles s'ajoutait une profonde sérénité que je n'avais jamais connu auparavant. Au bout de quelques années, ma progression au sein des athéniens se mit à ralentir et j'arrivai à un stade où je stagnais. Désespéré, je demandai conseil aux instructeurs qui m'annoncèrent que je savais déjà tout ce qu'ils avaient à m'apprendre et que seule la foi me permettrait d'avancer désormais.
Je fus donc contraint de quitter les guerriers et m'installai dans la cité en tant que biographe pour le compte des plus prestigieuses familles grecques. Mes services rendus me donnèrent la distinction exceptionnelle d'être promu citoyen d'Athènes et je quittai ainsi mon statut de métèque pour devenir grec. Après cinq années entières passées loin des fidèles d'Athéna, je décidai de consacrer les dernières années de ma vie à servir sa cause et rejoignis pour la seconde fois le sanctuaire de la déesse. Une nuit, alors que je quittais le dortoir des guerriers pour prendre l'air (les gens de mon âge sont souvent sujets à l'insomnie !), un vieux hibou se posa doucement en face de moi, sur la branche d'un olivier vénérable. Je regardais le magnifique rapace depuis un bon moment lorsqu'il se mit à parler dans le langage des humains.


-Je t'attendais depuis tout ce temps, me dit-il

-Qui êtes vous ? demandai-je terrifié

-Voyons, tu ne le sais pas ? C'est pourtant pour moi que tu es venu... Tu m'as vouée ta vie désormais...

Le souffle coupé, je me prosternai devant le vieux hibou et m'évanouis au pied de l'olivier vénérable. On me réveilla au matin, couvert de rosé et les yeux encore remplis de rêves ; le hibou avait disparu et de l'olivier était tombé un étrange anneau d'argent portant mon nom entier : Volo Octave Levistus. Plus tard, les oracles me signifièrent que la déesse Athéna m'avait choisi et que je devais rester à son service pour le restant de mes jours sans jamais ôter ma bague qui me donnait la force et l'énergie d'un jeune homme tout en préservant mon apparence de vieillard inoffensif...
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Messagepar Antéros » mer. mai 20, 2009 1:45 am

Salutations Volo,

Soit le bienvenu chez Athéna.

J’ai lu avec attention ton récit et te remercie de l’effort fourni, cependant en l’état actuel je ne peut pas encore le valider.

Déjà recentre ton récit sur l’antiquité grec, ne t’éparpille pas sur les celtes, l’Irlande etc… :wink:

Puis un coup tu es précepteur, puis tu t'entraine au combat pour redevenir biographe durant X années et finir en devenant un guerrier au service d'Athéna à un age beaucoup trop avancé (car c'est ce que tu seras en arrivant au Parthénon), ca non plus ça ne va pas :wink:

Et justement le plus gros des problèmes c’est l’age de ton personnage au moment où il est censé arrivé au Parthénon pour la première fois (car tu ne peux y avoir été avant, le BG c’est le récit de ton perso avant qu’il n’arrive au Parthénon. En gros à la fin de ton BG tu dois te trouver au pied de la voie Sacrées celle ci même qui doit te conduire au sanctuaire d’Athéna mais a partir de là le reste se passe sur le forum privé)
Pour en revenir a l’age, il serait bien que tu arrive a un age plus raisonnable entre 18 et 30 ans mais pas à celui d’un vieillard, car l’histoire de la bague est trop dur a justifier, qu’est-ce qui ferait qu’Athéna fasse ce geste pour toi, tu aurais plus d’importance a ses yeux que ses autres chevaliers ?! pour moi ça ce justifie que trop difficilement donc essai de modifier ce trait de l’histoire.

Pour continuer Athéna ne s’adresse pas au commun des mortels, elle passe par ses oracles pour cela, a la rigueur tu peux ressentir sa présence mais pas la faire parler elle même, il faut trouver autre chose.

