[Validé] BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Présentation du Seigneur des Enfers et de ses Spectres.

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Alia
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[Validé] BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Messagepar Alia » jeu. janv. 07, 2016 5:33 pm

Chapitre 1 : Les origines

Usoro naît à Thrace dans une famille de marchant qui faisaient de l'import et export par voie navigable dans un portuaire appelé Sillivri situé aux côtes de la mer noire. Le temps était relativement bon profitant d'un bon air marin où Les habitants s'exposaient sous une chaleur moyennant les trente degrés accompagné de la douceur d'un été sans fin. Sillivri était une cité profitant d'un port commercial entièrement équipé pour les arrivées marchande. Cette cité et très connue et aimé de ses consommateurs, car c'était le seul endroit où l'on pouvait trouver du poisson sous n'importe quelle recette. Le port de Sillivri n'était accessible que durant le levé du soleil. En effet deux portes massives en métal lourd bloquaient l'accès au port une fois la nuit tombée. Les tenues vestimentaires n'étaient pas très chic dans cette région, mais il valait mieux se sentir à l'aise en étant habillé d'une simple serviette autours de la taille avec des sandales haute sous ce soleil de plomb. La cité était le carrefour marchand en voie navigable la plus utilisé pour le commerce. Usoro avait pu voyager de très nombreuse fois dans la passé dû au métier de ses parents qui naviguaient sans cesse. Ce qui lui avait permis de découvrir le monde et les différentes origines des tribus qu'il rencontrait. La première traversée d'Usoro se fait à l'âge de ses deux ans accompagné de ses parents qui devaient naviguer jusqu'en Sicile. Là où Il avait vu pour la première fois de sa vie des hommes vêtus de cuirasse clouté. La Sicile était entouré par la mer Méditerranée et dans ses terres se trouvaient des denrées rares pour les gens de Sillivri comme des cailles et d'autres volatiles pouvant transporter un message à la capitale, mais pas seulement, nous pouvions y trouvé, du blé, de la farine et toute les commodités qu'on pouvait aussi trouver à Sillivri. Alors qu'Usoro avait atteint l'âge des quatre ans, il vit des hommes en armure d'écaille dans le centre de la cité. Ils semblaient être là en qualité d'observateur, mais Usoro pu sentir malgré son jeune âge, l'aura des ces trois combattants qui n'avaient pas l'air néfaste au premier ressenti.

Nysrad était une cité non loin du port de Sillivri qui était riche en minéraux et en pierre précieuses qui pouvaient être utilisé par les plus grands couturiers pour fabriquer de longue robe, des toges en soie et des tapis. La cité était entourée par une vaste prairie et une brise d'air matinal caressait le visage d'Usoro lorsqu'il jouait avec les autres enfants de cette ville durant le temps où ses parents faisaient des affaires. Un soir de pleine lune alors qu'Usoro était assis sur le bord de la falaise, il vit sur la plage, une jeune fille qu'il ne connaissait pas vraiment, mais qui lui semblait être la bibliothécaire de la cité avant de la voir disparaître aussitôt emporté par une lumière étrange. Apeuré par ce qu'il venait de voir, il courut jusqu'à ses parents pour leur raconter sa vision : Père, j'ai vu une une femme disparaître sur la plage. Le père d'Usoro n'avait pas beaucoup de temps pour l’éducation de son enfant, ce qui l’amenait souvent à ne pas comprendre ce que son fils lui disait. Il répliqua aussitôt et dit : Mais qu'est ce que tu me racontes là comme connerie fils ? Personne ne disparaît comme ça soudainement. *Complètement taré ce gamin.* Lorsque Usoro ait atteint l'âge de cinq ans, il revit des hommes en armure d'écailles sortir de l'eau en nombre. Ils semblaient préparer quelques choses. Il ressenti la même aura qu'a l'époque, non néfaste, ils étaient juste là en qualité d'observateur, mais leur nombre laissait quand même le doute sur l'intention des ses hommes.

