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Et vraiment je ne cherche à dominer personne, tout cela fait juste paarti des parades amoureuses et si tu m'a bien suivis, je le déplore...
je suis vraiemnt différent de ce monde je ne fais jamis de parade amoureuse j'apparais tel que je suis et ca marche plus ou moins bien mais je ne cherceh en aucun cas à me changer en male dominateur pour parader oui déplace le sujet la on va écrire des tonnes de pages lk...
Le pouvoir d'un sexe sur l'autre s'est fait avec l'histoire et a commencé il y a bien longtemps, alors même que nous étions encore tous poilus et qu'on marchait à quatre pattes. La direction des tribus s'est faite généralement (pour ne pas dire toujours) par la force, et la plupart du temps, ce sont les hommes qui avaient le dessus. Mais on le sait, il y a eu, et il y a encore, des tas d'endroits où les matriarches dominent les hommes. Tout s'est fait avec le temps, avec les aléas de l'histoire et la personnalité de chacun. Les femmes ont certainement été les plus brimées, pour des questions d'ordre social ou religieux, dès l'ère préhistorique. Les hommes utilisaient leur force et leur endurance pour chasser, les femmes usaient de leur minutie pour la cueillette et la couture et de leur empathie pour s'occuper des enfants. A partir de là, les rapports de force hommes-femmes se sont installés et n'ont toujours pas changé. Ce que nous connaissons actuellement n'est que la conséquence d'une sélection naturelle faite il y a plus de 10000 ans.
Qu'on veuille changer les choses est certainement très moral et prouve qu'on arrive enfin à se défaire des acquis et des stéréotypes, qui ne sont finalement que des freins à notre évolution. Le problème, c'est que le changement va prendre énormément de temps, et il ne s'est amorcé que très récemment (début du 20e siècle, je dirais). Les hommes vont devenir plus attentifs et compréhensifs aux besoin des femmes, les femmes vont se montrer plus énergiques afin de faire valoir leurs droits, mais tout cela ne sera que de la poudre aux yeux. Actuellement, nous nous efforçons simplement d'aller à l'encontre de notre nature et de changer ce qui existe depuis des milliers d'années. Le véritable changement ne verra le jour que dans plusieurs générations, où les comportements que nous connaissons aujourd'hui auront cessé d'exister. Ce que nous faisons maintenant nous servira peu à nous, mais permettra à notre descendance de vivre avec le bagage social que nous estimons être le plus juste et le plus égalitaire.
J'en vois déjà qui vont dire que nos comportements ne sont pas naturels, qu'on a toujours le choix, qu'on a le pouvoir de changer. Ceux-là ont déjà pris conscience de leur volonté et seront les piliers de l'évolution. Les autres, que je pense très nombreux, stagneront dans les clichés où l'homme est celui qui domine, qui boit sa bière tranquillement devant son match de foot pendant que sa femme fait le ménage, repasse le linge, élève les enfants, fait la cuisine, etc. La disparition de ces comportements est encore une utopie, et l'entente parfaite, l'harmonie idéale entre les hommes et les femmes (de manière globale, pas ponctuelle) n'est pas prête d'arriver, en tout cas dans les mondes dits "civilisés". Il suffit de voir les émissions de télé-réalité ou simplement le journal télévisé pour s'en rendre compte.
Plusieurs d'entre vous ont bien défini qu'il existait une différence entre les hommes et les femmes. Le nier serait une utopie. Cette différence n'est pas le propre de l'homme. C'est la nature qu'il la voulu ainsi (sexe, force physique ....). Cette différence est acceptée par la majorité des gens. Excepté quelques farfelus qui refusent l'évidence et qui au nom d'une lutte contre une prétendue ségrégation voudrait nous faire croire que nous sommes tous les mêmes.
Le problème réside dans les différences établies par l'homme lui même (au nom de la société dans laquelle il vit). Ces différences sont essentiellement de deux ordres. Coutumières (le cliché de la petite fille qui joue à la dinette et à qui on achéte des jouets qui la conditionne pour plus tard à faire le ménage).
Législatives avec des droits qui ne leur sont pas accordés.
En matière législative, les droits des femmes ont rattrapé leur retard au 20ème siécle. Le code civil ne parle plus de chef de famille en parlant du mari. Le droit de vote leur a été accordé, etc..... Il est indéniable qu'en théorie les droits sont aujourd'hui les mêmes ou sensiblement les mêmes.
Maintenant force est de constater que les habitudes sont tenaces et que des différences subsistent en pratique (salaire, ....). Ces différences sont totalement inadmissibles car elles ne sont fondées sur aucun élèment objectif. Je dirai même qu'elles sont dangereuses car elles poussent de plus en plus de gens à penser qu'il faut créer de la discrimination positive pour y remédier. Dès lors ce n'est plus la compétence qui prime mais des quotas à respecter.
Pour conclure, je raisonne en terme de compétence et non de sexe et cela s'applique bien sûr au monde du travail mais pas seulement. Il s'applique en réalité à tous les domaines.
Dans le domaine du couple : L'homme ne domine pas (au nom de quoi devrait il le faire ?). Je pense qu'homme et femme sont complémentaires et que le dialogue, la communication, l'échange et les compromis sont la clé de la réussite
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