[BG] Héraklès Jr

Présentation du Roi de l'Olympe et de ses Anges.

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Heleades
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[BG] Héraklès Jr

Message par Heleades »

Je suis né sous le nom d'Alexiarès à Athènes, non loin de l'acropole sous une nuit houleuse et tumultueuse. Dès ma naissance, je naquis orphelin de ma mère dont mon père, Périclymène, un téméraire agriculteur, jamais ne me parla. Mon paternel était jadis un ancien spartiate légendaire, un très grand guerrier gravement blessé lors d'une bataille contre les guerriers venus de l'Est qui s'était reconverti dans la culture de la terre, devenu inapte à la guerre, suite à la perte de son bras gauche et de son oeil du même côté, gravement brûlé par les flammes de trirème en feu durant la guerre dont se réjouissait Arès. Rejeté par les siens suite à une histoire d'amour avec une athénienne, Périclymène fut accueilli par les Athéniens avec qui il avait combattu face aux Perses, sauvant notamment un capitaine,un des cousins du roi d'Athènes d'une mort certaine lors d'un affrontement sur les plages aux sables rougeâtres du Péloponnèse.

Bien que ma vie fut très rustique, j'eus une très belle enfance grâce à l'éducation robuste et spartiate, le tout assaisonné de beaucoup d'amour et de tendresse de la part de mon père. Dès que je fus en capacité de marcher, mon père m'enseigna l'art du maniement de la hache, de la faux, de la fourche, de la charrue et du râteau. J'appris également à monter très jeune des ânes, puis des chevaux quand ma taille me l'autorisa. J'étais clairement prédestiné à reprendre les cultures de mon père, notamment les champs de blés et d'orges qui entouraient la grande cité chère à Athéna. D'ailleurs, le pain que réalisé mon père était d'une telle qualité qu'il fut directement livré à la table royal du roi qui appréciait grandement Périclymène. A côté du travail dans les champs, je profitais de l'éducation et des préceptes Atheniens dans les écoles les plus réputées de toute la Grèce. Grâce aux enseignements qui coûtaient une belle bourse de Drachmes à mon père, j'appris à compter, à lire et à penser comme un vrai philosophe Grec. En effet, je n'étais pas la caricature de ce paysan sale et bête comme ses pieds auquel bons nombres de personnes à l'esprit simple pouvaient me caricaturer.

D'ailleurs, j'avais énormément d'amis, de toutes classes sociales. J'étais un garçon simple, un peu timide sur les bords, curieux, volontaire et courageux, toujours prêt à rendre service à mon entourage. Ce dernier point pouvait d'ailleurs m'attirer quelques ennuies, comme des bagarres dans les marchés d'Athènes lorsqu'il fallait défendre mes amis les plus fragiles, Kléios et Cythèros qui se faisaient dérober leurs déjeuner ou leurs drachmes. J'avais eu dès mon plus jeune âge un sens aiguë de la justice et par conséquent je ne supportais pas l'injustice. C'est d'ailleurs pour cela que j'avais un énormément d'admiration pour le roi des dieux Zeus, à qui je sacrifiais avec mon père tout les mois un de nos plus beau agneau blanc.

Malgré cette vie d'apparence très équilibré sur la balance de Thémis, un manque grossissait en moi comme une tumeur dévorait mon esprit, ce manque était une présence féminine dans ma vie; celle de ma mère dont je ne connaissais rien. Seul mon père Périclymène pouvait m'en dire plus, mais pour une raison que j'ignorais, ce dernier se refusait catégoriquement de m'en parler, ce qui pouvait engendrer de vives tensions entre nous. Ce vide qui prenait une place de plus en plus grande dans ma vie fut comblé grâce à une autre femme. Non pas par une potentielle belle-mère, car mon père était un célibataire endurci qui, avec ses séquelles physiques, n'était pas quelqu'un de très attirant pour son âge avancé, mais grâce à l'amour, un sentiment puissant et inépuisable que me procurait Opis, une jeune femme digne de figurer parmi les Néréides tant sa beauté était sans commune mesure, tant ses yeux rivalisaient avec l'océan, sa beau mate avec le sable chaud des mers crétoises et sa chevelure semblable à la crinière du lion de Némée. Grâce à la bénédiction d'Aphrodite, cet amour était réciproque !

Notre idylle avait commencé quelques années auparavant, lorsque mon père m'avait chargé de livrer le pain aux monarques Athéniens.. c'est la que nos regards se sont croisés. Je pense que c'est à ce moment la que Zeus nous a foudroyé d'un coup de coeur qui nous a transcendé tout les deux. D'abord discret, cette relation a pris de l'ampleur à tel point qu'on se voyait régulièrement en tachant de faire attention à ne pas être repéré. Effectivement, Opis était la fille de Cycnos, frère du roi d'Athènes, un homme violant connu pour être méprisant envers les classes sociales en dessous des siennes, un carriériste qui voyait grand pour lui et Opis, notamment un mariage arrangé avec un prince du royaume d'Argos. Nous deux, les tourtereaux s'arrangeait donc pour vivre notre amour dans l'ombre et dans la peur, n'osant pas penser au futur mais à l'instant présent.

