[VALIDE] BG Cooboolt
Publié : mer. sept. 10, 2008 3:54 pm
C'est par une journée pluvieuse que le jeune combattant tourmenté Cooboolt arriva près du sanctuaire d'Athéna.
Il avait marché longtemps et il était au bord de l’épuisement.
Pourtant, il en était toujours à se demander comment cette histoire, qu'un mourant lui avait raconté, pouvait avoir autant put l'emplir de rêve et de bonheur.
Il n’osa pas entrer dans le sanctuaire tout de suite.
Lui qui était un combattant froid, n'éprouvant ni peur ni pitié, sentait sont cœur battre bien trop fort en lui.
Il lui fallait se mettre à proximité pour se calmer.
Alors, Il alla se cacher à l'hombre d’une forêt et se plongea dans la réflexion.
Fils d'un chevalier Sparte, il n'avait pas connu son père.
Sa mémoire marchait par séquence, ne situant pas vraiment les évènements dans le temps.
Il revoyait cette femme qui fuyait sans arrêt, lui disant qu'elle n'était pas sa mère et qu'il fallait se méfier de tout et de tout le monde.
Elle le lui avait tant de fois répétée que ses paroles avaient finis par se graver en lui.
Vivant comme un animal sauvage bien loin des hommes, elle se battait avec la force du désespoir contre le peut d'entre eux qui l'approchaient.
C’est d’elle qu’il avait vu que l’on pouvait se battre à mort sans jamais lâcher prise.
Et quant elle ne se battait pas, elle inspirait tellement la crainte qu’on lui libérait vite le chemin pour qu’elle parte.
Il n’avait jamais éprouvé d’affection pour elle et à présent il s’en rendait compte.
Un jour dans un gué tapant ou plusieurs archers la tuèrent, elle avait quant même brandit son épée en hurlant comme un démon avant de s’abattre dans la boue terrassé par les flèches qui continuaient à la transpercer.
Dans son dernier regard, vitrifié par la mort, il avait vu tout l’amour d’une mère qui offrait sa vie en sacrifice.
Mais il était trop jeune pour avoir compris cela, ce qui lui avait sauvé la vie, car il n’avait pas bronché devant le spectacle de sa mise à mort.
Qu’aurait-il bien put faire ?
Quant un des archers était venu la décapiter juste devant lui pour emporter sa tête, son âme avait perdu toutes sensibilités.
Il fut prisonnier et commença par porter les armes de ses geôliers qui n’étaient que des mercenaires navigants entre guerres, pillages et chasse à l’homme sur contrat.
Il apprit à s’occuper d’eux, à gérer leurs logistiques, puis à utiliser leurs armes.
Ayant assisté à tant de violence et de barbarie que pour survivre, il du lui aussi prendre part à leurs actions, se transformant en machine de combat.
A travers les affrontements, il gagna peut à peut leur confiance et fut accepté comme un des leurs.
La réalité autour de lui était tellement impitoyable que ceux qui avaient faits de lui ce qu’il était, avaient tous fini tués les uns après les autres.
Ne sachant faire autre chose à la mort de son dernier père d’arme, il continua à vendre ses talents de combat jusqu’au jour ou il rencontra un vieil Hermite mourant dans sa grotte.
Cet homme était un puissant magicien et possesseurs d’une immense propriété terrienne convoitée par des familles de la noblesse Sparte.
Bien payé pour ce contrat, Cooboolt avait pour mission d’éliminer l’homme pour que ses commanditaires puissent récupérer ses terres.
Alors qu’on lui avait dit qu’il risquait de rencontrer de grandes forces magiques qui le repousseraient, il avait été surpris par le peut de résistance de ce grand magicien quant il était entrée dans sa grotte.
Il n’y avait là qu’un grand feu de bois qui réchauffait un malade recroquevillé sous une couverture en peau de bête.
L’homme l’avait prié de s’asseoir, lui assurant que rien ne lui arriverait, mais qu’il devait écouter ce qu’il avait à lui dire.
Cooboolt qui n’avait rien à faire des histoires d’un vieil homme mourant n’avait tout de même pas envie de tuer cet homme qui semblait promis à la mort.