Voilà, si dans un premier temps tu peux nous proposer une nouvelle histoire ou en tout cas celle ci avec un grand nombre de modification (attention tout n’est pas forcément a jeter dans celle que tu viens de nous présenter ) :wink:

Je sais que ça peut être rageant de lire ceci mais ne te décourage pas :D , si tu as besoin de conseils n’hésite pas a me MP ou a MP virgo non shaka (l’un des MJ du clan) nous pourrons t’aider

Amicalement

Antéros :D
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Nouvelle BG de Volo !!!

Messagepar Volo » mer. mai 20, 2009 12:26 pm

(Extrait des Chroniques de Volo)



Au cours de ma longue existence, je vis bon nombre de choses curieuses, d'êtres particuliers et de phénomènes extraordinaires qui me marquèrent profondément. Mais au risque de décevoir mes lecteurs, je ne suis pas moi-même un de ces miracles et aucune déesse, ni aucune fée ne se pencha sur mon berceau pour m'attribuer quelque bénédiction (ou malédiction !) que ce fût. Je ne suis ni un prodige, ni un héros et ma vie commença dans l'opulence de la villa de mon père, le sanguinaire préfet Lévistus. Vous l'aurez compris, je suis d'origine romaine, huitième fils d'un tyran et d'une femme qui est morte en me donnant la vie. Rien ne me prédestinait donc à me rendre un jour au Parthénon même si certains signes du destin ont pu m'y conduire.
Mon enfance, sans être mouvementée, fut des plus pénibles car mon père semblait prendre un malin plaisir à monter mes frères les uns contre les autres pour déterminer lequel serait assez fort pour lui succéder à sa charge de préfet. Comme toute ma fratrie j'étudiai donc l'art du maniement du glaive, les tactiques légendaires des plus grands généraux romains ainsi que la culture physique. Très jeunes, nous fûmes reconnus dans la région comme de redoutables bretteurs et mon père nous envoyait régulièrement défendre son honneur lors de duels où nous combattions des inconnus en son nom. Les victoires se succédèrent pour moi comme pour mes frères mais aucun de nous ne parvint à sortir du lot et nous étions tous plus ou moins à égalité en terme de compétences martiales.
Las de tous ces vains combats, j'attendis ma majorité pour aller explorer le monde, loin du joug de ce préfet de père dont le caractère n'allait pas en s'améliorant. Je me fis de nombreux amis parmi les communautés barbares de la province où j'avais grandi et je découvris bien vite que ces pauvres gens croulaient sous les impôts prélevés par mon propre père.
Un jour, je croisai la route de légionnaires romains qui menaient un pauvre diable à la crucifixion. Ma surprise fut grande lorsque je reconnu en ce vagabond, l'un de mes amis barbares qui m'expliqua dans son langage qu'il avait simplement volé pour se nourrir. Horrifié, je m'interposai entre la croix et les légionnaires et les sommai de s'arrêter immédiatement. Le plus grand d'entre eux quitta le groupe, pilum en avant et menaça de m'embrocher. Avec la rapidité de l'éclair, je dégainai mon glaive et le transperçai sans que les autres aient eu le temps de voir ma lame sortir du fourreau.

