
Tout d'abord je voulais te remercier d'avoir choisi les anges de Zeus !
J'espère, et j'en suis sûr, que tu ne le regretteras pas.
Mais avant d'être validée, nous devons un peu retravailler ensemble ton BG qui utilise bien ta "vie" in-game.
Donc voic les corrections à faire:
Je suis née sur les quais du port d’Athène en un de ces magnifiques jours de l'an 1400 apres JC (je n'ai pas trouvé mieux pour 28 aout qui fait trop moderne). Mes parents venaient du nord de l’Europe et avaient embarqués (verbe avoir, pas de s)) pour retrouver ma tante prisonnière à Athène depuis 5 ans. Il parait qu’elle avait donné vie à un enfant en ces lieux. Son mari avait été tué dans notre royaume du nord par des Barbares et ma tante, alors enceinte, avait été vendue comme esclave à de riches Athéniens.
Au bout de 10 années, mon père la retrouva dans une prison d’Athène mais ne put la faire sortir. Des gardes du sanctuaire puissamment armés gardaient en effet les portes.
Malgré plusieurs tentatives, il ne réussi qu’à se faire capturer et enfermer à l’autre bout de la ville.
Une telle chose de la part d’un homme, qui plus est, un étranger, et c’était la trépanation assurée (beurk!!) .
Ma mère et moi ne pouvions ni le voir, ni même l’approcher.
Nous apprîmes ensuite qu’il risquait la mort.
J’avais maintenant 11 ans, et j’allais perdre mon père dans les jours qui allaient suivre, un ordre de pendaison avait été donné.
Je pleurais toutes les larmes de mon être, et priais Odin pour qu’il le sauve.
- Maman mais pourquoi ?
- Hilda il faut que tu sois forte ma chérie, Odin nous aidera, dit-elle les larmes aux yeux.
- Mais pourquoi ne nous a-t-il pas déjà aidé ? Pourquoi ne fait-il rien ?
Trois jours après on entendit au petit matin des cris qui annonçaient une exécution groupée sur la place.
Nous nous précipitèrent alors, pour voir si mon père y était.
Il y avait 4 hommes attachés qui montaient les marches de l’échafaud. Je sautillais pour mieux voir, mais mon cinquième rebond fut fatal. J’avais vu le visage de mon pauvre père parmi les quatre condamnés.
Je m’écroulais au sol, vidée de mes forces, comme si la foudre m’était tombée dessus, complètement désemparée de la tragédie qui allait suivre.
Je me relevai tout de même pour voir une dernière fois mon père, mais on lui avait déjà mis une cagoule sur la tête ainsi que la corde autour de son coup. C’était tellement injuste de mourir en voulant sauver un être cher.
Un bourreau leur demanda leur dernières volontés, pris sa hache et s’apprêta à tranché la corde qui retenait le planché…
Lorsque soudain une lumière bleu clair illumina le ciel et vint se poser à côté du bourreau. C’était un garçon , ou plutôt un Ange.
Des Gardes du sanctuaires vinrent aussitôt attaquer cet individu, mais tout ce que l’on entendit fut le mot « Anhilation » suivit d’un tonnerre foudroyant.
Les gardes étaient au sol moitié mort.
L’ange dit :
- Je suis Sieg, Lieutenant des gardes de l’Olympe, et vous ne toucherez pas à cet homme.
Il prit mon père et disparut avec lui.
Toute la foule se dispersa de frayeur.
Ne comprenant rien à ce qui s’était passé nous somme rentrées chez nous.
- Maman où est parti cet Ange ?
A peine ma question terminée, l’Ange réapparut devant nous avec mon père dans les bras.
D’une voix douce il nous dit :
- Ne vous inquiétez pas il va bien. Par contre fuyez Athène et venez avec moi à Olympie.
Mon père lui dit alors :
- Tu es le fils de Walhalla ?
- Oui elle est ma mère et je la cherche depuis longtemps ici.
Mon père reprit :
- Je suis donc ton oncle.
- Oui je le sais. Nous sommes au courant de tout à Olympie. Partez maintenant, nous nous rejoindrons là bas, je suis recherché à Athène je vous expliquerais plus tard.
Nous fîmes route vers Olympie, lorsqu’à moitié du chemin, des chevaliers d’Athéna nous barrèrent la route. Ce n’était pas de simples gardes du sanctuaire.
- Vous êtes en état d’arrestation pour traîtrise et complot avec des Anges. Vous allez mourir ici et maintenant sans jugement.
Un des chevalierscria « météore » puis comme pour l’ange, un grondement de tonnerre en suivirent ses mots.
Mes yeux fermés, je sentais une immense chaleur. Je les ouvris et vis mes parents transpercés de part en part comme si des milliers de couteaux les avaient attaqués.
Dans mon malheur j’étais paralysée de stupeur. Les chevaliers me prirent par les cheveux et dirent :
- Toi tu as survécu mais tu vas servir de repas au minotaure.
Puis plus rien, le noir complet, je ne me souvins plus.
Je me suis réveillée au milieu d’un labyrinthe avec six autres jeunes gens de mon âge.
Enfin, plus que cinq car le sixième n’était plus entier….
- Ou sommes nous ? Leur demandais-je
- Sur l’île du minotaureeeee, répondit une jeune fille complètement tétanisée.
- Et pourquoi sommes-nous là ?
- Pour servir de repas aux monstre, dit un jeune garçon en larme.
Et soudain un énorme bruit se fit entendre.
Puis une gigantesque ombre apparut. La lumière du soleil fit apparaître le visage de taureau terrifiant et assoiffé de sang frais du minotaure.
Tous les enfants criaient. Le Minotaure en choisit un au hasard, puis parti avec un morceau de son corps. C’était effroyable tout ce sang qui gisait au sol. (Pire que Hostel?)
Deux heures plus tard, il revint… Il se dirigea vers moi et me saisit malgré mes cris d‘horreur, puis plus rien, a part cette petite lumière blanche au fond d‘un tunnel noir.
Un visage se dessinait dans cette lueur. J’avançais pas à pas, j’avais l’impression de vivre un rêve après le cauchemar.
C’était l’ange Sieg, mon cousin qui m’attendait.
- Mais Sieg que m’est-il arrivée ?
- Je suis arrivé trop tard pour protéger tes parents, mais j’ai su que les chevaliers t’emmenaient chez le minotaure. Maintenant que tu es ma seul famille, je ne tenais pas à te perdre.
- Et ta mère ?
- je vais la délivrer mais il faut encore que je m’entraîne.
- Pourquoi le Minotaure ne ma-t-il pas avalé ?
- Quand j’ai su que tu étais là bas, je suis aller voir Zéphyr, un oracle de Zeus pour qu’il te téléporte. Cela n’a pas été simple mais j’ai réussi à le convaincre.
Puis il ajouta :
- Par contre il m’a fait promettre de te recruter et de devenir un ange de Zeus comme moi.
- De toute façon je n’ai plus rien dans ce monde, et je peux me considérer comme morte, je dois ma vie à toi et à Zeus. Je servirais donc celui qui ma sauvé, et ensemble nous retrouverons ta mère, Sieg. Avec toi, elle est ma seule famille aussi maintenant…
Sinon, le reste convient.
