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[Validé V3] Reknag

Publié : mer. juin 13, 2012 5:26 pm
par Reknag
L’enfance : :


Mon histoire commence dans une petite maison ou je suis né sous le nom de Reknag. C'était dans un petit village près du Cap Tenare. Mon père Theos était un forgeron réputé pour les armes qu'il confectionnait pour différents mercenaires et généraux de la Grèce. Ma mère Sophia s'occupait de gérer la maison et de mon éducation. Notre village était paisible, il n'a jamais connu les combats, ni le sang.

Trois année passèrent, quand ma mère mis au monde mon frère que mes parents nommèrent Tenaka. C'est à ce moment que ma Sophia essaya de m'apprendre des valeurs tel que l'honnêteté, le respect et d'autres notions. Mais à cette période, je ne l'écoutais pas, je préférais aller jouer avec les autres enfants du village.

A l'âge de dix ans, les leçons de ma mère bien aimée avaient portées leurs fruits. Je suis devenu pendant toutes ces années, un garçon bien élevé, polit et respectueux.
De temps à autre, j'allais dans la forge de mon père pour le voir travailler et marteler le fer rouge. Je ne savais pas comment il arrivait à y rester toute la journée alors que je ne pouvais pas rester plus d'une heure à cause de cette chaleur intense. Mais quand j'y allais, j'étais en admiration de voir qu'il transformer un morceau de métal sans forme en une arme magnifique ! Je savais ce que je voulais faire plus tard dans la vie, forgeron, comme Theos.
Puis, après être passé à la forge, j'allais dans l'arrière boutique pour me déguiser en soldat avec un plastron de cuir et une épée en bois que mon père m'avait fabriqué.

J'étais le contraire parfait de mon frère qui lui, n'aimait pas du tout se battre ou parler de guerre. Il préférait considérablement l'art. Malgré son jeune âge, il jouait formidablement de la harpe. Il était heureux quand il en jouait et cela faisait plaisir à Sophia d'écouter son concert. Parfois elle pleurait tellement la mélodie était belle …
Mon jeune frère avait hérité du talent de Sophia pour les arts. C’est ce qui ma rendu jaloux car j’avais perdu tout intérêt aux yeux de ma mère. C’est alors que je m’amusais seul, dans le bois des environs ou je jouais avec d’autres garçons du village mais j’évitais le plus possible d’être avec mon frère puisqu’il m’avait volé ma mère …




L’adolescence :


Le jour de mon quatorzième anniversaire, mon père m'apprit le travail de forgeron. La chaleur de la forge n'avait plus aucun effet sur moi, car au fil des années je m'y étais habitué. Chaque jour était une nouvelle leçon que mon Theos me transmettait. J'apprenais les techniques pour forger les armes qui avaient été transmise auparavant par mon grand-père lui même …
Quant à mon frère, mes parents avaient fait venir un précepteur pour lui apprendre plus en détail l’art de l’éloquence. Il apprenait la poésie, le théâtre, la musique et d’autres domaines que je ne connaissais pas comme lire et écrire. Pendant ces quatre années qui se sont déroulés, j’ai pu réfléchir sur la jalousie que j’avais contre mon frère. Tout cela était insensé. J’étais son grand frère et mon rôle était de le protéger de tous les dangers qui pourraient se présenter. J’ai donc décidé d’aller vers lui pour lui parler et créer un lien fraternel fort entre nous deux. Avec le temps qui passé, Tenaka m’avait appris à lire et à écrire. Mais ceci n’était pas tout, il m’avait initié à l’art des jeux de stratégie comme les échecs tout en continuant à apprendre à forger des armes.
Les premières armes que je forgeais n’étaient pas aussi belles et tranchante que celles de mon père. Mais le plus dur n'était pas d'apprendre les différentes techniques mais de passer sa journée à marteler le métal bouillant pour lui donner une forme. Cette répétition tirait tous les muscles de mes bras et ils me faisaient souffrir. Mais au fur et à mesure des semaines qui passaient, les douleurs étaient de moins en moins douloureuses et je commençais à développer une petite musculature.
Après plusieurs semaines d'apprentissage, le soir j'allais dans l'arrière boutique pour étudier les armes que Theos avait faite et les miennes. J'écoutais le son quand la lame tranchait l'air, son poids. Mais je m’entraînais aussi à la manier pendant plusieurs heures.
Un soir où j'étudiais les armes, j'ai entendu des bruits qui m'ont parut étranges. Je suis alors sorti et je me suis dirigé vers les hurlements. Ils provenaient d'une petite ruelle, près des entrepôts où étaient stockées les réserves de céréales. Il y avait une dizaine d'hommes du village torse nu. Ils formaient un cercle ou deux autres hommes étaient entrain de se battre à main nu. C'est alors que je me suis avancé vers un de ces hommes pour me renseigner :
- Bonsoir monsieur, que se passe t-il ici ?
- Ici ce réunit un groupe de combat de rue gamin, il organise des combats pour se faire un peu d'argent.
- Et comment peut-on y participer ?
- Il te suffit d'aller voir le chef, il t'expliquera. C'est le grand homme avec les bras croisés.