Les années passaient, et avec elles les effets du temps sur nous, pauvres mortels. Alors que j'avais atteints mes 16 années, je m'occupais pratiquement seul des tâches paysannes. Mon père, très fatiguait qui s'approchait des 60 ans, était devenu trop handicapé de ses membres physiques pour pouvoir cultiver nos terres. Il se contentait de moudre le blé et l'orge pour faire le pain tandis que je moissonnais la terre avec vigueur et force. D'ailleurs, à l'aube de mes seize années, j'avais acquis un physique assez incroyable, tout de muscles, nettement supérieur à ceux même d'adultes du haut de mon mètre 75. Il en allait de même pour ma force qui était assez exceptionnelle, intriguant les rares Athéniens qui étaient au courant, me permettant par exemple de lever dès mes 10 ans à main nue une charrette ancienne rempli de blés de plusieurs centaines de kilos coincé dans de la boue, ou encore briser à main nue des rochers, comme celui qui après éboulement, avait bloqué l'accès d'une rivière qui menacer de submerger un village à la périphérie d'Athènes, sauvant les villageois pris au piège durant cette terrible soirée pluvieuse du mois d’août. Ma relation avec Opis avait pris des proportions assez inattendus, en effet elle avait pris la décision de tout révéler à son père Cycnos le jour de ses 18 ans (elle était plus vieille que moi de deux ans), ce qu'il avait très mal accepté forcément. Il avait alors pris les dispositions nécessaires pour ne plus me faire entrer dans le sanctuaire, accélérant également le mariage arrangé avec ce prince d'Argos, qui devait être prévu dans les prochains mois.

De mon côté, j'avais été mue d'une nouvelle ambition lors de mes seize ans : Intégrer la caste des chevaliers d'Athéna. En effet, je voyais le monde plonger dans les guerres qui abondaient le sol fertile de Gaïa rouge de sangs, faisant des routes et des sentiers des endroits dangereux. Et puis il y avait mon ami, Elpece, un ami d'enfance possédant une grande force, même si elle ne valait pas la mienne, le battant toujours assez facilement à la lutte, qui avait réussi à rejoindre le sanctuaire en devenant apprenti pour peut-être un jour devenir un des porteurs d'armures divines pour défendre la justice sous l'égide d'Athéna ... c'était quelque chose qui me faisait rêver, même si Opis s'y opposait, par peur de me perdre selon elle. J'avais même été approché par des chevaliers d'Athéna pour rejoindre le Rodorio, eux qui étaient au courant de mes prédispositions exceptionnelles... mais j'avais toujours refusé par égard à mon père, pour l'aider à gérer notre ferme, pour ne pas l'abandonner.. Mais le brave Périclymène, se père admirable qui faisait ma plus grande fierté décéda peu après mes seize ans sur son lit, malade et affaibli après des années de labeurs, de sueurs et de blessures qui n'avaient jamais réellement cicatrisées. Sur son lit de meurt, mon père me révéla l'identité de ma mère :

- Mon bien cher fils, ta mère se prénomme Macaria, descendante méconnue d'Héraclès, une Héraclide, la seule et l'unique. Nous nous sommes rencontré sur le champs de bataille de marathon lorsque j'étais un jeune spartiate fort et aguerri tandis qu'elle combattait en tant qu’athénienne. Très rapidement, après avoir croisé le fer durant un combat épique que j'ai perdu contre toute attente face à sa force titanesque qu'elle a hérité d'Héraclès et qu'elle t'a légué, nous sommes tombés très amoureux et avons pris la décision de vivre ensemble. C'est à elle que je dois la perte de mon œil droit d'ailleurs. dit il en ricanant douloureusement. J'ai pour cela abandonné ma patrie, Sparte, qui n'a pas accepté cette union, et nous nous sommes installés sur les terres Athéniennes, loin des guerres, pour fonder une famille. Puis nous t'avons eu toi, Alexiarès, le fruit de notre amour. Je crois qu'à ce moment la, je ne les jamais vu aussi heureuse, elle t'aimait tellement.. Mais quelques mois après ta naissance, elle a du quitter subitement le foyer familiale. En effet, ses frères, les Héraclides, sont venus la chercher pour une mission vengeresse, pour une quête Oraclique, une guerre de famille qu'ils menaient contre un grand et terrible roi d'une province d'Argos nommait Eurysthée. Avant de partir, dans son plus grand désarroi qui pouvait se lire dans ses yeux en larmes, elle m'a fait promettre de ne jamais se mettre à sa recherche, elle martelait que ta naissance, ton existence devait être un secret, y compris tes capacités si par Zeus tu devais en avoir un jour ce qui est le cas.. Depuis, je n'ai plus jamais eu de nouvelle et ceux malgré toutes mes recherches. Comme ci elle et ses frères avaient disparus. J'ai su bien des années après qu' Eurysthée, ce fameux roi, chassait et tuait tous les descendants d'Heraclès suite à une haine qui m'est inconnue. Voila pourquoi je t'ai préservé de tout ça mon fils. Avant que la mort ne m'emporte, tu iras dans le coffre de la cave, ta mère ta laissé des cadeaux, ils sont à toi à présent.. Prends soin de toi mon fils, je t'aime ...

