Présentation du Roi de l'Olympe et de ses Anges.
Une vingtaine d'année en arrière dans une nuit noire sous le regard d'Hécate, alors que la danse cosmique des intrigues de ce monde et des dieux ne s'arrête jamais... Marinne, guerrière exemplaire parmi les sirènes, entièrement dévoué a son devoir pour les Oracles et le plan qui se trame en obscure mirage contre l'ombre physique de la déesse de la discorde lutte...
Cette Marina se retrouve seul au moment le plus dur de son existence de femme, donner la vie et non la prendre, seul dans son combat pour mettre au monde son enfant... un combat qui lui déchire les entrailles de douleurs alors que son « amant de circonstance » le soigneur du Nekyomantéion a été rappelé en toute urgence pour s'occuper des blesser incessant de la guerre éternelle.
Elle se sent faiblir, ces genoux flageolent alors que ces pieds glissent sur la paille fraîche mais ce n'est pas le moment... les eaux se sont répandu comme un bon présage annonciateur de libération... jambe écarté elle lutte pour expulsé avec tout l'amour qu’elle peut la boule de vie nourrie au cosmos de son ventre...
Guettant le travail la seul autres personnes de la pièce, une vieille guerrière du nom de Niméya a qui il manque un bras et la langue comme sacrifice et symbole de sa dévotion ultime a son Oracle se tient prêt à intervenir au cas ou la jeune Marinne ferais un malaise... malaise interdit dans cette étape crucial depuis la dernière visite des deux oracles qui ont une fois de plus renforcé le sceau de leur cosmos... ce même rituel qui d’une certaine manière a déclenché les première contractions.
Les deux femmes échange un regard, sentant le moment presque arrivé , la jeune guerrière doit activé son cosmos tout en délivrant la vie pour que le sceau reste actif sur le futur nourrisson... une lumière sourde doucement de son corps alors que les violentes contractions l'épuisent... au bord de l'évanouissement elle sent enfin la délivrance quand l’énergie de la vie et de son cosmos entrelacé coule entre ces jambes, puis plus rien: le soulagement d'être aller jusqu'au bout et lentement elle glisse en arrière sur le ballot de paille alors que l’inconscience la nimbe d'une couronne comme une reine de la nuit qui arrive au point du jour une fois le devoir accomplie.
Et l'histoire de ce combat livré par de nombreuses femmes s’arrêtent normalement là mais c'est sans compté sur les multiples ramification de l'arbre ancien touchée par l'une des trois mères des lumières nocturnes.
Quelle ne fut par la surprise de Niméya en se figeant au son de trois crie pleins de vie alors qu'elle se portait au secoure de la nouvelle mère évanouie... ne devant pas trahir le secret de cette naissance et ne pouvant pas appeler de l'aide, elle prit sur elle de nettoyer les nouveaux nées et la mère en s’assurant que les quatre flammes de vie brûlais toujours comme des chandelles contre l'obscurité... une fois ceci fait et avant que quiconque ne viennent elle laissa l'enfant aux yeux bleu dans les bras de sa mère et s’enfuit avec les deux autres à l’abri du monde endormie...
viewtopic.php?p=252939#p252939 ([BG]) Ezehk. Le marinaQuelques semaines plus tard loin très loin du Cap SOUNION sous le regard d'Artémis une femme seul autour d'un feux de camps de fortune éloigné de la route en direction d’Athènes essayais de calmé les cris d'un des deux nourrissons qu’elle avait avec elle.
Celui-ci subissait simplement des douleurs de digestion communes au petit estomac encore en formation et pour calmer celle-ci la guerrière âgée le berçait chaque soir comme elle le pouvait avec son seul bras alors qu'au loin une meute de loup attiré par les cris hurlait et se regroupais afin de donner l'assaut...
Niméya ne se sentait pas plus menacé que cela mais les deux bébés représentait une faiblesse dans un combat; du coup elle escalada un arbre rabougrit pour accrocher avec douceur et précipitation les deux nouveaux nées afin de se défendre contre la nature prédatrice de ces assaillants... l’escarmouche aurait été rapide si le destin ne s'en était pas mêlée... l'une des branche auquel elle avait accroché l'un des deux langes se rompit et une louve aux yeux opaline se saisit du nouveau née pour l'emporté...
Prit de panique la vieille guerrière regarda quelque seconde l'autre enfant qui avait les yeux vert grand ouvert dans lesquelles se reflétait l'astre de la triades lunaire et d'un bond elle partie a la poursuite de la meute en se promettant de revenir très rapidement.
Sur la même route a une autre heure...