-A qui le tour ? dis-je

Un murmure parcourut le groupe de légionnaires et les courageux soldats décidèrent de relâcher leur prisonnier. Hélas, l'un de ces chiens qui m'avait reconnu me dénonça à mon père devant lequel je fus convoqué pour me justifier. Hors de lui, Lévistus ordonna à mes sept frères de s'emparer de moi et de me jeter au cachot. Je me débattis et parvins par miracle à échapper à leur étreinte pour m'enfuir au dehors ; de là, j'enfourchai un cheval et partis au galop le plus loin possible. Lorsque la nuit tomba, je me perdis dans un bois marécageux et me guidai avec les étoiles pour retrouver mon chemin. En suivant des yeux la Croix du Sud, je parvins à franchir le marécage jusqu'à un endroit où la forêt était si dense que je ne pouvais plus apercevoir le ciel depuis le sol couvert de mousse. Je me résignais à me coucher au pied d'un arbre lorsqu'un hibou poussa son sinistre hululement non loin de moi. J'attendis un moment et m'allongeai de nouveau mais le rapace reprit son cri de plus belle comme s'il eut voulu que je ne m'endormisse pas. Je me levai, bien décidé à le faire taire mais en le voyant, je lâchai instantanément mon arc et mes flèches. L'animal était magnifique, d'un blanc pâle qui faisait ressortir ses grands yeux jaunes reflétant la sagesse. Jamais je n'avais vu d'aussi vénérable créature. Aussi, lorsqu'il s'envola doucement dans l'air du soir, je décidai de le suivre, tel un hypnotisé jusqu'à sa mystérieuse demeure. Abandonnant là mon cheval et mes affaires, je le suivis pendant des jours, simplement vêtu de mes riches habits et de mon armure de cuir. Nous arrivâmes à une étrange montagne et le hibou disparut au dessus d'une sorte de temple depuis lequel on pouvait distinguer Athènes, en contrebas. Je décidai de gagner la ville pour trouver une auberge et m'endormir enfin. Après plusieurs jours, l'oiseau magnifique ne se manifesta pas et je me résignai à m'installer dans la cité comme biographe auprès des plus prestigieuses familles grecques. Mes talents d'écrivain me permirent de subsister pendant de longues années et d'obtenir la citoyenneté athénienne (fait très exceptionnel pour un métèque). Cette vie bien remplie fit que j'oubliai peu à peu le vénérable hibou qui m'avait conduit jusqu'ici.
Pourtant, à l'aube de mes cinquante printemps, l'oiseau merveilleux vint se poser sur le toit de ma petite maison et m'hypnotisa une nouvelle fois de ses grands yeux magiques. Je le suivis jusqu'à la montagne où il me conduisait pour la seconde fois. Une clameur s'éleva dans l'air du soir et lorsque je me retournai, je vis un gigantesque incendie qui brûlait le quartier où je demeurais. Le sinistre fit de nombreux morts et je ne dus mon salut qu'à l'intervention du vieux hibou. Ce miracle m'amena à franchir pour la première fois la porte du temple où je découvris de nombreuses bannières portant le symbole du hibou. Intrigué, j'interrogeai un prêtre qui passait par là et ce dernier, dans sa sagesse infinie, me révéla que le hibou était l'animal favori d'Athéna. Je réalisai effaré que j'avais découvert le légendaire Parthénon.
J'eus alors le sentiment que j'étais redevable à la déesse et je décidai, malgré mon grand âge, à entrer à son service. Devenu trop faible pour la servir au mieux, je repris l'entraînement auprès d'un maître qui me redonna une partie de ma vigueur d'antan en m'assurant que seule ma foi pourrait me rendre encore plus fort à mon âge.
Je rends grâce à Athéna depuis ce miracle en m'agenouillant chaque jour devant sa statue malgré la dureté du sol du Parthénon pour mes vieux genoux perclus de rhumatismes ; puis, je m'entraîne quotidiennement pour pouvoir un jour être l'un de ses favoris...
Dernière modification par Volo le jeu. mai 21, 2009 1:17 pm, modifié 1 fois.
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Messagepar Antéros » mer. mai 20, 2009 10:02 pm

Bonjour Volo,

Alors première chose, pourrais tu réduire la taille de ton Avatar, il est beaucoup trop grand, merci d’avance. :D

Ensuite pour ton récit, la première chose qui ne va toujours pas pour moi c’est l’age de ton personnage, il faut vraiment modifier cela :wink:

Sinon dans la première partie de ton récit je n’ai pas l’impression de me trouver dans la Grèce antique mais plutôt à Rome et ses provinces, tu nous parle de légionnaire romain etc.. redirige toi plutôt vers la Grèce, ses provinces, ses peuplades… :wink:

le hibou disparut au dessus du Parthénon et je décidai de trouver une auberge pour m'endormir enfin
Alors là je vais apporter une précision assez importante. Il y a " la Citée d’Athènes" et "le Parthénon (ou Sanctuaire d’Athéna)". Ce sont deux choses différentes, le Parthénon (ou sanctuaire) ne paraît être pour le commun des mortel qu’une légende bien qu’il surplomb la citée loin au dessus dans les collines et caché au milieu des rocheuses. Seulement même si beaucoup pense connaitre sont existence, personne (a part les chevaliers et quelques rare prêtres) ne peut témoigner de sa réelle présence…