En plus, ce magicien connaissait son nom et semblait l’attendre, ce qui avait suscité sa curiosité et l’avait influencé un peut plus à l’écouter.
L’histoire qui sorti de la bouche du vieil homme était celle de Cooboolt.
C’est là qu’il su que son père assoiffé de gloire avait perdu sa vie au combat contre des clans rivaux pour la possession d’un royaume.
Et que sa mère avait passé le plus claire de son temps à fuir pour le protéger lui, car un contrat exigeait la mort de toute la famille ainsi que des héritiers s’il y en avait.
Dans le face à face qui opposait les forces positives et négatives, le vieux magicien luttait pour que les hommes connaissent Athéna.
Il lui narra toute l’histoire de cette déesse fille de Zeus et de Métis.
Cooboolt ne s’était pas vraiment rendu compte que le vieil homme livrait son dernier combat et que la magie de ses paroles allaient l’envouter jusqu’au plus profond de son être.
De son cœur de pierre jaillit pour la première fois un sentiment d’amour pour cette déesse.
Elle représentait ce qu’il n’avait jamais rencontré et qui le faisait à présent rêver.
Le vieil homme avait disparut à la fin de sa narration sans même que Cooboolt ne s’en aperçoive.
Il ne put donc pas tuer cet homme et fut mit en fuite par la force de ses mots.
Il dut aussi s’éloigner de cette région pour avoir échoué à son contrat.
Même s’il était un bon combattant, il y en avait de meilleur que lui et il passa un moment à se cacher.
Mais il se cachait aussi de ses sentiments nouveaux qui l’affaiblissaient car ils suscitaient en lui bien trop de réflexions, ce qui n’était pas bon pour le combat.
Tout cela le poussa à chercher au-delà de l’horizon le sanctuaire d'Athéna.
Il pensait que cet endroit lui apporterait la paix.
Pourtant, ici il prit conscience qu’avec ce sentiment d’amour, il éprouvait aussi de la peur.
Et avant de partir vers le sanctuaire, il eu pour la première fois, le regret de n’avoir pas connu et aimé cette mère si vaillante.
Il avait marché longtemps et il était au bord de l’épuisement.
Pourtant, il en était toujours à se demander comment cette histoire, qu'un mourant lui avait raconté, pouvait avoir autant put l'emplir de rêve et de bonheur.
Il n’osa pas entrer dans le sanctuaire tout de suite.
Lui qui était un combattant froid, n'éprouvant ni peur ni pitié, sentait sont cœur battre bien trop fort en lui.
Il lui fallait se mettre à proximité pour se calmer.
Alors, Il alla se cacher à l'hombre d’une forêt et se plongea dans la réflexion.
Fils d'un chevalier Sparte, il n'avait pas connu son père.
Sa mémoire marchait par séquence, ne situant pas vraiment les évènements dans le temps.
Il revoyait cette femme qui fuyait sans arrêt, lui disant qu'elle n'était pas sa mère et qu'il fallait se méfier de tout et de tout le monde.
Elle le lui avait tant de fois répétée que ses paroles avaient finis par se graver en lui.
Vivant comme un animal sauvage bien loin des hommes, elle se battait avec la force du désespoir contre le peut d'entre eux qui l'approchaient.
C’est d’elle qu’il avait vu que l’on pouvait se battre à mort sans jamais lâcher prise.
Et quant elle ne se battait pas, elle inspirait tellement la crainte qu’on lui libérait vite le chemin pour qu’elle parte.
Il n’avait jamais éprouvé d’affection pour elle et à présent il s’en rendait compte.
Un jour dans un gué tapant ou plusieurs archers la tuèrent, elle avait quant même brandit son épée en hurlant comme un démon avant de s’abattre dans la boue terrassé par les flèches qui continuaient à la transpercer.
Dans son dernier regard, vitrifié par la mort, il avait vu tout l’amour d’une mère qui offrait sa vie en sacrifice.
Mais il était trop jeune pour avoir compris cela, ce qui lui avait sauvé la vie, car il n’avait pas bronché devant le spectacle de sa mise à mort.