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Chapitre 2 : Un affrontement divin

Il semblait en réalité que Sillivri n'était pas une cité bien vu des dieux. Cette cité accumulait sa richesse due au profit et aux arnaques, ce qui ne faisait pas plaisir à tout le monde et certainement pas au dieu qui possédait les mers ne pouvant pas interférer dans la vie humaine. Pour ne pas le faire lui même, il envoya donc ses Marinas afin de détruire cette ville, mais elle fût courageusement protégé par des anges tombé du ciel ! Des combats comme Uso n'en avaient encore jamais vu, se déroulaient à quelques mètres de ses yeux, les gens couraient dans tous les sens, d'autres profitaient de la panique général pour voler tout ce qui leur passaient sous la main pendant que le combat faisaient rage au cœur même de la cité ! Des hommes attrapaient les femmes pour les violer et enfermaient les plus chanceux dans une charrette qui servait à l'époque de transport pour voyager les prisonniers d'une cité à une autre. Ils hurlaient sur les gens qu'ils avaient recueilli comme si ceux-ci n'étaient que de vulgaire bêtes. L'esclavagiste dit alors à son ami :

Tiens Roger, attrape ce petit gringalet qui est en train de courir dans notre direction.

Une femme se trouvant aux genoux du marchant cria :

S'IL VOUS PLAIT... PITIÉ... JE VOUS EN CONJURE... LAISSE MOI M'EN ALLER !...

Eh Toi la femme, tu l'as boucle avant que mon poignard aille doucement se glisser en travers de ta gorge.

En étant témoins de ce triste spectacle, Usoro répondit aussi tôt :

Même un âne à plus de respect ! Vous êtes un porc et vous me dégouttez. Vous ne méritez même pas la vie qui vous est offerte !

Stupéfait, le marchand d'esclave répliqua :

Qu'as-tu dis gamin ? Pour ce que tu viens de dire, tu vas finir au trou jusqu'à Mycènne et réfléchi bien à qui tu t'adresses la prochaine fois !

Usoro fut attrapé lui aussi par les esclavagistes et emmené loin de la cité avant que la ville soit détruite entièrement ! Les habitants pouvaient voir des hommes en armure bleu ciel défendre la cité sans relâche contre d'autres hommes en armure de couleur jaunâtre écaillé afin de pousser leur retranchement dans les fonds marin. En effet, les autres habitants ne savaient pas trop où aller dans toute cette brume apparue soudainement au début du combat, suivi de ras de marée détruisant tout sur son passage. Pour eux, la ville connaissait la destruction par la cause d'un désastre naturel. Il valait peut-être mieux consulter la météo la veille afin de quitter la cité pendant qu'il était encore temps.

Usoro fut revendu comme esclave à un Mycéniens qui prit grand soin de lui et lui appris à se débrouiller seul. Le dominus était très courtois et avait un très grand soin de la personne humaine. Quand il vit Usoro enchaîné comme une bête à moitié nu sur la grand place du marché, c'était comme si un poignard venait de lui transpercer le cœur. En voyant le visage et la jeunesse du garçon, il n'a pas réfléchi à la dépense et l'acheta généreusement pour une somme de trois drachmes. Grâce à lui, Usoro à pu se concentrer sur l'histoire, l'ethnie des différentes tribus et peuple avoisinant, ce qui lui permis de grandir aussi bien mentalement que physiquement, le jeune garçon était devenu un homme qui pouvait s'occuper de son maître jusqu'à sa mort avant que celui-ci lui rende la liberté à Usoro en exprimant son dernier soupir.

Alors qu'Usoro n'avait encore que 17 ans, il prit en charge l’enterrement de son maître du nom de Marco Paolo Siclos et s'occupa de toute les formalités requise avant de prendre congé de cette grande cité en emportant avec lui, une armure, deux haches, une dague et une arbalète à poing avec en prime, le goût de la liberté. Usoro ne regrettait pas d'avoir été acheté comme un vulgaire esclave, car il avait un maître bon et juste, qui a été plus présent pour lui que son propre père défunt dans un ras de marée. Usoro le considérait comme étant son père légitime et pris la décision de ce faire appelé par le même nom que son maître, soit : Usoro Paolo Siclos.