Je me dirigeais donc vers cet homme qui devait au moins faire deux mètres de haut, en plus de sa forte musculature. Je l’interpellais pour lui demander :

- Vous êtes le chef de ce groupe de combat de rue ?
- C'est exact mon gars. Que me veux-tu ?
- J'aimerais participer à ces combats.
- Il te faudra de l'argent, mais tu es trop jeune pour te battre gamin !
- J'ai de l'argent, laissez moi combattre !
- Bon, puisque tu insistes, je vais te laisser combattre. Je verrais alors si tu peux ou non participer à nos réunions. Cette fois-ci, tu n'auras pas besoin de sortir ta bourse.
- Je vous remercie de m'accorder cet essaie.

Le chef de ces rencontres appela un de ces membres pour aller au centre me combattre. Il était un peu plus grand que moi mais de la même corpulence physiquement. Le combat commença. Les autres hommes crièrent : « Donnes lui une bonne leçon à ce gamin prétentieux ! ». J'avais le cœur qui s'était emballé. J'ai alors foncé sur mon adversaire pour le frapper mais il avait réussit à éviter le coup avec une facilité qu'il a eu le temps de me couper le souffle avec un coup de poing dans le ventre. J'ai titubé et j'ai essayé de reprendre mon souffle mais il était encore sur moi. Je n'arrivais plus à bloquer les coups. Je tombais fréquemment par terre mais je ne voulais pas abandonner et perdre, donc je me relevais à chaque fois. Au bout de quelques minutes, l'homme qui organise tout cela fit arrêt mon combat. J'étais en effet mal au point. J'avais des bleus sur tout le corps et mon visage était couvert de sang. J'aurais dû ressentir des douleurs immédiates mais elles sont apparurent quelques heures après. J’étais enragé d’avoir perdu ce combat face à un homme qui était de la même force que moi. J’étais aussi déçu car je savais qu’après ça, le chef de ce groupe ne voudrait jamais que je les rejoigne. Quand j’allais rentrer chez moi, le chef de gang m’appela pour discuter avec moi :

- Tu as du caractère mon garçon ! Plus d'un aurait abandonné à ta place et tu as continué. Quel est ton nom mon jeune ami ?
- Je m'appelle Reknag.
- Reknag, je veux te dire que tu as ta place parmi nous. Mais tu regarderas les combats les toutes premières semaines avant de combattre. Il faut que tu apprennes comment se battre car si tu ne réfléchis pas, ton adversaire pourrait te tuer. J'espère que tu seras la, la semaine prochaine au même endroit à la tombé de la nuit.