Donc attention aux termes employés :wink:
Après plusieurs jours, l'oiseau magnifique ne se manifesta pas et je me résignai à m'installer dans la cité comme biographe auprès des plus prestigieuses familles grecques. Mes talents d'écrivain me permirent de subsister pendant de longues années et d'obtenir la citoyenneté athénienne (fait très exceptionnel pour un métèque). Cette vie bien remplie fit que j'oubliai peu à peu le vénérable hibou qui m'avait conduit jusqu'ici.
Pourtant, à l'aube de mes cinquante printemps, l'oiseau merveilleux vint se poser sur le toit de ma petite maison et m'hypnotisa une nouvelle fois de ses grands yeux magiques. Je le suivis jusqu'au Parthénon où il me conduisait pour la seconde fois. Une clameur s'éleva dans l'air du soir et lorsque je me retournai, je vis un gigantesque incendie qui brûlait le quartier où je demeurais. Le sinistre fit de nombreux morts et je ne dus mon salut qu'à l'intervention du vieux hibou. Ce miracle m'amena à franchir pour la première fois la porte du Parthénon où je découvris de nombreuses bannières portant le symbole du hibou. Intrigué, j'interrogeai un prêtre qui passait par là et cee dernier, dans sa sagesse infinie, me révéla que le hibou était l'animal favori d'Athéna.
J'eus alors le sentiment que j'étais redevable à la déesse et je décidai, malgré mon grand âge, à entrer à son service. Devenu trop faible pour la servir au mieux, je repris l'entraînement auprès d'un maître qui me redonna une partie de ma vigueur d'antan en m'assurant que seule ma foi pourrait me rendre encore plus fort à mon âge.
Je rends grâce à Athéna depuis ce miracle en m'agenouillant chaque jour devant sa statue malgré la dureté du sol du Parthénon pour mes vieux genoux perclus de rhumatismes ; puis, je m'entraîne quotidiennement pour pouvoir un jour être l'un de ses favoris...
Voici la partie la plus problématique de ton histoire (sans parler de l’age de ton perso)

Le Parthénon n’est pas une place forte au milieu de la ville d’Athènes, c’est bien plus que ca comme expliqué ci dessus, tu ne peux donc déjà y être allé. Un autre problème, tu arrive dans la ville d’Athènes sans but précis (bon ca ok éventuellement le hibou) mais tu y deviens biographe et y reste un grand nombre d’Année. A aucun moment je n’imagine ton personnage devenir un chevalier d’Athéna, cette partie de l’histoire est trop approximative et ne va pas dans le bon sens.

Dernière chose pour aujourd’hui la fin de ton BG doit correspondre a ton arrivée au pieds de la voie sacrée (voie qui se situe dans les collines surplombant Athènes.)

Voici d’ailleurs la description de cette dernière (même si pour ta BG ca ne te sera pas utile)


La voie sacrée

Lieu de passage obligatoire pour rejoindre l'acropole et le Parthenon. Une voie escarpée, rocailleuse et longue. A son départ on ne peut apercevoir sa fin, serpentant à travers la falaise et se perdant entre les rochers. Le soleil ardant envoi ses rayons brûlant sur les cailloux rougeâtres qui composent le paysage. Ici peu d'arbres et encore moins d'herbes, de la roche et toujours de la roche mais c'est un passage nécessaire pour la purification de l'âme et du corps, mais surtout pour aller jusqu au Parthénon.
la voie sacré passe également par douze temples de pierres. Nul ne sait exactement quel est leur utilité et ils sont, pour le moment inoccupés. Ces temples furent bâtit a la demande d'Athéna elle même.

