Après, tu parle de justice, amitié et tout et tout...rien de nouveau sous le soleil donc vus que c'est le canvas de base de tout shonen qui se respecte

Par contre, tu m'étonne sur la vision des jeunes générations, d'accord Seyar reste seul du début à la fin, et Shun est un peu ^^... Mais y a quand même la relation Athéna/Seyar dont parle SFNagie, et l'amour de Shaina pour Seyar (très bien amené dans la série selon moi).
Après, dans les shonens, l'amour reste souvent en second plan, et même si le héros à toujours une fille en vu, c'est rare de voir des animés ou il y est une véritable relation (je pense à Evangelion, Bleach ou même Naruto).
Un truc que m'a assez marquer c'est les armures dans le manga qui évoque pas mal le robot des séries de méchas. Si je devais donner une raison du succès de la série (au japon ou en europe), c'est justement de reprendre des codes du manga méchas mais à l'échelle humaine. J'ai pas trop la liste des animés de l'époque, mais de tête il y à Ken, Ranma et DBZ, plus ceux de méchas dont j'ai aucun nom. Mais justement, Saint Seyar mélangeait un peu les codes des différents genre, avec les armures pour les robots, les chorégraphies lorsqu'une personnage use d'une attaque ou revêt une armure (dans l'animé), appartenant au genre méchas, et les affrontement à coup de boule d'énergie et à l'échelle humaine se rapprochant plus du manga de combat classique.
Plus bien sur le rabâchage habituel du dépassement de sois pour une cause juste avec en toile de fond la mythologie grecque et de l'épique à gogo

Voilà comment je décris la recette Saint Seyar en bref : un mélange des codes qui donne un truc jamais vu à cette époque, mais qui dans le schéma narratif reste très (trèèès) classique.