Après cette soirée bien agitée, je rentrais chez moi pour me reposer et oublier cette défaite. Le lendemain, Sophia avait vu mon visage complètement abîmé. Elle me demanda ce que j’avais fait et je lui avais répondu que la veille au soir, j’ai découvert un groupe de combattant de rue et que j’y avais participé. Ma mère m’a fait la moral pendant plus d’une heure avant de s’occuper de mes blessures. Mon adolescence se basait sur le travail à la forge qui m’endurcissait au fur et à mesure des jours à travailler et un fois par semaine, le soir, j'allais combattre pour me faire un peu d'argent. C'est ce qui faisait que je devenais un peu plus fort chaque jour …

Quant à Tenaka, il devenait un artiste connu dans les villages environnants. Il charmait les filles du village avec sa musique et ses poèmes. Et parmi ces filles, il y avait Olivia, la fille du pêcheur qui faisait lui aussi des combats le soir. C'était une fille ravissante, rayonnante et gentille mais je ne savais pas comment l'aborder puisque j'étais quelqu'un de très timide envers les femmes. C'est alors que j'étais allé voir mon frère pour qu'il me donne des conseilles sur un poème que je voulais lui écrire. On avait travaillé pendant des heures pour que mon poème me ressemble et qu'il puisse dire ce que je ressentais pour elle …
Un jour où elle assisté à un concert de mon frère, je m’étais assis à coté de cette fille de Vénus et je lui avais glissé discrètement mon poème dans la main avant de repartir.

Quelques jours après avoir donné le poème à la fille qui comptait plus que tout pour moi, m'avait répondu d'un hermès. Elle me disait que le poème que j'avais écrit, l'avait touché et qu'elle le trouvait beau. Elle m'avait même demandé à ce que l'on se rencontre car elle voulait me connaître un peu plus. Suite à ce message, une correspondance s'était installée et nous nous rencontrions de temps en temps. A chaque fois que je recevais une lettre de sa part ou que je la voyais, j'étais heureux.

Durant les deux années qui s'étaient écoulé, j'étais heureux avec Olivia, nous nous aimions et tout allé pour le mieux. J'avais beaucoup changé depuis toutes ces années. J'avais grandi pour mensurer à l'âge de mes seize ans, un mètre quatre-vingt pour une masse d'une centaine de kilos. Mon corps était assez bien sculpté. J'étais bien musclé et j'avais de la force mais à la course, je n'étais pas si rapide. J'étais certes, très endurant mais pas rapide. Mais ma réactivité compensait mes désavantages. Et mon apprentissage à la forge était terminé, je travaillais pour mon Theos.

Le premier jour du printemps, je me dirigeais vers la maison du père d'Olivia pour demander la main de sa fille. Mais un bruit sur le chemin me troubla. C'était le bruit de sabots de plusieurs montures mais ce qui me fit courir vers la maison d’Olivia était le son d'une lame que Theos avait vendu à un mercenaire. J'aurais pu reconnaître ce son entre mille autres épées.

Quand enfin, j'arrivais devant sa maison, il était déjà trop tard. Sa demeure brûlait et son corps se trouvait devant la porte. J’ai couru vers son cadavre en pleure. Je l'ai prise dans mes bras mais elle avait déjà quitté ce monde. J’étais dorénavant seul. J'étais resté plusieurs minutes à pleurer et maudire celui qui avait fait ça quand un barbare hurla en fonçant droit sur moi pour me tuer. J'ai alors fermé les yeux un instant en pensant que j'allais rejoindre la jeune femme que j'aimais de tout mon être mais rien ne se passa. Quand j'avais ouvert les yeux, un homme était debout à côté de moi. Il portait une armure peu commune, qui était de couleur violette. Il me releva et me dit :

- On ne peut plus rien pour elle. Ramasse une arme et va défendre ceux que tu peux encore sauver !

C'est alors que je ramassais une arme en larme avec un désir de venger la mort de ma bien aimé. Je me dirigeais chez mon père où Sophia et mon frère étaient réfugiés. Tous ceux qui en voulaient à ma vie sur mon chemin furent tués par une rage qui m'avait pris soudainement. Mon corps dégageait une puissance que je ne connaissais pas et qui rendait mon glaive flamboyant quand un mercenaire se présenté devant moi. Quand je fus proche de la maison, j'entendais une mélodie que mon frère jouait. Et la maison toute entière était enveloppée d’une sorte d'aura protectrice. Les mercenaires ne pouvait ni y mettre le feu, ni y pénétrer. Theos quant à lui se battait avec ardeur pour défendre le reste du village. Ce raide avait durée plusieurs dizaines de minutes quand ces hommes avides de sang décidèrent de partir puisque leur chef avait été vaincu.