Bien évidement, la mort de mon père fut un événement tragique pour moi, auquel je ne me suis jamais vraiment remis. Une blessure qui ne se refermera jamais vraiment. Mais je savais à présent que ma mère, qui m'avait légué une ascendance prodigieuse coulant dans mon sang, qui expliquait ma force colossale, se trouvait quelque part, vivante je l'espère. Un nouveau but venait de naître dans ma jeune vie de jeune homme. Ma consternation venait surtout du fait que ce fameux Eurysthée, ce roi qui en voulait à ma famille du côté de ma mère, allait marier son fils Eurybius à Opis, celle que j'aimais plus que moi-même, et cela il en était hors de question. Le destin venait de me confronter telle une malédiction, au même titre que ma mère et mes oncles sans le vouloir à ce roi d'une province d'Argolide. Si je suivais cette voie, ce destin, j'étais convaincu que j'allais pouvoir revoir ma mère et sauver ma relation.
Pour catalyser et étouffer cette tristesse suite à la perte de mon père, je me démena comme un diable sur les champs de mon défunt père, du matin au soir, travaillant comme un forcené au prix de sueurs, de sangs et de fatigue. Plus le temps passé, plus mon désir et mes convictions d'intégrer les chevaliers d'Athéna me venaient à l'idée, vendant ces terres qui me rappelaient inlassablement mes souvenirs douloureux du temps passé avec mon père à labourer et récolter les offrandes de Déméter. Je souhaitais également retrouver ma mère, mais je ne savais pas par ou commencer mes recherches, si ce n'était le futur mari d'Opis qui était la aussi un sujet sensible pour moi. Mes pensées étaient tellement canalisées sur mon travail et mes souffrances que j'en négligea ma relation avec Opis, qui, du jour au lendemain, fut conduite dans la province Argolienne ou régnait Eurysthée, ne tardant pas à épouser bon gré malgré son fils Eurybius.

Un jour, en descendant dans la cave, je retrouva les cadeaux que ma mère Macaria m'avait laissé dès mon plus jeune âge : Une massue inbrisable taillée dans le tronc d'un olivier sauvage, et une léonté, une peau de lion plus résistante que du fer. Il y avait également dans une malle un message écrit par cette dernière qui, entre des dizaines de mots d'amours, entre les explications sur l'origine de ces fameux objets comme la massue, extrait du bois appartenant à la même massue d'Heracles, ou encore la peau de lion contenant des poils du lion de Némée, elle me conseillait vivement, le jour ou le temps serait venu, de sacrifier un agneau blanc, puis de partir à Olympie pour y rencontrer un Oracle de Zeus quand les augures l'auront décidé. Un message assez énigmatique.

Opis était au courant de toute mon histoire, elle savait qui était ma mère, de qui je descendais. Elle savait que son futur beau père était le principal antagoniste de la disparition de ma lignée forte et puissante. Elle savait également que je n'avais aucune piste pour rechercher ma mère; et c'est pour cette raison précise, et par amour, qu'elle me repoussa et qu'elle accepta de partir en Argolide malgré tout : Opis aurait pu, de cette manière, me donner des informations sur ce que Eurysthée avait pu faire de ma mère et de mes oncles. J'étais profondément d'avis contraire, mais Opis était une femme têtu, et l'en empêché était impossible, surtout que Cycnos me faisait surveiller pour empêcher que j'approche sa fille. Nos projets restaient néanmoins inchangés : on comptait toujours se marier l'un à l'autre. Quelques semaines plus tard, Opis m'apprit par lettre qu'Eurysthée avait massacré par le biais de son armée, fidèle à Arès, une grande majorité des Héraclides. Le roi avait néanmoins fait quelques prisonniers, dont Macaria, quelque part dans un endroit que peu de personnes connaissaient. Opis m'apprit également que son mariage était prévu dans 10 lunes, qu'elle m'attendait pour être délivrée de se calvaire, d'un amour qu'elle rejetait !

