BG de notre déesse Athéna
Publié : mer. mai 07, 2025 8:12 am
Chant d’Athéna, Flamme de Raison, Bouclier du Monde
Transcrit des paroles du prêtre Théocris d’Héliké, gardien des Vérités d’Or
I. L’Éveil de la Pensée Divine
Écoutez, vous qui marchez dans l’ombre.
Approchez, vous qui cherchez un sens à la lame, un poids au serment.
Car voici l’histoire de Pallas Athéna, celle que l’on nomme aussi la Pensée Incarnée, l’Esprit Vêtu de Bronze, la Vierge au Glaive et au Bouclier d’Aegis.
Lorsque l’univers fut jeune, et que les dieux encore vacillaient dans leur trône, Zeus fut saisi d’un tourment sans nom.
Un feu d’esprit s’enroula dans sa tête, car en lui grandissait une idée, une vérité trop parfaite, trop puissante, pour rester enfermée.
Alors, d’un coup de hache céleste, il ouvrit son crâne, et de cette brèche jaillit Athéna, toute armée, toute sage, lumineuse et terrible, dans un silence plus ancien que le temps.
Ainsi naquit la seule déesse qu’aucun désir n’engendra.
Ainsi vint au monde la Gardienne des Hommes.
II. La Main qui Juge, Non qui Punit
Athéna marche sur la terre non pour dominer, mais pour guider.
Elle n’est ni l’amour aveugle d’Aphrodite, ni la colère stérile d’Arès.
Elle est la lame droite et le verbe vrai, la justice froide, non vengeresse, mais lucide.
« La paix n’est pas l’absence de guerre. Elle est l’ordre du cœur. »
C’est ce qu’elle enseigne à ses chevaliers, et ce qu’elle exige des cités qu’elle protège.
Elle juge les actes, non les intentions.
Elle observe les âmes, sans haine, sans passion.
Mais quand le mal se rit de la loi, elle l’écrase — non avec fureur, mais avec précision.
III. La Stratège des Siècles
Dans les entrailles du monde, les titans rugissent encore.
Les dieux se battent, mentent, séduisent, détruisent.
Mais Athéna, elle, planifie.
Elle voit l’avenir comme un damier, un échiquier de forces et de failles.
Elle parle peu, agit moins, mais pense toujours.
Là où Arès écrase, elle déplace. Là où Poséidon engloutit, elle détourne.
Ses armes ne sont pas seulement d’or. Elles sont d’esprit.
Elle connaît les sacrifices nécessaires, et ne fuit pas la douleur du choix.
Elle sait que l’on ne gagne pas toujours sans perdre quelque chose. Et pourtant, elle avance.
IV. La Mère de Ceux Qui Se Battent Pour le Bien
Elle ne porte pas d’enfant. Mais elle enfante des serments.
Elle adopte les âmes pures, les cœurs droits, les volontés indomptables.
Ses chevaliers ne sont pas ses sujets : ils sont ses témoins.
Ils n’attendent ni bénédiction, ni miracle.
Mais ils savent qu’à chaque instant, elle veille, de loin, dans le silence de son Parthénon.
Parfois, elle murmure dans un rêve.
Parfois, elle fait frémir une feuille pour détourner un coup fatal.
Parfois, elle pleure sans larme, quand tombe un chevalier qu’elle ne pourra plus appeler.
V. Solitude des Dieux, Fierté des Sages
Elle est seule.
Pas par rejet, mais par nature.
Car aucun autre dieu ne comprend sa voie.
Arès ne connaît que le sang.
Apollon ne cherche que la beauté.
Dionysos fuit dans l’oubli.
Héra consume tout sous la jalousie.
Athéna est au-delà.
Elle se tient entre le divin et l’humain, éternelle passerelle, pont fragile mais solide entre le ciel et la terre.
Son silence est un rempart.
Son absence est une présence plus puissante encore.
VI. Colère des Justes, Jugement sans Retour
Quand Athéna est trahie, elle ne frappe pas.
Elle vous efface.
Son regard devient pierre.
Sa voix se tait.
Et dans ce vide, le coup le plus cruel est porté : celui de l’oubli divin.
« Celui qui trahit la Vérité n’est plus digne d’exister. »
Voilà ce que dit son silence.
Elle n’explose pas. Elle s’éteint — pour vous.
VII. Les Guerres Saintes Gravées dans Sa Chair
Athéna ne meurt pas. Mais elle se souvient.
Des cris des premières guerres.
Des trahisons d’anciens chevaliers.
Des serments rompus.
Des enfants tombés dans l’or de leur armure, sans même atteindre l’âge d’homme.
Elle garde tout en elle.
Et pourtant, elle continue. Car son devoir est éternel.
Elle est la seule flamme qui se rallume après chaque tempête.
VIII. L’Héritage de la Déesse aux Yeux Clairs
Athéna n’est pas douce.
Elle n’est pas clémente.
Elle n’apaise pas : elle révèle.
Mais dans ses pas, le monde se redresse.
Dans son regard, les ténèbres reculent.
Dans son nom, la justice respire encore.
Et toi, qui lis ces mots ou entends cette prière…
Si un jour tu entres dans son Temple,
Ne demande rien.
Agenouille-toi.
Ferme les yeux.
Et écoute ce que ton cœur te dit.