Tout le village était en deuil, les villageois enterraient leurs morts avec l'aide de ces étranges hommes vêtu de violet qui étaient venu nous sauver de ce massacre. J’avais enterré Olivia et le reste de la famille seul avant de m’isoler du reste des villageois. J’étais perché en haut d’un arbre ou personne ne pouvait savoir ou j’étais. J’ai repensé à tout les moments que j’avais partagé avec elle mais tout nos projets étaient parti en cendre … Je n’ai pas cessé de pleurer jusqu’au lendemain du massacre. L'homme qui m'avait sauvé la vie était venu me voir tôt au petit matin et nous avons parlé pendant des heures sur le fait de qui ils étaient et quel en était leur mission. A la fin de cette discussion, le spectre m’a demandé si je voulais rejoindre leur cause car il avait décelé en moi un pouvoir qui était en moi. Il me disait qu’il appelé ça, la cosmos-énergie. Cela voulait dire que je devais quitter ma famille pour partir au fin fond de la Grèce. J'ai refusé l’offre que ce guerrier me proposa car je voulais rester au près d’Olivia pour fleurir sa tombe chaque jour.




Ma dévotion pour Poséidon


Quelques jours après le massacre et le malheur qui me rongeait, j'avais décidé de rejoindre la femme que j’avais aimée en me donnant la mort, je ne pouvais plus vivre sans elle. J’étais complètement perdu, elle était la seule personne qui pouvait me résonner, me donner le sourire. Plus jamais je ne pourrais être heureux … J’ai donc sauté de la falaise qui donné sur la mer car je ne pouvais plus vivre sans Olivia. J'ai fermé les yeux et je me suis laissé tomber dans les abysses pour la rejoindre. Mais quelque chose de soudain s’était passé, un tourbillon s'était formé autour de moi et m'avais aspiré au plus profond des abysses qui avait durée quelques secondes. J'avais été transporté dans un autre monde où des statuts à l'honneur du dieu des mers. A peine arrivé, je fus arrêté par la garde est conduit devant un homme qu'ils appelaient Oracle. Nous avons discuté de toutes mes mésaventures, et ce que mon frère et moi même avions ressentit pendant ce massacre. Cet Oracle me raconta la même chose que ce spectre, que Tenaka et moi étions uniques et différents des autres hommes. Il me demanda alors si je voulais rejoindre le monde sous-marin en tant que marina avec mon frère. Il m'avait même expliqué que certains talents comme l'art pouvaient être une force en combat. C'est alors que j'ai décidé de rejoindre Poséidon et que mon frère me fut amené pour pouvoir un œil sur lui et le protéger.

Quelques jours après, l'Oracle m'a demandé de le suivre afin qu'il me présente à un maître.

- Ton maitre s'appelle Konstantinos. C'était un très grand guerrier, il avait une réputation connu de toute la Grèce et personne ne l'a encore battu en combat singulier.

Chaque jour, j'allais à ces entrainements pour apprendre d'avantage et pour devenir plus fort de jour en jour afin de devenir le meilleur guerrier que l'on ait connu. Konstantinos ne s'arrêter jamais d' hurler sur ces élèves les moins attentifs ou qui ne réussissent pas l'exercice! Après l'entrainement, mon maître m'a annoncé que j'étais le meilleur de ses apprentis et il me dit:

- Reknag, voudrais tu participer au tournois des apprentis marinas pour gagner ce titre ?
-J'aimerais bien, maître.
-C'est pour cela que je t'ai retenu à la fin de mon entrainement. Veux-tu devenir marina, te sens-tu prêt ?
-Je veux devenir un marina et servir Poséidon comme tout le monde ici, je penses être prêt pour ce tournois.
-C'est tout ce que je voulais savoir mon garçon. Je vais aller t'inscrire au près des Oracles Pélias et Argos. Il nous reste une semaine pour t'entrainer durement avant le tournoi. Tu peux t'entrainer seul ou venir à la fin de mes cours pour que l'on travaille ensemble.
-Je viendrais vous voir après vos cours maître, je vous remercie!