Qu’aurait-il bien put faire ?
Quant un des archers était venu la décapiter juste devant lui pour emporter sa tête, son âme avait perdu toutes sensibilités.
Il fut prisonnier et commença par porter les armes de ses geôliers qui n’étaient que des mercenaires navigants entre guerres, pillages et chasse à l’homme sur contrat.
Il apprit à s’occuper d’eux, à gérer leurs logistiques, puis à utiliser leurs armes.
Ayant assisté à tant de violence et de barbarie que pour survivre, il du lui aussi prendre part à leurs actions, se transformant en machine de combat.
A travers les affrontements, il gagna peut à peut leur confiance et fut accepté comme un des leurs.
La réalité autour de lui était tellement impitoyable que ceux qui avaient faits de lui ce qu’il était, avaient tous fini tués les uns après les autres.
Ne sachant faire autre chose à la mort de son dernier père d’arme, il continua à vendre ses talents de combat jusqu’au jour ou il rencontra un vieil Hermite mourant dans sa grotte.
Cet homme était un puissant magicien et possesseurs d’une immense propriété terrienne convoitée par des familles de la noblesse Sparte.
Bien payé pour ce contrat, Cooboolt avait pour mission d’éliminer l’homme pour que ses commanditaires puissent récupérer ses terres.
Alors qu’on lui avait dit qu’il risquait de rencontrer de grandes forces magiques qui le repousseraient, il avait été surpris par le peut de résistance de ce grand magicien quant il était entrée dans sa grotte.
Il n’y avait là qu’un grand feu de bois qui réchauffait un malade recroquevillé sous une couverture en peau de bête.
L’homme l’avait prié de s’asseoir, lui assurant que rien ne lui arriverait, mais qu’il devait écouter ce qu’il avait à lui dire.
Cooboolt qui n’avait rien à faire des histoires d’un vieil homme mourant n’avait tout de même pas envie de tuer cet homme qui semblait promis à la mort.
En plus, ce magicien connaissait son nom et semblait l’attendre, ce qui avait suscité sa curiosité et l’avait influencé un peut plus à l’écouter.
L’histoire qui sorti de la bouche du vieil homme était celle de Cooboolt.
C’est là qu’il su que son père assoiffé de gloire avait perdu sa vie au combat contre des clans rivaux pour la possession d’un royaume.
Et que sa mère avait passé le plus claire de son temps à fuir pour le protéger lui, car un contrat exigeait la mort de toute la famille ainsi que des héritiers s’il y en avait.
Dans le face à face qui opposait les forces positives et négatives, le vieux magicien luttait pour que les hommes connaissent Athéna.
Il lui narra toute l’histoire de cette déesse fille de Zeus et de Métis.
Cooboolt ne s’était pas vraiment rendu compte que le vieil homme livrait son dernier combat et que la magie de ses paroles allaient l’envouter jusqu’au plus profond de son être.
De son cœur de pierre jaillit pour la première fois un sentiment d’amour pour cette déesse.
Elle représentait ce qu’il n’avait jamais rencontré et qui le faisait à présent rêver.
Le vieil homme avait disparut à la fin de sa narration sans même que Cooboolt ne s’en aperçoive.
Il ne put donc pas tuer cet homme et fut mit en fuite par la force de ses mots.
Il dut aussi s’éloigner de cette région pour avoir échoué à son contrat.
Même s’il était un bon combattant, il y en avait de meilleur que lui et il passa un moment à se cacher.
Mais il se cachait aussi de ses sentiments nouveaux qui l’affaiblissaient car ils suscitaient en lui bien trop de réflexions, ce qui n’était pas bon pour le combat.
Tout cela le poussa à chercher au-delà de l’horizon le sanctuaire d'Athéna.
Il pensait que cet endroit lui apporterait la paix.
Pourtant, ici il prit conscience qu’avec ce sentiment d’amour, il éprouvait aussi de la peur.
Et avant de partir vers le sanctuaire, il eu pour la première fois, le regret de n’avoir pas connu et aimé cette mère si vaillante.