Car si tu es digne, elle ne te répondra pas par des mots,
Mais par une mission.
Transcrit des paroles du prêtre Théocris d’Héliké, gardien des Vérités d’Or
I. L’Éveil de la Pensée Divine
Écoutez, vous qui marchez dans l’ombre.
Approchez, vous qui cherchez un sens à la lame, un poids au serment.
Car voici l’histoire de Pallas Athéna, celle que l’on nomme aussi la Pensée Incarnée, l’Esprit Vêtu de Bronze, la Vierge au Glaive et au Bouclier d’Aegis.
Lorsque l’univers fut jeune, et que les dieux encore vacillaient dans leur trône, Zeus fut saisi d’un tourment sans nom.
Un feu d’esprit s’enroula dans sa tête, car en lui grandissait une idée, une vérité trop parfaite, trop puissante, pour rester enfermée.
Alors, d’un coup de hache céleste, il ouvrit son crâne, et de cette brèche jaillit Athéna, toute armée, toute sage, lumineuse et terrible, dans un silence plus ancien que le temps.
Ainsi naquit la seule déesse qu’aucun désir n’engendra.
Ainsi vint au monde la Gardienne des Hommes.
II. La Main qui Juge, Non qui Punit
Athéna marche sur la terre non pour dominer, mais pour guider.
Elle n’est ni l’amour aveugle d’Aphrodite, ni la colère stérile d’Arès.
Elle est la lame droite et le verbe vrai, la justice froide, non vengeresse, mais lucide.
« La paix n’est pas l’absence de guerre. Elle est l’ordre du cœur. »
C’est ce qu’elle enseigne à ses chevaliers, et ce qu’elle exige des cités qu’elle protège.
Elle juge les actes, non les intentions.
Elle observe les âmes, sans haine, sans passion.
Mais quand le mal se rit de la loi, elle l’écrase — non avec fureur, mais avec précision.
III. La Stratège des Siècles
Dans les entrailles du monde, les titans rugissent encore.
Les dieux se battent, mentent, séduisent, détruisent.
Mais Athéna, elle, planifie.
Elle voit l’avenir comme un damier, un échiquier de forces et de failles.
Elle parle peu, agit moins, mais pense toujours.
Là où Arès écrase, elle déplace. Là où Poséidon engloutit, elle détourne.
Ses armes ne sont pas seulement d’or. Elles sont d’esprit.
Elle connaît les sacrifices nécessaires, et ne fuit pas la douleur du choix.
Elle sait que l’on ne gagne pas toujours sans perdre quelque chose. Et pourtant, elle avance.
IV. La Mère de Ceux Qui Se Battent Pour le Bien
Elle ne porte pas d’enfant. Mais elle enfante des serments.
Elle adopte les âmes pures, les cœurs droits, les volontés indomptables.
Ses chevaliers ne sont pas ses sujets : ils sont ses témoins.
Ils n’attendent ni bénédiction, ni miracle.
Mais ils savent qu’à chaque instant, elle veille, de loin, dans le silence de son Parthénon.
Parfois, elle murmure dans un rêve.
Parfois, elle fait frémir une feuille pour détourner un coup fatal.
Parfois, elle pleure sans larme, quand tombe un chevalier qu’elle ne pourra plus appeler.
V. Solitude des Dieux, Fierté des Sages
Elle est seule.
Pas par rejet, mais par nature.
Car aucun autre dieu ne comprend sa voie.
Arès ne connaît que le sang.
Apollon ne cherche que la beauté.
Dionysos fuit dans l’oubli.
Héra consume tout sous la jalousie.
Athéna est au-delà.
Elle se tient entre le divin et l’humain, éternelle passerelle, pont fragile mais solide entre le ciel et la terre.
Son silence est un rempart.
Son absence est une présence plus puissante encore.
VI. Colère des Justes, Jugement sans Retour
Quand Athéna est trahie, elle ne frappe pas.
Elle vous efface.
Son regard devient pierre.
Sa voix se tait.
Et dans ce vide, le coup le plus cruel est porté : celui de l’oubli divin.
« Celui qui trahit la Vérité n’est plus digne d’exister. »
Voilà ce que dit son silence.
Elle n’explose pas. Elle s’éteint — pour vous.
VII. Les Guerres Saintes Gravées dans Sa Chair
Athéna ne meurt pas. Mais elle se souvient.
Des cris des premières guerres.
Des trahisons d’anciens chevaliers.
Des serments rompus.
Des enfants tombés dans l’or de leur armure, sans même atteindre l’âge d’homme.
Elle garde tout en elle.
Et pourtant, elle continue. Car son devoir est éternel.
Elle est la seule flamme qui se rallume après chaque tempête.
VIII. L’Héritage de la Déesse aux Yeux Clairs
Athéna n’est pas douce.
Elle n’est pas clémente.
Elle n’apaise pas : elle révèle.
Mais dans ses pas, le monde se redresse.
Dans son regard, les ténèbres reculent.
Dans son nom, la justice respire encore.
Et toi, qui lis ces mots ou entends cette prière…
Si un jour tu entres dans son Temple,
Ne demande rien.
Agenouille-toi.
Ferme les yeux.
Et écoute ce que ton cœur te dit.
Car si tu es digne, elle ne te répondra pas par des mots,
Mais par une mission.