Andreï KONOS en compagnie de sa suite et de ces gardes du corps revenait d'une partie de chasse fort réjouissante mais ils avaient prit du retard suite a un contre temps mineur ce qui les obligeaient a voyager de nuit pour être à l'heure le lendemain à la réunion des Eupatride* dont il était actuellement l'acteur principal malgré les luttes constante de pouvoir. *=« bien née » (noblesse régnante d'Athènes)
Il voulais aussi et surtout pouvoir rassuré sa femme Tarysha qui s'inquiétait toujours un peut malgré leurs années de vie commune émaillé d'une seul profonde blessure: la perte de leur seul et unique enfant avant la naissance de celui-ci.
Alors qu'il se laissait guidé par sa monture en rêvassant aux futurs arguments qu'il allait opposé a son principal détracteur Gallan MIKENOS des radicaux... du brouhaha dans sa suite l’interrompit dans ces songes, étant un homme d'action avec de bon reste de sa carrière militaire il alla voir ce qui se passait .
Un de ces éclaireurs avait découvert au petit matin un nourrisson endormie accroché a un arbre et veillé par une chouette grise au ramage ressemblant à un croissant de lune... y voyant un signe divin il l'avait rapporté... le noble KONOS caressa la joue de l'enfant qu'on lui tendait, a se contact une légère décharge électrostatique prit par surprise Andreï et alors que l'enfant ouvrais ces yeux les sentiments tant refoulée par le grand homme remontèrent en un éclair puissant qui fit coulé une larme sur ces joues tanné.
Prenant alors l'enfant dans ces bras il fit avancé son cheval jusqu’à se retrouvé comme dans un songe au pied du porche de son domaine ou l'attendait Tarysha inquiété par la vue de son mari qui galopait en avant de son escorte... il lui tendit le nourrisson et lui dit :
-Miel de ma vie, grâce à toutes tes prières enjoignant Séléné de te favorisé, je crois que nous avons été entendu...
Elle lui répondit en riant alors que les larmes ruisselais de ces yeux durcit par le chagrin de tant d'année.
-Oui mon amour, dans mes songes cette nuit j'ai crue entendre un nom au milieux des pleurs d'un nouveau née et cela ma réveiller... un présage sans nul doute... nous le chérirons comme le plus beau cadeaux que la déesse Hestia et Séléné est put nous faire et je te propose de le nommé comme dans mon rêve: Ezehk,
Le nourrisson grandit anormalement vite comme ci une force intérieur lui permettait d 'accroitre sa croissance et, ce faisant, ses forces physiques et mentales devinrent évidentes pour tous. Ces précepteurs enregistrèrent qu’au moment de son dixième anniversaire, Ezehk, avait maîtrisé tout ce que ces tuteurs pouvaient lui apprendre. Sa perspicacité sur les questions d’histoire, de philosophie et de science étonna ses enseignants, tandis que sa mémoire était prodigieuse et sa capacité à extrapoler des conclusions précises à partir d’informations fragmentaires était à la limite de l’inexplicable.
Son plus grand talent résidait cependant dans l’art de la guerre, elle-même traitée comme une science élevée et louée dans la culture d'Athènes.
Dès qu’il atteignit sa majorité légale, son père adoptif, KONOR joua de son influence pour qu'il prenne le commandement d’un corps expéditionnaire envoyé pour pacifier les terres d'un groupe de brigand des plus sauvage afin qu'il récolte les lauriers de ces efforts incessant pour devenir le parangon de l'officier militaire Athénien.
L'endroit ou il devait livré batailles & escarmouches de nombreux mois était nommé Illyrium, c’était une terre barbare, de parias et de bandes de guerre qui hébergeaient depuis longtemps des assassins et des meurtriers qui attaquaient régulièrement les terres civilisées tout autant qu’ils s’engageaient comme fantassins pour combattre dans les guerres de leurs voisins.
Ezehk, mena une brillante campagne et remporta à la fois la soumission et le respect des féroces bandes de guerriers illyriennes, mais quand il rentra; il trouva son quartier de la capitale plongée dans la tourmente des obscures secrets des hommes.
Suite de la musique https://www.youtube.com/watch?v=aaRkVhs ... w&index=10
En l’absence d'Ezehk, l’opposant d'Andreï KONOR, le dénommé Gallan MIKENOS, déclencha un coup d’État contre KONOR, un acte loin d’être inconnu historiquement même si, dans ce cas, ce fut une surprise.
Gallan, semble-il, avait longtemps nourri des desseins d’une domination non partagée et avait conspiré avec les membres de la riche noblesse d'Athènes, jaloux du pouvoir politique et de la popularité du père d'Ezehk, et qui craignaient de plus en plus l’avenir de son enfant prématurément précoce. Ces mécontents représentaient l’ancien régime, une aristocratie dont la richesse se basait sur de vastes domaines entretenus par le travail d’une multitude de vassaux appauvris.