Voilà en résumé, re-travail la fin de ton récit et l’age de ton perso. Donne nous l’impression qu’il sera un futurs chevalier d’Athéna

Bonne soirée

Amicalement

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Messagepar Volo » jeu. mai 21, 2009 12:41 pm

(Extrait des chroniques de Volo, suite)

[...]
Hélas, malgré ma foi et ma détermination sans faille ; je me vis refoulé par les oracles à cause de mon grand âge et de mes origines latines.
Ne pouvant rajeunir ni changer le passé, je continue à m'entraîner et à rendre grâce à Athéna jour après jour, guidé par le fol espoir d'être un jour admis au sein des chevaliers de la déesse malgré mon âge et ma patrie de naissance.
Après un demi siècle d'existence, j'ai réussi aujourd'hui à donner un sens à ma vie et je sais que quoi qu'il advienne, je continuerai ma route, seul s'il le faut, pour accomplir un Destin que je n'ai que trop repoussé...
La gloire d'Athéna rayonne à travers moi et je prie pour que les oracles le découvrent un jour.
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Mise au point sur le parthénon dans la BG de Volo

Messagepar Volo » mar. mai 26, 2009 6:36 pm

(Extrait des Chroniques de Volo)



Au cours de ma longue existence, je vis bon nombre de choses curieuses, d'êtres particuliers et de phénomènes extraordinaires qui me marquèrent profondément. Mais au risque de décevoir mes lecteurs, je ne suis pas moi-même un de ces miracles et aucune déesse, ni aucune fée ne se pencha sur mon berceau pour m'attribuer quelque bénédiction (ou malédiction !) que ce fût. Je ne suis ni un prodige, ni un héros et ma vie commença dans l'opulence de la villa de mon père, le sanguinaire préfet Lévistus. Vous l'aurez compris, je suis d'origine romaine, huitième fils d'un tyran et d'une femme qui est morte en me donnant la vie. Rien ne me prédestinait donc à me rendre un jour au Parthénon même si certains signes du destin ont pu m'y conduire.
Mon enfance, sans être mouvementée, fut des plus pénibles car mon père semblait prendre un malin plaisir à monter mes frères les uns contre les autres pour déterminer lequel serait assez fort pour lui succéder à sa charge de préfet. Comme toute ma fratrie j'étudiai donc l'art du maniement du glaive, les tactiques légendaires des plus grands généraux romains ainsi que la culture physique. Très jeunes, nous fûmes reconnus dans la région comme de redoutables bretteurs et mon père nous envoyait régulièrement défendre son honneur lors de duels où nous combattions des inconnus en son nom. Les victoires se succédèrent pour moi comme pour mes frères mais aucun de nous ne parvint à sortir du lot et nous étions tous plus ou moins à égalité en terme de compétences martiales.
Las de tous ces vains combats, j'attendis ma majorité pour aller explorer le monde, loin du joug de ce préfet de père dont le caractère n'allait pas en s'améliorant. Je me fis de nombreux amis parmi les communautés barbares de la province où j'avais grandi et je découvris bien vite que ces pauvres gens croulaient sous les impôts prélevés par mon propre père.
Un jour, je croisai la route de légionnaires romains qui menaient un pauvre diable à la crucifixion. Ma surprise fut grande lorsque je reconnu en ce vagabond, l'un de mes amis barbares qui m'expliqua dans son langage qu'il avait simplement volé pour se nourrir. Horrifié, je m'interposai entre la croix et les légionnaires et les sommai de s'arrêter immédiatement. Le plus grand d'entre eux quitta le groupe, pilum en avant et menaça de m'embrocher. Avec la rapidité de l'éclair, je dégainai mon glaive et le transperçai sans que les autres aient eu le temps de voir ma lame sortir du fourreau.


-A qui le tour ? Dis-je.