C'est alors que je quitta Athènes pour rejoindre Argos dans l'objectif de délivrer l'amour de ma vie dans un premier temps. Mais lorsque j'arriva aux portes de Nauplie, le royaume d'Eurysthée, je fus stoppé et attaqué par des chevaliers missionnés comme garde du corps de Cycnos, présent à Nauplie également pour le mariage de sa fille Opis. Grâce à ma force couplée à ma massue, je me débarrassa facilement de trois gardes du sanctuaire, mais je fus vaincu et arrêté par les trois autres bien que difficilement. A moitié sonné, je fus amené à la cours du prince Eurybius, qui se tenait à côté de la magnifique Opis. Sur le plus haut trône se trouvait Eurysthée, avec à ses côtés Cycnos. Sous bonnes gardes et à genoux, je me présenta sans crainte devant ce public hostile. Je n'avais pas hésiter à exprimer de quelle lignée j'étais, celle d'Héraclès, et dans quel but j'étais venu : Délivrer Opis et retrouver ma mère Macaria. La foule fut consternée. Le regard noir du roi et de son fils me dévisagea, même si un sourire mesquin se dessina sur le visage d'Eurysthée, content de sa prise.

Sur le serment de Zeus, je proposa alors au roi et à son fils un dilemme, une vielle tradition Grec : Un affrontement avec le prince Eurybius. Si celui ci gagnait, ma vie serait entre les mains du roi, en disposant comme esclave ou de mort. En revanche, si je gagnais, c'était à moi d'épouser Opis. Et si je gagnais et que j'épargnais sa vie, il devait épargner la vie de Macaria, ma mère. Eurysthée éclata de rire, et ses serviteurs en firent de même. Le roi savait qu'il était clairement désavantagé dans cette proposition, il était logique qu'il refuse. Mais l'oracle de Nauplie, proche conseillé du roi, s'approcha du régent et lui parla à l'oreille :

- " Il serait judicieux d'accepter mon roi. C'est un descendant de Héraclès, refuser serait un aveu de faiblesse, surtout dans votre quête d'éradiquer les Héraclides. Proposez lui un défi, une quête, des travaux impossibles qu'il est supposé réussir. S'il échoue, il n'aura que d'autres choix que de montrer votre supériorité aux yeux des hommes et aux yeux des dieux. "

Le roi Eurysthée prit le temps de réfléchir tout en regardant son fils chétif Eurybius dont il savait qu'il ne ferait pas le poids face à moi dans un duel au corps à corps. Sa main gauche caressa longuement son bouc blanchâtre jusqu'à ce qu'il se fige. Ses yeux s'écartelèrent, puis il sourit avant de prendre la parole de sa voix douce et fourbe - " Bien, mon garçon. Ton courage t'honneur, c'est une évidence. Voila ce que je te propose : Comme tu le sais, ou pas d'ailleurs, je suis un grand collectionneur d'armes et d'armures. Je compte des pièces de collections innombrables et inestimables, mais j'en désire une plus que toute, une que je recherche depuis des années durant : l'armure d'Achille, créée par Héphaïstos et réputée inviolable. Si tu arrives à l'a retrouver et à me l'apporter, je te livrerai ta mère et Opis. Si tu échoues, ou essaye de me berner, tu récupéreras le cadavre de ta mère et Opis sera fiancé à mon fils de gré ou de force ! Que les dieux scellent ce pacte ! Maintenant disparais de ma vue. GARDES ! s'écria t-il avec un geste de la main dédaigneux. Je fis alors escorté par 6 chevaliers d'Athéna qui me chahutèrent avant de m'éjecter violement sur le seuil de la porte en titane du palais de Nauplie. J'aurais pu me débattre et me jeter sur le roi, mais les chevaliers d'Athéna, maitrisant bien mieux leurs cosmos que moi malgré ma force, m'auraient mis à mort avant que je ne l'atteigne.

Reprenant mes esprits, enlevant les dernières feuilles de mon bas de pantalon, j'arma ma massue contre mon épaule droite puis je repensa aux regards pleins de désespoirs d'Opis à l'annonce du roi de Nauplie. Nul doute qu'il s'agissait d'une mission impossible. J'étais convaincu qu'Athéna ne me serait d'aucune aide dans cette quête, c'est alors que je repensa à la lettre de ma mère qui m'incitait à rejoindre Olympie, domaine du roi des dieux Zeus duquel je descendais. C'est alors qu'un orage éclata dans le ciel, d'une force qui fit trembler la cime des arbres les plus hauts dans la forêt adjacente au royaume. Ce fut alors clair dans mon esprit : Je devais rejoindre les anges de Zeus à Olympie et devenir l'un des leurs. J'étais un élu du roi des dieux de par mon sang, et si ma quête devait aboutir, ça serait sous sa bénédiction et sa tutelle. C'est ainsi que je pris la route vers Olympie et que ma carrière d'ange de Zeus allait débuter.
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