Fier de cette nouvelle, je suis rentré dans ma chambre que je partager avec mon ami Marcus, il avait déjà combattu sous d'autres dieux avant de se joindre à Poséidon. Je lui raconté ma bonne nouvelle quand lui me dit qu'il y participait aussi. Il me dit bonne chance dans ce tournoi car seuls les finalistes ont le droit de devenir marina, mais seul le vainqueur a le droit de recevoir l'Écaille de gardien des océans.

Comme mon maître me le dit, je me suis entrainé chaque soir sans exception avec Konstantinos, mais en mangeant chaque fois la poussière, sa le faisait bien rire.

Le grand jour était arrivé. Je faisais parti avec mon ami des seize participants à ce tournoi. Mon premier combat était contre un apprenti d'une taille phénoménale, il était deux fois plus fort que moi mais cela ne me faisait pas peur car dans cette Grèce, j'aurais à combattre contre de nombreux dangers. Dès que le combat avait commencé, le géant se lança sur moi et m'étrangla. Je savais que mon cœur était plus pur ce lui, et donc par mon courage immense je pu me libérer en lui brisant le bras gauche avec un coup de poing puissant. Le vrai combat pouvait enfin commencé! Il était en rage de colère. Il me fonça dessus la tête la première, alors que j'esquivais son coup, il s'ouvrit la tête en fonçant dans le mur de l'arène. Puisqu'il était sonné, j'en avais profité pour le frapper et le mettre à terre, à la fin du combat, le géant avait le crâne en sang, son bras gauche brisé et suffoquait à cause des douleurs. Pélias me déclara vainqueur. J'ai vaincu tout mes adversaires comme Marcus.
Nous nous retrouvâmes en final. Le combat était rude car nous n’avions eu aucune pause. Mais à la fin, Marcus était à bout de souffle et tomba par terre. Les Oracles avaient arrêté le combat en me déclarant vainqueur sans que je n’ais vaincu Marcus. Marcus et moi sommes devenus marinas et en plus de ce titre, j'avais reçu l'Écaille de gardien des océans. J'ai réussi à obtenir facilement ce titre et cette écaille de gardiens contrairement à mon frère qui à du le retenter un an plus tard.

C'est alors que mon aventure commença réellement au sein de la vie du sanctuaire sous-marin. J'ai participé à de nombreuses quêtes et de nombreux combat quant un jour, ou je rentrais de campagne, Rigelkrieg, l'Amiral de la formation et chef de la légion Myisis m'avais fait demander. Je me suis rendu alors dans sa tente pour savoir ce qu'il me voulait. Rigelkrieg voulait que j’intègre la légion qu'il commandait car il avait eu vent des batailles que j'avais effectué dans toute la Grèce et qu'il voulait que j'aille défendre les terres conquises de Poséidon au Cap Tenare avec son unité d'élite de marinas. Je ne pouvais refuser un tel honneur. J'ai donc accepté de combattre nos ennemis dans la Légion Myisis aux coté de marinas valeureux.

Quelques jours passèrent que je fus intégré dans la légion Myisis. J'y ai passé quelques semaines avec mes camarades à défendre le passage qui menait au temple quand une nouvelle nous arriva. Une guerre allait éclater au Cap Tenare et nous serions les premiers à subir les premières vagues.
Quand les combats entrent les deux légions et les envahisseurs étaient finis, Croc et Rigelkrieg décidèrent d'en informer les oracles par hermès afin d'avoir des renforts car les envahisseurs n'en avaient pas fini.