KONOR, soutenu par les nobles issus des famille de Marchand libre - rivaux de l’ancien régime - contesta cet équilibre des pouvoirs, forçant l’aristocratie à offrir à ses vassaux un niveau de vie et des droits accrus, affaiblissant sa mainmise.
Andreï KONOR avait également fait appliqué une loi qui obligeait la noblesse à lancer un ambitieux programme d’amélioration des infrastructures négligée du quartier et aussi à élargir celui-ci à leur frais.
Ces réformes ont rendu KONOR inattaquable aux yeux du peuple, mais il était très impopulaire au sein des Eupatrides*, à l’exception des quelques aristocrates les plus prévoyants. *=« bien née » (noblesse régnante d'Athènes)
Alors qu'Ezehk, et sa phalange triomphante approchaient de la ville qui l'avait vue grandir, ils virent la fumée issue d’une multitude de feux et trouvèrent des citoyens fuyant un quartier plongée dans l’anarchie.
Le jeune guerrier appris que l’armée privée de la famille MIKENOS avait attaqué la Maison des Eupatrides tandis que KONOR et ses loyaux gardes du corps étaient à l’intérieur. Les réfugiés racontèrent chacun la même histoire ; des soldats rebelles avaient attaqué, tandis qu’une foule ivre de colère, à l’initiative de Gallan, mais désormais hors du contrôle de toute autorité, parcourait le quartier en feu, pillant, assassinant et se déversant vers les autres quartiers d’Athènes.
Ezehk, se précipita au secours de son père , laissant ses propres troupes s’occuper des émeutiers... Au triple galop il se fraya un chemin vers le centre de son quartier, découvrant les actes sanglants commis par les rebelles dans le district gouvernemental, mais arriva trop tard a la Maison des Eupatrides.
Tout n’était que ruine et même les rebelles semblaient avoir fuit les lieux pour se joindre au pillage. Là, dans les sous-sol du bâtiment à moitié brûlé, il trouva son père mourant.
Pendant une journée le Chef des Modérées, blessé; avait dirigé la défense du petit-sénat assiégé alors même que des chirurgiens se battaient pour sauver sa vie à la suite d’une tentative d’assassinat ratée qui avait déclenché l’attaque chaotique des conspirateurs.
Il est dit qu’avant de rendre son dernier souffle, Konor décrivit l’ampleur de la trahison de Gallan à son bien-aimé fils et nomma ceux dont les mains étaient tachées de son sang.
Le choc bouleversant et la fureur du jeune homme suite à la mort de son père fut sans commune mesure certains civils disent que des éclairs luisait dans sont regard vert alors que ses armes était comme baignée de foudre...
Avec le soutien de sa phalange et des citoyens assiégés, il écrasa les rebelles de l’aristocratie, dispersa leurs armées de mercenaires et aligna dans les rues les corps suspendus des émeutiers, rétablissant ainsi rapidement l'ordre dans son quartier et ceux environnants en coopération avec les autorités de la ville mais cette événement allait a jamais changé sa vie car une force profondément enfuit à l'intérieur de lui c'était éveillé... neuf mois de développement embryonnaire baigné par le pouvoir de deux Oracles de divinité différente avait forcément laisser les réminiscences d'un grand pouvoir.
Suite et fin toujours en musique https://www.youtube.com/watch?v=jRKqMkStFj8
Après avoir participé à la pacification des émeutiers, il retrouva enfin sa mère adoptive qui pleurais chaudement la mort de son mari et la survie de son fils mais celui-ci avait changé durant les combats, une puissance insoupçonnée qui irradiait par vague incontrôlée s'en échappait...
Un étranger couvert de peaux de grand loups du nom de Grimnar était présent aussi , il était apparut comme par magie déboulant d'une auberge voisine au domaine des KONOS et avait défendu avec son énorme marteaux à deux mains la maisonnée de Tarysha durant ce sombre jour... Et à la fin de cette sanglante journée avant même que le fils vengeur ne rentre voir sa mère il avait simplement demandé comme remerciement pour ces actes une entrevue avec le jeune guerrier car il aurait bientôt besoin des conseil d'un servant de l'orage...
Laissant la mère et le fils faire le deuil, il attendit quelques jours supplémentaire à l'auberge et comme les runes l'avait prédit un servant de la maisonnée KONOR le trouva pour lui annoncé que ces maîtres réclamaient sa présence...