Chapitre 3 : Pèlerinage

Deux ans après la mort de Marco-Paolo, Usoro prit la décision de retourner dans sa cité natale afin de découvrir des traces d'un passé oublié. Usoro ne se souvenait pas trop bien de ses parents, il voyait encore les traits du visage de sa mère doucement dessiné reflétant l'éclat de sa beauté ainsi que sa gentillesse, mais il en était tout autrement pour son père qui était beaucoup moins présent et qui fallait le dire, ne s'occupait pas du tout de son fils. Lorsqu'il arriva au seuil de la cité, il découvrit une cité détruite par la violence divine qui s'était abattue sur elle.  Usoro parcouru les ruelles, entra dans certain bâtiment, mais rien. Il n'y avait plus rien de vivant dans cette cité, même le port lui même qui était fort gardé à l'époque ressemblait à un cimetière de naufragé. Alors qu'il commençait à prendre la route pour regagner Athènes, deux hommes vêtus d'amure jaunâtre et écaillé lui bloquaient le passage. Ils regardèrent tout deux le jeune aventurier curieusement tel un tableau dans un musée et dirent :

Je ne ressens pas de cosmos en toi, mais comment se fait-il que tu sois ici ? Es-tu un ennemi ou un ami ? Tu t'es peut-être perdu, mais nous allons t'aider à trouver ton chemin à travers la mort !

Usoro était choqué de la réaction de ses deux hommes qui paraissaient pourtant amical, mais le jeune homme prit ses haches en main et dit : Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous me voulez, mais croyez moi sur parole, je vais défendre l'honneur de cette cité !

Parce que tu crois vraiment venir à bout de deux chevaliers aguerris équipé d'une armure et d'un pouvoir que tu soupçonnes même l'existence. Il n'y a plus d'honneur dans cette cité !

Avec de la volonté, je peux vous vaincre.

Le combat entres les trois hommes se fît sans relâche, alors qu'Usoro n'était qu'un simple mortel, il arriva tout de même à éviter certain coup et d'en donner. Bien qu'il reçu un coup qui lui a été fatal, le mettant hors service. Les deux combattants reprirent leur chemin en laissant un corps sans vie derrière eux. Enfin, c'est ce qu'il pensait jusqu'à ce que le jeune homme se relève avec une aura qui enveloppait son corps, lui donnant une volonté hors pair et vint à bout de ses deux adversaires en explosant son énergie due à la colère qu'il avait engendré à cause des actes passé. Usoro ne pouvait pas accepter qu'on se moque de la cité ainsi que de lui sans rien faire.  

Attendez, ce n'est pas fini, je suis toujours debout !

C'est après ces paroles qu'une explosion se fit ressentir suivit d'une lumière aveuglante qui a pu venir à bout des deux hommes, avant qu'Usoro perdu connaissance. Il était resté allongé à même le sol deux jours durant où un petit groupe de voyageur qui passait dans le coin vit le jeune homme inerte sous un soleil de plomb. Usoro avait été ramené dans une charrette à bras, jusqu'au village voisin se situant prêt d'une baie caché par une grande falaise. C'est seulement au bout du troisième jour, qu'Usoro ouvrit les yeux et toucha son corps pour voir s'il était encore bien vivant. Il se leva de la couchette et arriva dans la salle de vie où il vit les personnes qui l'ont recueilli. Uso remercia ces bonnes personnes et demanda : Lorsque vous m'avez ramassé, avez-vous vu quelque chose d'étrange, qui sortait de l'ordinaire ?  

Non mon cher ami, vous étiez seul, mais tenez prenez ceci, je crois que c'est armes vous appartient. Pourriez-vous me dire ce que vous faisiez dans une cité bannie par Poséidon lui-même ?

Rien d'important, je ne faisais que passer par là pour voir où je pouvais aller poser ma ligne pour pêcher. Pourquoi dites-vous que cette cité est maudite ? Qu'est ce que Poséidon à avoir avec ce désastre !