Un murmure parcourut le groupe de légionnaires et les courageux soldats décidèrent de relâcher leur prisonnier. Hélas, l'un de ces chiens qui m'avait reconnu me dénonça à mon père devant lequel je fus convoqué pour me justifier. Hors de lui, Lévistus ordonna à mes sept frères de s'emparer de moi et de me jeter au cachot. Je me débattis et parvins par miracle à échapper à leur étreinte pour m'enfuir au dehors ; de là, j'enfourchai un cheval et partis au galop le plus loin possible. Lorsque la nuit tomba, je me perdis dans un bois marécageux et me guidai avec les étoiles pour retrouver mon chemin. En suivant des yeux la Croix du Sud, je parvins à franchir le marécage jusqu'à un endroit où la forêt était si dense que je ne pouvais plus apercevoir le ciel depuis le sol couvert de mousse. Je me résignais à me coucher au pied d'un arbre lorsqu'un hibou poussa son sinistre hululement non loin de moi. J'attendis un moment et m'allongeai de nouveau mais le rapace reprit son cri de plus belle comme s'il eut voulu que je ne m'endormisse pas. Je me levai, bien décidé à le faire taire mais en le voyant, je lâchai instantanément mon arc et mes flèches. L'animal était magnifique, d'un blanc pâle qui faisait ressortir ses grands yeux jaunes reflétant la sagesse. Jamais je n'avais vu d'aussi vénérable créature. Aussi, lorsqu'il s'envola doucement dans l'air du soir, je décidai de le suivre, tel un hypnotisé jusqu'à sa mystérieuse demeure. Abandonnant là mon cheval et mes affaires, je le suivis jusqu'à Athènes, simplement vêtu de mes riches habits et de mon armure de cuir. Le hibou survola la noble cité pour disparaître au dessus des collines, quant à moi, je décidai de rester en ville pour trouver une auberge et m'endormir enfin. Après plusieurs jours, le superbe volatile ne se manifesta pas et je me résignai à m'installer dans la cité comme biographe auprès des plus prestigieuses familles grecques. Mes talents d'écrivain me permirent de subsister pendant de longues années et d'obtenir la citoyenneté athénienne (fait très exceptionnel pour un métèque). Cette vie bien remplie fit que j'oubliai peu à peu le vénérable hibou qui m'avait conduit jusqu'ici pour retomber dans la monotonie d'une existence calme et prospère. Je m'étais finalement résigné à vieillir sans avoir trouvé le moindre sens à ma vie.
Pourtant, à l'aube de mes cinquante printemps, l'oiseau merveilleux vint se poser sur le toit de ma petite maison et m'hypnotisa une nouvelle fois de ses grands yeux magiques. Cette fois-ci, je le suivis jusque dans les collines où il s'envolait une seconde fois. Une clameur s'éleva dans l'air du soir et lorsque je me retournai, je vis un gigantesque incendie qui brûlait le quartier où je demeurais. Le sinistre fit de nombreux morts et je ne dus mon salut qu'à l'intervention du vieux hibou. Ce miracle m'amena à poursuivre le grand rapace sur un étrange chemin bordé de petites chapelles de pierre. Curieusement, le hibou se posa sur l'épaule d'un voyageur solitaire qui errait sur les coteaux. Quelque peu intimidé, je m'approchai du pèlerin pour l'interroger et ce dernier m'indiqua que la piste débouchait sur les portes du légendaire Parthénon que seuls les favoris d'Athéna pouvaient franchir.
J'eus alors le sentiment que j'étais redevable à la déesse et je décidai, malgré mon grand âge, à entrer à son service. Je suivis donc le mystérieux pèlerin qui me parla avec passion de sa foi et de son rôle au sein de son Eglise. Une nouvelle fois, je fus subjugué par ses paroles et je me pris à espérer qu'Athéna me donnerait une seconde vie, à son service, au sein de ses puissants et sages chevaliers...
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Messagepar Antéros » mar. mai 26, 2009 7:01 pm

Bonsoir Volo,

Et bien comme dit par MP nous avons décidé d'accepter l'age de ton personnage.

Pour le reste tu as apporté les modifications souhaités je valide donc ton Bg, soit le bienvenu.

Atmos te donneras les droits à la partie Rp sur le forum publique quant a moi je te donne de ce pas les accès complet au forum privé

A très bientôt

Amicalement

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Messagepar Atmos » mar. mai 26, 2009 7:22 pm

félicitations Volo ;)

Droit RP sur ce fofo donnés :)
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