Mais notre fou-servant du roi des dieux n'était pas rester complètement inactif en vérité, il avait empêché de manière diplomatique à la "nordique" une délégation de Chevaliers d'Athéna d'entrée dans le domaine sous prétexte que leur déesse avait le temps et que même si un cosmos c'était éveiller, il était humain de laisser la famille faire leur deuil et pourquoi pas discuté autour d'une amphore ou pour sa part avec une bonne choppe de bière bien noir en attendant (quelques bols de vins bien chargée en herbe du sommeil)...
C'est ainsi que le pas alourdit par l'alcool mais aussi pressé par le temps (face a des chevaliers même les meilleurs herbes de Loki ne faisait pas effet plus de quelques jours...) il retrouvât la maîtresse de Maison et son fils qui n'arrivait plus a calmé la puissance qui sourdait de son corps meurtri sous l’afflux de tant de sentiment contradictoire et qui devenait presque un danger pour son entourage...
Il lui dit qu'il avait un don et que ce don devait être maîtrisé, c'était ainsi que l'étranger proposa d'emmener le jeune Ezehk, vert un endroit ou il pourrait apprendre a réellement maîtrisé ce pouvoir car c'était un signe du maître des dieux qu'eux deux soit au même moment dans le même quartier alors que l'orage de la rébellion avait sonné le tocsin des massacres...
D'une certaine manière c’était le payement qu'il réclamait pour avoir protéger le domaine des KONOS alors que cette ville devait normalement être protéger par les Chevaliers d'Athéna.
Mu par l'honneur et le devoir envers cette étranger qui avait protéger sa Mère, Ezehk, ne réfléchit pas longtemps et malgré son crâne qui menaçait d'explosé sous la douleur et son nez qui maintenant ce mettait a saigner sous l'impulsion électrique du cosmos non maîtrisé qui l'habitait, il accepta la proposition de l'étranger.
Avec beaucoup de tristesse mais sous le coup d'un épuisement total du au pouvoir qui continuais de sourdre de son corps Ezehk, quitta sa ville natale, le luxe du confort, les nobles atours, les mets délicieux pour suivre l’Étranger.
Étranger qui le mena par monts et par vaux en lui parlant de lointaines terres glacées et qui lui même utilisais son cosmos pour calmer celui du jeune homme incapable de contrôlé quoi que se soit... les jours passèrent et comme dans un sommeil enfiévré et peuplé d'éclairs ils arrivèrent tous les deux au pieds des quelques gardes du Mont Olympe, alors épuisé le jeune homme s’effondra...
Quand il se réveilla de houleuses discussions avait lieux dans un couloir proche de lui, il avisa quelqu'un a son chevet et demanda ou était passé l'étranger du nom de Grymnar qui l'avait amené jusqu'ici et c'est le garde posté a l'entrée de la chambre qui lui répondit qu'il était présent le jour de son arrivée car il se souvenait encore de son aura nimbé d'éclair incontrôlé en ce demandant si il se faisait attaqué mais qu'une fois qu'il avait prévenu de véritable ange de ZEUS il l'avais découvert a moitié mort sous le coup de l'énergie qui sourdait de son corps... mais jamais au grand jamais les Anges qui était intervenu n'avait ne serais ce que vue l'ombre ou l'aura d'une autre personne prêt de lui.
Les oracles statuèrent sur l'avenir du jeune Athénien et il fut confié a des instructeurs aux pieds des montagnes qui n’eurent aucun respect ni pour son rang, ni pour sa naissance et qui après plusieurs années en firent quelqu'un d'autre, quelque chose d'autre, le mont olympe devint ainsi l'académie d'un surdoué qui avait faillit succombé sous le pouvoir de son cosmos naissant et qui apprit a ces dépend qu'un grand pouvoir engendre de grande responsabilité.
Ezehk, c'était plongée corps et âmes au services des personnes qui l'avaient sauvé et c'est avec beaucoup d'avidité qu'il absorbât et fit siens les préceptes du roi divin tout en essayant de canalisé sa fougue et cette énergie si déstabilisante, mais certaines questions restaient en suspend même pour ces Maître et leurs Oracles... certaines question qui devraient trouver réponses dans le futur tissé par les Parques ou un certain agent d'un autre panthéon avait agit...
En attendant au bout de quelques années a prouver qu'il pouvais exceller si on lui donnait sa chance, il devint l'un des nouvel ange de Zeus s'élevant parmi les épreuves bien décider à montré aux guerriers de légende du clan qu'il était capable du mieux et de tendre vers leur perfection martiale, stratégique et diplomatique.
Et aujourd'hui, il put dire pour la première fois :
- Au combat, par le pouvoir de la foudre !!!
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et j'y associe ce sprite réaliser par mes soins: 