Ah mon jeune ami, nous pouvons remarquer que vous ne venez pas d'ici. Sillivri rassemblaient à l'époque de nombreux adeptes qui priait le dieu Poséidon pour pouvoir traverser la mer sans embûche. Il est encore commun à l'heure actuelle que les marins prient pour lui.

Sur ces paroles, Usoro remercia ces gens de l'avoir secouru et pris des vivres qui lui avait été offert par Julius, le père de famille pour que le jeune héros puissent tenir quelques jours sans manquer de rien. Une fois arrivée en Grèce, des spectres lui apparu durant un songe l'invitant dans un temple. Suite à ce rêve qui paraissait pourtant bien réel, Usoro prit la décision de continuer ses recherches sur la tragédie qui s'est produit lors de sa jeunesse et s'en alla à la bibliothèque pour rechercher la signification d'un emblème qu'il a pu apercevoir durant la nuit. Après quelques jours de recherches et de nombreux livres ouvert, le jeune homme avait enfin trouvé une liaison entres l'attaque qu'il a subit et les spectres qui lui étaient apparu. Sachant que la menace venait des dieux eux-mêmes, il partit de la ville pour s'isoler dans un temple en ruine se situant à une journée de marche.



Chapitre 4 : Une rencontre inattendue

Quelques mois plus tard, Usoro avait acquis une certaine sagesse, le temple dans lequel il se trouvait était détruit, mais l'aura d'Hadès lui donnait courage et réchauffait son cœur, comme si c'était le bien incarné. L'aura d'Hadès se fit ressentir à travers les blocs de pierre et colonnes qui soutenaient encore une bonne partie du toit. Il s'instruisit au niveau d'Hadès, son emblème et sa nature pour en savoir plus sur lui. Usoro était convaincu que le dieu de la mort n'était que le mal, mais l'aura qu'il ressentait n'avait rien de signifiant à ça ! Il avait compris qu'il avait un rôle à jouer dans ce monde qui lui permettrait de se venger des Marinas. Un soir de pleine lune, un socle en pierre s'est soudainement mis à brillé d'une couleur d'orée, Usoro souleva le socle et l'autel s'était basculé sur la droite laissant place à un escalier souterrain qui s’en chemina dans l'obscurité. Après avoir descendu les nombreuses marches qu'il y avait, il pu voir des multiples squelettes, avant d'arriver près d'une chute d'eau se versant sur la Statue d'Hadès lui-même accompagné d'un corbeau. Il y avait des écritures partout, des représentations, des parchemins, des récits, Usoro prit une pause à cet endroit durant quelques heures avant de comprendre le songe qu'il avait fait quelques mois auparavant. Ils existent ! Soudainement, des craquements ce fut entendre comme un petit écho dans la grotte et il vit la statue d'un corbeau se mouvoir et craquer laissant apparaître un Piaf à bon plumage. Il claqua du bec et dit : Salutation, Je viens à toi par la volonté de Rune pour te fournir un message. Usoro était stupéfait de ce qu'il venait de voir, il ne savait plus s'il devait s'enfuir ou répondre bonjour... Usoro avait l'impression d'halluciner. *Ce n'est pas possible, je vois des soldats que personne ne voit, les anges m’apparaissent dans un rêve et un corbeau me parle. D'accord, je suis fou. Je m'en vais.*

Le corbeau n'eut guère le temps de répondre au garçon que déjà celui-ci s'enfuyait d'un seul coup, sans raison apparente… Le brave volatile cligna des yeux devant si peu de déférence en la présence d'un être divin ! Il s'ébouriffa le plumage quand il se retrouva seul et eut une expression qui aurait pu être celle d'un humain fronçant les sourcils, à la sauce corbeau… Sans un son, il déplia ses grandes ailes de geai et s'envola, avant de frapper le rayon de lumière qui exposait la statue, il disparu en un éclair argenté… quoi que fut la raison du garçon, le corbeau s'en sentait légèrement courroucé. Il n'avait pas l'habitude d'être dévisagé puis délaissé ! Il suivit le cosmos du petit malotru et le retrouva chez une brave vieille dame à l'interroger ! Quel culot quand même ! Il était la pensée d'Hadès quand même, pas un quelconque piaf du coin ! Il se posa sur le rebord de la fenêtre, observant ce qui se passait autour du potage avec la vieille dame qui compatit à la folie de son hôte … Sans laisser le temps à la vieille femme de répondre, il traversa la fenêtre comme si elle n'avait jamais été là et se mit à miroiter d'une importante lueur argenté, inondant la pièce de son cosmos apaisant et magnifique… La grand-mère ouvrit les yeux en grand avant de se mettre à genoux en récitant des prières en langue oublié, le garçon ne pouvait guère comprendre actuellement ! Le corbeau sembla marcher dans les airs un instant avant de toussoter pour attirer l'attention du gamin…