Pendant que les troupes des Abysses slayers posèrent le camp près du temple où l'on tenait la presque île de Tenare. Quelque jours passèrent quand une armée de marinas se dirigeait vers nous pour nous soutenir dans notre combat contre les autres clans. Dans cette armée, se trouvait de nombreux apprentis et marinas expérimentés. Mais dans ceux ci, figurait Héléades et Marcus.
Quand tous les marinas étaient répartis dans les différentes lignes de combats, les chefs de légions prirent la parole pour nous dire:

-Marinas, aujourd'hui est le temps de défendre ce territoire conquis par nos pères, amis, frères qui ont perdu la vie pour pourvoir étendre le pouvoir de Poséidon! Alors que tous le monde soit dignes de défendre ces terres, même si vous devez donner votre vie. Pour Poséidon, dieu tout puissant des océans!
-Pour Poséidon, dieu tout puissant des océans!!!!!!!!

C’est comme cela que des milliers de marinas répondaient à leurs chefs avant l'affrontement qui allait se dérouler dans les secondes qui suivent.

Plusieurs clans s'étaient alliées pour pouvoir conquérir cette presque île qui regorge de ressources pour confectionner les écailles des marinas. J'étais dans le deuxième rang avec mon ami Marcus, contrairement à mon maître qui se trouvait en première ligne.
Pendant plusieurs jours le combat était rude, les marinas étaient blésé ou morts par centaines. Nous étions rentrés à l'intérieur de la presque île quand un miracle se montra! Une vague de plusieurs dizaines de mètre de hauteur engloutissait tout sur son passage, mais seul les marinas pouvaient rester en vies grâce à leurs don. Ce don était en nous depuis la naissance, c'est tout ce que je sais. Nous pouvons savoir le savoir, juste en se rendant vers le large et en plongeant vers les abysses. Si l'on survie, nous sommes dirigé vers le royaume de Poséidon. C'est comme cela que nos ennemis furent vaincus. Puis de nombreuses marinas blésées devaient rentrer au Cap Sounion pour se faire soigner, contrairement à ceux qui avaient été épargnés des blessures, et qui devaient rester pour défendre cette terre comme Marcus.

A mon retour, je me soigné doucement et j'allais voir m'a famille. Mais ma convalescence fut troublée par un hermès.

L'hermès que j'ai reçu m'indiquait:

Reknag,
Le Cap Sounion est attaqué par les atlantes envoyés par typhon.
Nous avons besoin de toutes les marinas possibles pour repousser l’attaque du sanctuaire.
Les oracles.


C'est alors que je pris mon écaille et quelques affaires avant de partir et d'arriver le plus vite possible au sanctuaire.

Après mon retour au sanctuaire sous-marin pour prendre contact avec les oracles et amiraux qui défendaient le sanctuaire du Cap Sounion. J'endossais mon écaille de gardiens des océans pour affronter ses intrus qui ne voulaient pas quitter ce domaine sacré protégé par le dieu Poséidon lui même. Le chef de ses bandits que certains surnommé Atlantes, demanda à ce qu'on lui offre comme sacrifice, Gihem. Curieux de savoir qui était cet homme, je m'adressais à un oracle près du temple:

- Bonjour, vénérable oracle, puis je vous poser une question?
- Certainement brave marina.
- J'aimerais savoir qui est l'homme que ces montres sont venus chercher ici? Un certains Gihem?
- Jeune guerrier, cet homme est brave et courageux, un des plus puissants marina qui serait digne d'obtenir une écaille telle que Le dragon des mers! Jusqu'à présent, seul Oracles et Amiraux étaient au courant de sont existence. Mais depuis que celui-ci est pourchassé, je dois envoyer des hommes l'escorter jusqu'au sanctuaire où il se reposera avant la bataille finale.
- Suis-je assez digne pour effectuer cette mission, pour aider mes frères d'armes ?
- Certainement jeune marina, rend toi le plus rapidement possible au lithocho.

