
**Prélude la rencontre entre Anwen et Dawsoni futur Oracle de Deité**
Alors que clairement je baissais les armes devant mon adversaire que pourtant j'avais attaqué. Mon esprit était en proie au doute complet.
Pourquoi Anwen était-elle comme cela?
Ses yeux étaient devenu vert brillant, les paroles du spectres ne semblait même plus toucher Anwen qui abandonna cependant pour le laisser passer
-Tu ne veux plus te battre, jeune fille ?
Allons. Si tu as une telle attitude, tes adversaires vont en profiter... Que se passe-t-il ? Aurais-tu compris ? Aurais-tu déjà senti notre déesse ? Tu verras. Tu sauras ce que tu as à faire, en la voyant. Je vais te raconter l'histoire des hommes et des femmes...
Il y a longtemps, très longtemps, les hommes et les femmes ne se nourrissaient que de la nourriture que pouvait lui offrir la nature, par la cueillette. Ensuite, il ont gouté à la chair des animaux. Alors, il se sont mis à chasser. Et puis, ils ont voulu contrôler la nature. Ils ont fait des cultures et de l'élevage. Mais il y avait toujours quelque chose qu'ils ne pouvaient pas vaincre : la mort ! La mort était plus fort que tout. Alors, ils ont dressé des colonnes de pierres, pour protéger les morts et pour les garder, pour ne pas qu'ils reviennent. Finalement, ils en avaient peur. Les Statues-menhirs étaient là pour garder les morts ! Pour les empêcher de revenir à la vie et les tourmenter. On a souvent peur de ce qu'on ne connait pas !
Et puis, mon peuple a tenté, au contraire de manipuler la mort, comme nous avions appris à manipuler la vie : les plantes et les animaux. Voila tout ce que nous voulions. Apprendre à maîtriser la vie et la mort. Alors, oui. Nos façons de faire sont sans doute vives. Mais il fallait que le monde change. Pour qu'un nouveau renaisse ! N'es-tu pas d'accord pour qu'il change ? Oh, je ne veux pas de réponse tout de suite. Tu dois d'abord la voir. Alors, tu sauras ce que tu dois faire, j'en suis sûr. Notre cause est juste. Il faut seulement accélérer les choses, avant que les dieux ne détruisent le monde de leur haine, les uns envers les autres. Certes, ce monde est destiné à se détruire tout seul, quoi que l'on y fasse. Nous ne faisons que maîtriser cette destruction. Comme nous avons su manipuler la mort, en créant ces clones. C'est l'histoire des hommes et des femmes. Seuls les élus pourront trouver leur place dans un nouveau monde.
Et, il me serait tellement facile de te vaincre, maintenant... Mais... Mais je ne sais pas si je vais...
Tout comme Anwen L'homme de Pildown quand à lui semblait aussi hésiter et pourtant il lui fallait détruire ce monde pour en reconstruire un autre.
Tout ce qu'on pouvait dire c'est que c'était Anwen qui avait les flèches et pourtant c'est L'homme de Pildown qui avait touché dans la mille. Pourtant on ne connaissait rien de cette jeune femme. Juste qu'elle n'était pas encore apprenti chevalière. L'homme de Pildown était t-il observateur ou les circonstances faisait que cela tombé dans la justesse.
Tout ce dont il lui parlait lui faisait penser à son peuple et à ses origines, même si le projet semblait dur pour Anwen elle avait était tellement frappé par les événements et par les paroles de l'homme de Pildown qu'elle écouta quand même et qu'elle abandonna la lutte.
Laissant place à Angélinia qui se rua dessus sans plus attendre
Toi aussi tu hésites, pourquoi?Je pourrais ruser comme ce chevalier que tu as combattu et te donner l'illusion de ne plus vouloir me battre?Pourquoi me crois tu?
Mais ceci dit ce que tu dis semble fabuleux!Et tu ne me connais même pas ou bien...
Ton peuple et mon peuple semble très proche quand à leur manière de penser et de vivre. J'en ai jamais parlé a personne, écoute l'histoire de mon peuple qui est aussi la mienne.
Mon peuple vivait dans la foret et par la magie du puits de lumière a controlé un certains nombres de choses, comme la floraison, la nature, mais aussi la vie et la mort.Les druides de notre village étaient des sages et symbolisé ce que vous appellé statue menhir. Mais moi j'avais un autre destin gardienne...
Mais nous ne pouvions vivre en paix sans que nos peuples s'entredéchirent. Entre guerres civils et guerres avec les autres nations, notre peuple était voué à disparaitre....
C'est pour cela qu'une partie de mon peuple dont je suis la descendante s'est excilé après le cataclysme qui frappa monde sur des bateaux faits de bois sculté de nos forêts, les autres ne ressentant pas ce désir furent vite massacrer par la soif de sang et de pouvoir des autres peuples ou furent submergé par les eaux. Il manque cette partie dans nos écrits....Notre vitesse et notre énergie sommes notre force mais nous étions de très mauvaises constitution pour le combat.
On était caché dans des demeures secrètes dans les profondes forets faeruniennes. Nous vivions en secret de ceuillette et de chasse, nous régulions la nature pour qu'elle apporte des bienfaits.
Mais notre peuple était trop naif bien que nous soyons très craintifs et méfiants de nature. Nous étions les derniers survivants de notre lignée, les sages de ce qui restaient de notre communauté réouvrit notre porte aux autres peuples en leur laissant une seconde chance. Pensant pouvoir vivre aussi bien en harmonie avec la nature qu'avec les autres peuples....
Alors que la famine frappait de plein fouet les peuples aux alentours, notre générosité nous conduisit a ce que la nature produise plus de ressources. Mais cela ne suffisait pas, les hommes en voulaient toujours plus, et ils réduirent en cendres notre communauté. Je suis la seule survivante de ce massacre repliait dans le creux d'un arbre j'ai assisté impuisante à la triste fin des derniers desecendants de mon peuple.
La dernière image que j'ai en tète est celle de ces vandals tenant la tète d'un ours comme trophée. Les ours nos compagnons de toujours sacré pour mon peuple...
Voila qui semblait expliquer pourquoi Anwen avait réagi de facon surprenante, aux yeux de tous. Elle était la survivante d'un peuple qui avait toujours connu des conditions de vie idylique mais dont leur différence faisant peur aux hommes...
La Déesse pourrait sans doute proposer des conditions de vie qu'avait toujours connu Anwen, mais elle semblait bloqué tout de même sur un point
Tu as raison on a souvent peur de ce que l'on connait pas. Les autres peuples nous connaissez pas et nous ont massacré. Avec la mort des derniers druides de mon peuple, je perdis l'immortalité et désormais je vieillis comme tout le monde, c'était il y a cent quatre vingt douze lunes exactement, je m'en rappelle comme si c'était le dernier lever de soleil. Mais pendant l'attaque je fut protégé par une aura bienfaitrice, est-ce une divinité? Toujours est-il que suite à cela j'ai hérité des forces de la nature, dernier vestige d'un peuple...
Les hommes sont t-ils irrécupérables?
Oui cela semblait être la différence entre son peuple et celui de l'homme de Pildown, cependant le nombre de points communs étaient frappant. Alors que le peuple avait toujours préféré laisser une seconde chance aux hommes. Celui de l'homme de pildown proposait de tout rebatir de zéro. Cependant elle était d'accord sur un point en la mémoire de son peuple il fallait que cela change même si elle le disait pas encore à l'homme de Pildown. Elle avait déja tout perdu, elle n'avait plus rien a perdre