Hum… je ne suis pas un être surnaturel… garçon, je suis un être d'essence divine, un être né du cosmos d'un spectre dans le but de trouver les êtres uniques comme toi… Alors par pitié laisse donc cette brave Frida à ses affaires et essaye de te concentrer un peu…  D'un battement d'aile et d'un nouvel éclat de lumière, il verrouilla la porte de la chaumière, ne voulant pas que le garçon prenne la poudre d'escampette une fois de plus !

Bon, j'espère que j'ai ton attention car je n'aime pas trop perdre le temps de Rune et … il claqua un peu du bec pour récupérer l'attention du garçon qui regardait la femme en train de prier avec un air hagard… Garçon ? Tu m'écoutes ? Ah enfin… bon ! Je disais donc, tu t'es réveillé au Cosmos, c'est l'énergie qui coule en moi par la sagesse du dieu Hadès et tu es né avec ce don… il se gonfla un peu et d'un seul coup, le cosmos d'Usoro fut comme réveillé et forcé à se montrer en une aura de lueur rougeâtre comme l'explosion qu'il avait pu commettre, mais en pouvant le contrôler. Alors qu'Usoro irradiait à son tour, le corbeau qui ressemblait de plus en plus à une sorte de grand oiseau de lumière étincelante, une sorte de phénix ou on ne sait trop quoi mais sans les flammes, il s'avança lentement vers le jeune homme et ajouta : Pour répondre à ta question, je pense que tu devrais me suivre, avoir tes réponse et décider de la marche à suivre ensuite… Qu'en penses-tu ? Es-tu prêt à suivre le messager d'un dieu jusqu'aux terres divines pour y recevoir la vérité à propos de ta quête ?

Ma question, mais je ne vous ai pas poser de question ?!

Tu n'as pas besoin de m'en poser, tu n'es pas fou rassure toi ! Je suis un être d'essence divine, je peux lire dans tes pensées, Acceptes-tu de me suivre ?

Usoro accepta l'offre du corbeau avec beaucoup de curiosité et disparurent tout deux subitement en un éclat de lumière en direction des portes de l'enfer. Comme s'ils avaient été absorbés par le vent.

The End.
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Kleisos
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Re: BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Messagepar Kleisos » ven. janv. 08, 2016 11:34 am

Usoro, tu as demandé un accès au forum de clan avec un perso Ange (su lequel tu es désormais VALIDE), tu devrais plutôt faire un back ange non ?
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Alia
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Re: BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Messagepar Alia » ven. janv. 08, 2016 1:42 pm

oui mais si tu lis bien dans mon histoire il y a un combat entre les anges et les marinas dans mon village natal. Et en faisant des recherches j'ai trouver qu'Hadès était le frère de ses deux-là donc je me tourne vers hadès
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Nikiolas
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Re: BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Messagepar Nikiolas » ven. janv. 08, 2016 2:50 pm

Du coup si ton choix est définitif il faut demander officiellement aux Oracles de Zeus de t'enlever les accès sur leur forum :wink:
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Theodoklès
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Re: BG Usoro (Un pouvoir oublié)

Messagepar Theodoklès » ven. janv. 08, 2016 6:44 pm

Soveliss : ici c'est un endroit exclusivement reservé aux Oracles et admin. Tu ne dois pas poster ici.
Je retire donc ton post. :wink:
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