C'est alors que je me pressais d'aller dans ce lieu pour protéger ce fier combattant de Poséidon. Cela fait déjà plusieurs jours que nous escortions Gihem, mais un danger le menace, j'ai remarqué la présence d'un chevalier d'Athéna qui nous suivait depuis plus de deux jours déjà. C'est alors que je me sacrifiai dans un combat perdu d'avance pour protéger notre hôte. Le combat fut rude et violent par des coups de ce géant. La fin du combat était proche, je le sentais, j'étais a bout de force, je voulais arrêter de me battre et mourir, mais une force me traversa le corps, cette cosmos-énergie était puissante et une lumière dorée m'aveugla. Le chevalier surpris de cette puissance s'empressa de me donner le coup fatidique de ma mort mais juste quelques millièmes de la vitesse de la lumière, quelques choses me protégèrent. Le chevalier fut blessé au niveau de son poignet, il était brisé par quelques choses qui venaient de mon dos. C'était une femme, j'avais entendu dans le sanctuaire, d'une femme faisait partie des marinas, sa force surpassé la plupart des autres combattant du sanctuaire, cette femme avait toujours attaché a sa ceinture un fouet qui touché sa cible, même les yeux fermé. Enfin je me rappelais, cette femme portant l'écaille de Galathée.

Son nom était Selky, marinette de la Galathée, aussi connu sous le nom de la «diablesse de la cage aux marinas» car la moindre désertion de la défense était punis par un tour a la cage aux marinas, et celui qui y allé était fouetté sauvagement pour montrer l'exemple.

Pour la première fois de ma vie j’allais voir un de ses combats. Ce géant se jeta vers elle mais elle esquiva le coup et attaqua d'un coup de fouet violent qui brisa ses protèges poignets et la protection du torse. Le chevalier pris de peur voulait fuir mais celle-ci, sanguinaire avec ses adversaires, l'attrapa avec son fouet avant de lui porter «la vengeance de Galatée» qui terrassa son adversaire. C'est alors qu'elle s’approcha de moi et me dit:

- Alors, on ne tiens plus sur ses jambes jeune marina ?
- C'est que je me suis sacrifié pour sauver Gihem, madame.
- Ne m’appelle pas madame, mais Selky, un petit tour a la cage et tu serais plus résistant!
- Non, pitié, ne m'emmener pas à la cage, je ferais ce que vous voulez!
- Tout ce que je veux, hein? D’accord, dès que nous seront rentré au sanctuaire, tu n'auras qu'as m'offrir une bière dans la meilleur taverne!
- Et cela va me coûter combien de tridos, grande Selky ?
- Cela tu t'en fiche, je t'ai sauvé la vie, çà mérite bien çà ou la cage aux marinas, à toi de choisir jeune guerrier ?

C'est alors que j’allais boire une bière dans l'une des meilleures tavernes du sanctuaire avec Selky. Mais après quelques jours, Je me remémorais ma rencontre avec cette belle guerrière, j’étais secrètement tombé amoureux. Mais je me dis qu'une femme comme elle ne sortirait pas avec un jeune marina comme moi, faible et qui a toujours besoin d'aide, elle préférerait un homme courageux et fort et dont Poséidon aurait récompensé sa conduite. C'est alors que j’allais regarder cette femme le plus souvent possible pendant ses pauses à la cage aux marinas, en la regardant discrètement part des petit trous dans le mur d'un petit passage où se trouvait des prostitués. Et un jour, je décidais d'aller dans cette cage, en disant à celle-ci qu'il avait déserté la défense. Et les coups de fouets commença, je souffrais, mon dos était devenu rouge sang, puis elle prit un autre fouet mais celui-ci avait des épines au bout du fouet, je saignais et souffrais mais je ne le montrais pas, je voulais lui prouver que je pouvais résister à la douleur et lui dit:

- C'est tout ce que tu peux faire dans celle cage? Même un enfant n'aurait pas mal!
- A bon ? Alors je vais sévir!

Cette femme avait une force extrêmement violente, quand elle me fouetta après ces coutes paroles, je me retrouvais un genou à terre en grimaçant. Quand cette fausse punition fut fini, j'étais presque mort, je rampé dans une ruelle. C'est un de mes amis qui me trouva là, par terre inconscient. Il m'avait ramené chez moi et m'avez soigné de mes blessures. En me réveillant, je reconnu Héléades, je voulu me levé mais je retombé de suite dans mon lit atteint de mes blessures, il me dit:

-Tu m'as fait peut l'ami, qu'est ce qui t'es arrivé ?
-Je n'en sais rien, j'ai du être attaqué après avoir était empoisonné par un somnifère. ( tout en mentant à son ami le plus -fidèle pour lui cachait son amour. )

Après m'être remis sur pied, je repartis au fin fond de la Grèce pour défendre les intérêts de Poséidon. Mais après quelques années de dévotion pour mon dieu et une monté en grade progressive, j'ai eu l'honneur d'être nommé Amiral de la défense des terres du Cap Sounion, en plus de revêtir l'écaille du cobra des mers.

En parallèle, Tenaka avait réussit à obtenir son titre de marina et il a préféré devenir défenseur des terres du Cap Sounion pour le dieu des sept océans durant tout le temps où j'étais parti effectué de nombreuses quête pour le dieu des mers. Il espère un jour devenir lui aussi un général des forces de Poséidon comme je l'ai été.




Mon blasphème contre Poséidon :


Mais au fil des années, je ne m'étais pas fait que des amis sur ces terres et des personnes enviés le pouvoir que j'avais sur les valeureux guerriers que je commandais sur les lignes de défense. Et parmi ces ennemis, une des trois grands oracles ne pouvait pas consentir à ce qu'un homme comme moi, un petit forgeron puisse être Amiral et porter une écaille sacré de sa majesté.

C'est alors qu'il eu une idée brillante pour salir mon honneur. L'Oracle avait fait appel à des mercenaires pour faire diversion prêt de la défense afin qu'un d'entre eux puisse entrer et semer le chaos dans la Cap Sounion. Son plan diabolique avait réussit et il accusa à tort que c'était à cause de la faiblesse de Tenaka, que l'intrusion avait pu avoir lieu. Mais ce ne fut pas le seul chef d’accusation qui avait été retenu. Cet Oracle accusa aussi de comploter contre les généraux et les Oracles de Poséidon pour le compte des spectres d’Hadès qui, plusieurs années auparavant, avaient sauvé la vie de sa famille pendant un raid de bandits.

Les Oracles se concertèrent pour décider du sort de Tenaka. Mais en attendant, Tenaka avait été mis au fer. Les jours se suivirent quant au bout d’un mois, les Oracles avaient étés convaincus de la culpabilité de mon frère. La condamnation fut s'en appel malgré tout ce que j'avais fait pour le défendre, les oracles ont décidés de l’ostracisé du Cap Sounion et de lui retirer son titre de marina. J’ai donc menacé les oracles :
- Si vous bannissez mon frère pour des actes qu’il n’a pas commis, vous devrez alors me bannir aussi !
Les envoyés de Poséidon me répondirent que ce n’était pas digne d’un Amiral de répondre de la sorte à des hommes qui prêchent la parole du dieu des mers. Ils ont donc décidés de me bannir également. Après cette décision, nous avons quittés le Cap Sounion. J’ai donc été banni comme mon frère mais il y avait de plus de cela un contrat sur ma tête car j’avais volé l'écaille du cobra des mers. Ce qui a fait de moi un traitre.

Après avoir quitté ce monde sous-marin au bout de cinq années de bons et loyaux services, nous nous sommes dirigés vers le Cap Tenare. Sur le chemin, une escouade de soldats au service du dieu Hadès nous avait repérés. Ils arrivèrent vers nous et constatèrent que nous appartenions au clan Poséidon. C’est alors qu’ils dressèrent leurs lances vers nous. C’est alors que je posais l’urne ou reposé mon écaille pour faire brûler mon cosmo et me battre mais mon frère m’arrêta. Il m’avait dit que se serait plus sage de les suivre afin de discuter avec un de leurs oracles. Nous nous sommes donc rendus. Tenaka et moi avons suivis ces hommes et nous nous sommes retrouvés à être enfermé dans les geôles sans le droit avoir pu parler et raconter notre histoire à un représentant du dieu Hadès …